Pour la première fois depuis 20 ans, Havas refond son identité visuelle et son architecture de marque "dans un souci de modernité et de meilleure lisibilité pour ses clients, ses partenaires et ses talents" précise un communiqué de presse. Le groupe a fait appel à Conran Design Group, son agence en stratégie de marque et design, basée à Londres, pour refléter "son modèle intégré et son positionnement unique centré sur la quête de sens et l’entertainment".

Yannick Bolloré, Chairman & CEO d'Havas explique, toujours dans le communiqué que "notre nouvelle marque va bien au-delà d’un simple rafraîchissement de notre logo. Elle vient renforcer notre positionnement unique sur le marché, centré sur l’intégration des expertises et l’entertainment, et nous donne un avantage concurrentiel, en simplifiant nos solutions et en mettant en exergue nos valeurs clés. Cette évolution fait ainsi de la marque Havas un atout commercial puissant, qui capitalise sur notre approche intégrée visant à offrir des stratégies de communication performantes à nos clients". Toutes les divisions et agences utilisant la marque Havas seront désormais intégrées dans cette nouvelle identité.

Une nouvelle étape pour le site Web d'IDKids, le groupe spécialisé dans les produits dédiés à l'enfance ! Lancée en septembre 2021, la plateforme e-commerce qui regroupe les marques de prêt-à-porter Okaïdi, Obaïbi, Catimini, Absorba, Chipie, Lili Gaufrette, Z et Confetti et les jeux ludo-pédagogiques Oxybul - depuis le mois de juin 2022 - s'est, depuis quelques semaines, muée en marketplace. Le projet ? "Nous voulons être un multispécialiste sélectif, en ne choisissant que des marques référentes et des produits bénéfiques pour les enfants, essentiels pour les parents et engagés pour la planète", explique Amaury Demode, directeur de la marque enseigne IDKids, reprenant les trois piliers de l'engagement "We act for kids" de l'enseigne. À date, une soixantaine de marques s'invitent sur le site d'IDKids, dont environ cinquante pour le seul habillement - comprenant 15 marques de chaussures. "Nous avons actuellement plus de 2000 références de chaussures, soit une multiplication par dix par rapport à l'offre de nos marques propres", partage Frédéric Froger, directeur de marque Okaïdi, Obaïbi. Même dynamique sur le jouet, comme l'illustre Mathieu Charent, directeur de marque Oxybul : "Pour les marques Lego et Playmobil, nous sommes passés de 40 à 350 références". La sélection se poursuit, mais l'offre n'est pas vouée à être illimitée. "La marketplace d'IDKids ne répertoriera jamais 600 marques et 3 millions de références, tranche Amaury Demode. Nous resterons sélectifs et ne dépasserons jamais les 240 marques".

Les fidèles de "C l'hebdo" vont devoir s'habituer à de nouveaux visages à la rentrée. Après l'annonce du départ de Jean-Michel Aphatie, chroniqueur historique de l'émission, c'est son animateur, Ali Baddou, qui est sur le départ comme il l'a annoncé aux équipes de l'émission selon les informations du "Parisien"... Dommage il était vraiment très bon ! Le journaliste de 49 ans va quitter ce rendez-vous hebdomadaire pour assurer la présentation de la matinale du week-end sur France Inter.

 Hellfest 2023, trois groupes à découvrir au plus vite ! Trois coup de cœur métal et rock qui poussent un peu fort mais on adore ça ! On vous recommande de monteeeeerrr le son les amis !

1. Collateral

2. VENOM INC.

3. Halestorm

... Listen !

Emmanuel Macron annonce 500 millions d'euros supplémentaires pour son développement en France.
Le chef de l'Etat a fait cette annonce depuis le salon VivaTech à Paris, dédié aux entrepreneurs, où il a également dénoncé "ceux qui détestent ceux qui font de l'argent".

Il veut "créer des champions". Le président de la République a annoncé, mercredi 14 juin, des financements supplémentaires de plus de 500 millions d'euros pour développer l'intelligence artificielle en France. "Nous devons faire émerger cinq à dix clusters, à hauteur de 500 millions d'euros, pour avoir deux ou trois pôles d'excellence" au niveau mondial, a déclaré Emmanuel Macron depuis le salon VivaTech, le plus grand salon européen dédié à ce secteur, qui vient d'ouvrir ses portes.

Le chef de l'Etat a également profité de ce salon dédié aux entrepreneurs pour dénoncer "ceux qui détestent ceux qui font de l'argent". "Détester les gens qui font de l'argent, ça ne marche pas", a-t-il lancé. "Je suis pour la réussite de ceux qui investissent dans l'économie. Il ne faut pas brider nos entrepreneurs quand ils sont prêts à réinvestir", a-t-il estimé devant un parterre d'entrepreneurs. Le chef de l'Etat s'est félicité d'avoir créé depuis 2017 "un potentiel de 'business angels'", des investisseurs privés.

