Data.ai, fournisseur d'analyses de données mobiles, révèle dans son rapport annuel State of mobile 2023 que la demande d'applications mobiles s'est accélérée l'année dernière alors que les dépenses des consommateurs ont diminué. Le nombre de téléchargements a atteint 255 milliards (une augmentation de 11 % par rapport à l'année précédente), et le nombre d'heures passées a culminé à 4,1 trillions (plus 9 %).

En 2022 le temps passé sur le mobile s'élève à 5 heures par jour, une hausse de 3 % par rapport à l'année précédente. Les dépenses publicitaires mobiles devraient de son côté atteindre 362 milliards de dollars en 2023, selon l'étude data.ai. Une évolution permise grâce à la croissance des vidéos de format court et des applications de partage de vidéos comme TikTok et YouTube.

Leroy Merlin profite d'une étude pour communiquer sur ses offres !
"Habitat durable : selon une étude IFOP pour Leroy Merlin, près de 2 Français sur 3 se sentent mal informés", clame l'entreprise dans un communiqué de presse. Pour répondre à cette problématique, l'enseigne spécialisée dans l'amélioration de l'habitat s'est fixé un objectif : rendre accessible à tous l'habitat durable. Cela passe tout d'abord par la diffusion de contenus informatifs et pédagogiques pour sensibiliser les Français à cet enjeu environnemental. Pour cela, Leroy Merlin envisage de concevoir, tout au long de l'année, plusieurs campagnes de communication.

Depuis fin décembre 2022, Netflix se diversifie en proposant des cours de fitness. Réalisés en partenariat avec le Nike Training Club, ces programmes sportifs comportent chacun plusieurs épisodes.

Actuellement, Netflix propose à ses abonnés 46 vidéos, mais courant 2023, la plateforme mettra en ligne de nouvelles vidéos pour atteindre 90 séances d’entraînement, à réaliser à domicile.

Les programmes, disponibles en 10 langues, sont accessibles à tous les niveaux de condition physique. Ils ne nécessitent que peu ou pas d'équipement et couvrent un large éventail de types, de durées et d'intensités d'entraînement.

L'enseigne de prêt-à-porter H & M met en avant ses efforts environnementaux... dans le métavers...

Mais où est vraiment l'intérêt ?

La marque a créé un domaine virtuel sur Roblox appelé H & M Loooptopia. Les utilisateurs de Loooptopia peuvent explorer des mondes "alternatifs" et interagir avec des mini-jeux, des sessions de stylisme et des événements en direct pour rassembler des matières premières et créer des vêtements qui peuvent être portés par leur avatar numérique. Le but du jeu : échanger des vêtements avec ses amis ou les recycler pour gagner des éléments "super rares".

Le visuel met en avant une frise représentant des artistes en adéquation avec l'ADN de Europe 2 : Muse, Juliette Armanet, -M-, Yungblud, ADE, Pierre de Maere, Angèle, Marie-Flore, Vianney, Benjamin Biolay, Placebo, Aime Simone, Izia, Clara Luciani. Ces artistes sont tous liés par une onde sonore.

La création a été faite par l’agence Rosa Paris et la campagne média orchestrée par KR Wavemaker (GroupM – WPP) et Europe 2.

CANAL+ AGRANDIT SON OFFRE ET SE RENFORCE FACE AUX PLATEFORMES AMÉRICAINES : LE GROUPE AUDIOVISUEL VA ACQUÉRIR OCS, LE BOUQUET DE CHAÎNES PAYANTES DE L'OPÉRATEUR DE TÉLÉCOMMUNICATIONS ORANGE, QUI PERD DE L'ARGENT POUR L'INSTANT. Selon le journal Les Echos, "une fois n'est pas coutume, c'est le vendeur, c'est-à-dire Orange, qui verse de l'argent à l'acheteur Canal+". En effet, OCS, lancé en 2008 et qui compte quelque 3 millions d'abonnés, est "endetté et en pertes". La somme retenue pour la transaction "serait de moins de 100 millions d'euros et surtout ne prendrait pas la forme d'un chèque sec à Canal+", affirment Les Echos. "Orange sera amené à supporter les cash-flows négatifs (quand l'entreprise sort plus d'argent qu'elle n'en rentre, ndlr) futurs", poursuit le journal, selon lequel "l'opérateur s'est engagé à verser des minimums garantis à Canal+ sur trois à quatre ans". "OCS, facturé 11 euros par mois seul, a accumulé entre 400 millions et 500 millions d'euros de pertes depuis son lancement, selon nos informations", soulignent Les Echos.

L’enseigne 123 Pare-Brise est un nouveau sponsor pour l'Olympique Lyonnais. Ce partenaire devient donc fournisseur Officiel du club.

« Nous sommes heureux d’accueillir aujourd’hui 123 Pare-Brise dans la communauté des partenaires de l’Olympique Lyonnais, pour débuter ensemble une nouvelle histoire qui rassemblera les supporters du club autour de diverses activations et animations, au Groupama Stadium ou dans les nombreuses agences de la marque réparties sur le territoire », affirme dans un communiqué Cyrille Groll, directeur du développement commercial de l’OL.

123 Pare-Brise compte aujourd’hui 450 collaborateurs répartis dans plus de 86 agences sur le territoire national, et un ambassadeur de choix en la personne de Denis Brogniart qui l’accompagne depuis bientôt 3 ans.