C'est donc la saison 2 de la "start-up Nation" mais on se demande s'il ne faut pas investir dans l'intelligence humaine "tout court" avec de balancer des centaines de millions pour voir si cela vaut le coup ! WTF !

Lors de son intervention au salon parisien de la tech, Elon Musk a rappelé ses ambitions pour le réseau social, qu'il souhaite transformer en équivalent occidental de WeChat. Lors du salon parisien VivaTech, Elon Musk est revenu sur son investissement de 44 milliards de dollars pour racheter Twitter. Celui qui dirige également Tesla et SpaceX a réaffirmé sa volonté de faire de Twitter une application à tout faire, s'inspirant du géant chinois WeChat, qui mêle réseau social et application de paiement mobile. Evoquant par ailleurs son histoire, en tant que co-créateur de PayPal. "Je pense qu’il y a le potentiel de faire quelque chose de plus important que PayPal. X, cette application à tout faire, par exemple. J’essaie de finir une tâche entamée il y a 24 ans, et je pense que X/Twitter va être utile. J’espère que cela sera positif pour la civilisation."
Depuis sa reprise de Twitter, Elon Musk a en effet renommé la maison-mère de l'entreprise X Corp, évoquant sa volonté de transformer la plateforme en application regroupant de multiples fonctions, avec des outils de messagerie instantannée et du paiement mobile.

Peu compétitive sur les prix des grandes marques, l’enseigne AUCHAN mise sur les produits bruts.

L’économe n’a jamais si bien porté son nom. «Nous sommes persuadés que le premier rempart contre l’inflation, c’est la capacité à peler des légumes», confie Philippe Brochard, le directeur général d’Auchan France. Et le quadragénaire de citer un exemple: «Les frites surgelées sont presque devenues un produit de luxe avec la hausse des prix de l’énergie. Alors que si vous prenez un économe et pelez des pommes de terre, vous pouvez vous cuisiner des frites à prix modique.»

Pour redonner du pouvoir d’achat à ses clients alors que l’inflation alimentaire culmine à 16 %, Auchan mise sur le poisson et les légumes frais plutôt que sur le Nutella ou les plats préparés. Le distributeur a fait le choix de serrer ses marges au maximum sur les produits bruts en France, au détriment des produits de grande marque, et notamment ceux qui sont les moins bons pour la santé. «Nous créons de l’aspérité en rayon pour orienter le comportement du consommateur», explique le directeur général.

La marketplace française B2B de produits alimentaires poursuit le développement de sa plateforme en élargissant son offre et lance sa nouvelle application mobile.

« Nous ne sommes pas une entreprise à impact, mais on essaie de faire quelque chose de bien. Notre objectif est de créer de la valeur pour les entrepreneurs et les propriétaires de petites entreprises du food business.». Eric Nivoix, cofondateur, croit au modèle de Foodomarket, sans s’opposer aux acteurs existants. L’idée des deux associés, qui avaient auparavant travaillé une dizaine d’années dans le numérique, créant plusieurs marketplaces dans d’autres secteurs, leur est venue en observant de près le monde de la restauration dans lequel évolue l’épouse d’Eric. Ils lancent donc en 2018 une place de marché qui permet aux acheteurs d'accéder à un vaste catalogue de  produits alimentaires aux meilleurs prix, en comparant les offres de plusieurs fournisseurs en un seul endroit. Parallèlement, l’approche aide les vendeurs à accéder à un grand nombre d’acheteurs potentiels, tout en leur garantissant des paiements sécurisés, réduisant ainsi le risque d’immobilisation et de pertes sur leurs stocks.
Un modèle pertinent si l’on observe le chiffre d’affaires de Foodomarket, qui a vu son volume d’affaires tripler en 2022. « Les acheteurs ont économisé en moyenne 15% sur leurs achats, une économie significative pour des entreprises aux marges écornées par l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat des ménages ».

Sans compter le gain de temps et d’énergie : « C’est extrêmement chronophage et énergivore. Les restaurateurs ne sont pas des traders ! » lance Eric Nivoix, qui se félicite qu’à date, près de 6 000 restaurants, principalement des indépendants, aient effectué des achats sur Foodomarket, qui « comme toute marketplace, pour se développer doit faire monter la mayonnaise de deux côtés ». Des coopératives figurent parmi les vendeurs, anonymisés sur la plateforme. « On arrive par exemple sur de la viande, à être 15 à 20% moins cher que chez les principaux grossistes, à qui elle est pourtant vendue plus chère ». L’objectif est aussi « de combattre la lenteur de la déflation sur certains produits ».
Si le modèle est testé avec succès aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, la priorité reste le marché français, à 65% sur l’Ile-de-France, « comme un Rungis en ligne », dont la nouvelle version sort cette semaine. Avec comme axes de développement le maillage géographique, pour optimiser les tournées, et l’anti-gaspi. "Une catégorie y est dédiée dans le catalogue, où l'on trouve des produits magnifiques avec des DLC courtes qu’on sauve du low cost ».

L'enseigne Burger King vous propose de tester ses 3 Masters du Chef - des burgers imaginés par le chef étoilé Michel Sarran* - du 13 juin au 31 juillet dans ses restaurants. Pour l'occasion, la chaîne de fast-food et son agence Buzzman remettent le couvert avec une campagne TV (produite par Mirror Mirror) et social média des plus... exigeante, visible depuis le 12 juin - elle est complétée par de l’affichage national et in-store dans les restaurants jusqu’au 31 juillet 2023. Une "pub de la semaine" ne laisse pas indifférent !

Les dépenses publicitaires numériques aux États-Unis connaissent leur taux de croissance le plus faible depuis plus de dix ans, même si près de 20 milliards de dollars de plus seront dépensés cette année par rapport à 2022, indique le dernier rapport «US ad Spending 2023 » d’eMarkter.

Les perspectives de l’industrie publicitaire américaine sont médiocres par rapport aux dernières années, mais le total des dépenses publicitaires dans les médias franchira la barre des 350 milliards de dollars en 2023. Le numérique représentera 74,6% de ce total, soit 263,89 milliards de dollars. Une reprise modérée de la croissance se profile à l’horizon, mais les jours de gloire sont révolus.

Riverside 520 E : le nouveau vélo électrique de Décathlon promet 100 km d’autonomie, et toujours un petit prix ...

L’enseigne de sport préférée des Français vient à peine de dévoiler ses nouveaux VTT électriques maison et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Cette fois, c’est la gamme Riverside, celle des VTC, qui est concernée avec l’apparition d’une nouvelle référence au catalogue : le Riverside 520 E. Sa promesse ? Un prix contenu et une autonomie XXL. Esthétiquement, le 520 E reprend le cadre bien connu des Riverside pour y ajouter une partie électrique intégrée de façon simpliste. Monté sur des roues de 28 pouces, il s’équipe également de freins à disques hydrauliques, d’une fourche Suntour (63 mm de débattement) et d’un dérailleur Microshift à 8 vitesses. Si le système d’éclairage est intégré par défaut, ce n’est pas le cas des gardes-boue et du porte-bagages qu’il faudra ajouter en option, si besoin. Pour le reste, c’est un vélo plutôt complet et bien fini, dans la veine de ce que propose Décathlon depuis des années. Côté électrification, le 520 E progresse légèrement par rapport à son prédécesseur, le 500 E (qui disparait du catalogue). La partie moteur reste inchangée, il s’agit toujours d’un système dans le moyeu arrière de 250W qui développe 42 Nm de couple, soit une valeur honnête dans la majorité des besoins. Celui-ci fonctionne toujours sur trois modes d’assistance qui font varier la puissance d’assistance et l’autonomie, mais pas la vitesse maximale, toujours limitée à 25 km/h.

En revanche, la nouveauté concerne la batterie qui passe sur un format 500 Wh (contre 418 Wh auparavant). Ce que ça change ? L’autonomie bien entendu. Désormais, dans le mode d’assistance le plus doux, le Riverside serait capable de dépasser les 100 km avec une seule charge. Cette batterie équipée de celles lithium-ion (LG ou Samsung selon le lot) est amovible pour être chargée à distance du vélo. Malheureusement, Décathlon n’a pas jugé bon d’essayer de dissimuler la batterie dans le cadre, ce qui donne un côté assez daté à l’ensemble. Néanmoins, ce procédé permet de produire le 520 E à un moindre coût, ce qui permet à la marque sportive d’annoncer son VAE à 1 399 euros.

Meta, fournisseur officiel de la Coupe du monde de rugby, et L’Équipe, annoncent un partenariat à l’occasion de l’événement sportif. Cette collaboration se traduit par  la création d’une émission bi-hebdomadaire exclusive de 30 minutes, intitulée « Tous en mêlée », du 7 septembre au 30 octobre. Elle sera diffusée sur les plateformes sociales de Meta, ainsi que sur le site et l’application de L’Équipe.

Anne-Sophie Bernadi, journaliste de la chaîne L’Équipe, assurera la présentation de l’émission, accompagnée de consultants comme Hugo Bonneval et Kevin Gourdon. Chaque jeudi et lundi, durant toute la compétition, « Tous en mêlée » alternera revue d’actualité, décryptages et analyses des matchs.

L’émission sera diffusée sur les comptes Facebook et Instagram de L’Équipe, en collaboration avec le compte Facebook de Meta France.