Autant le dire immédiatement, nous soutenons l'action des pièces jaunes. C'est important ! Toutefois, cela n'excuse pas la terrible mise en scène de madame Macron, où l'on retrouve l'animateur populaire Camille Combal, Madame Tuche et Didier Deschamps. Pièces Jaunes, Macron, Tuche et Deschamps ... nous voilà bien ! C'est un peu la goutte d'eau qui ne va pas faire déborder la tirelire des pièces jaunes cette histoire. On se demande pourquoi, une mise en scène comme celle-ci se produit au sein du Palais de l'Elysée. Les institutions ne sont plus sacrées ou bien !? (comme dirait Tuche).

Donnez aux pièces jaunes mais nous vous invitons à ne plus regarder ce spot publicitaire "qui manque vraiment de classe" !

... Bref, à oublier au plus vite !

De retour sur Netflix pour sa saison 3, la série Emily in Paris continue de faire rêver le monde entier – et surtout les Américains – avec le mode de vie de son héroïne. Mais, au fait, combien ça coûterait de vivre réellement comme Emily Cooper à Paris ? Des experts se sont penchés sur la question, et c’est notre chiffre de la semaine... à savoir 112 877 euros/ an. Lol ! Le rêve parisien a donc un prix !

Ce chiffre est le fruit d’une étude réalisée par des experts financiers de New Casinos, en se basant sur ce que le personnage dépenserait à Paris en vêtements et accessoires (76 795 dollars), pour son logement (33 127 dollars), ses factures (2372 dollars), ses dîners à l’extérieur (3239 dollars), ses sorties (1295 dollars), ses déplacements (2947 dollars) et son café (228 dollars) en l’espace d’une seule année.

La misère est moins pénible au soleil comme le disait AZNAVOUR ... Eh bien voici un nouveau drame musical où nous venons de découvrir le nouveau tube du rappeur Lorenzo. "La Kush ft. Tony Corrida" est possiblement le reflet de notre société... Nos oreilles saignent encore ! Et dire que ce type est suivi par plus de 2 millions de personnes sur YouTube.... Au secours ! L'année 2023 s'annonce mal si les tubes comme celui-ci deviennent le symbole de notre époque.

... Listen (pas !)

Le PDG du site Entreparticuliers.com, a annoncé le lancement d’Investisseur TV.

L'objectif :

Proposer le premier média économique dédié à la mise en relation entre les investisseurs et les entrepreneurs en recherche de financement. Articulée autour de 2 grandes thématiques d’émissions, levées de fonds et bourse, la chaîne est disponible en ligne sur le site www.investisseur.tv, en replay sur la même plateforme et bientôt en podcast. La chaîne aspire à faciliter les rencontres entre porteurs de projets et investisseurs. Stéphane Romanyszyn propose quotidiennement à son public d’initiés de découvrir des projets singuliers et innovants. Ses invités sont des chefs d’entreprise, des CEO, des DAF… Sur son plateau, il les invite à livrer un échange précieux pour évoquer leurs parcours, projets et ambitions financières.

Pour le lancement de la chaîne, les interviews ont été consacrées à la thématique des levées de fonds et de la bourse. Stéphane Romanyszyn est parti à la rencontre de plus de 100 entreprises atypiques partout en France. Des fabricants d’hydravions amphibies aux fermes urbaines en aquaponie, tous ses interlocuteurs ont en commun le goût de l’entreprenariat. Investisseur TV leur offre un espace pour pitcher qualitativement leurs projets et ainsi convaincre les investisseurs. Progressivement, ce seront les thématiques autour de l’immobilier, le private equity, le financement participatif, la transmission d’entreprises, les crypto-monnaies, les placements passion et même la philanthropie qui seront mises à l’antenne.

Après avoir lancé le réseau d’affichage Metropolis et le Groupe Médiatique International au début des années 80, Stéphane Romanyszyn co-fonde la plateforme SeLoger en 1995 (qu’il revendra plus tard à Poliris). Fort de son succès, il poursuit avec la création d’Entreparticuliers.com en 2000 qui sera introduit en Bourse sept ans plus tard. Depuis, c’est via SR Capital Invest (son holding d’investissement dans les startups) qu’il officie. Business angel depuis une dizaine d’années, il aura étudié plus d’un millier de projets, réalisé une trentaine d’investissements en direct et soutenu une centaine de participations à travers des fonds d’entrepreneurs.

Deuxième marque par ordre d’importance sur le marché des désherbants, Roundup se pare d’un emballage plus en phase avec l’environnement, avec, d’une part, le choix d’un format en écorecharge, et, d’autre part, le recours à des matériaux recyclés. De quoi être dans la tendance pour 2023 avec toujours plus de "Vert" !

En ce qui concerne le premier point, Evergreen Garden Care, qui fabrique et commercialise le produit développé par Monsanto (absorbé par Bayer en 2018), opte pour une formule concentrée. Le consommateur est invité à diluer le contenu dans l’ancien pulvérisateur préalablement rempli avec de l’eau. Ce nouveau format est, selon la marque britannique, plus économique « avec un prix accessible » de 7,99 euros et « plus écologique ». En outre, il apporte de la praticité et de la rapidité dans la préparation du produit. L’écorecharge Roundup désherbant est proposée dans un tube en polyéthylène (PE) contenant 33% de matière recyclée postconsommation qui est lui-même inséré dans un blister en polyéthylène téréphtalate (PET) issu de 98% de matière recyclée. La cartonnette est elle aussi composée de matière régénérée, à hauteur de 80%. Le désherbant est fabriqué et conditionné dans l’usine de Bourth (Eure). Environ 35 000 unités sont produites chaque année.