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La plateforme de streaming Apple Music annonce étendre son offre radio mondiale en direct avec trois nouvelles stations. Les utilisateurs d'Apple pourront désormais accéder à Apple Música Uno, Apple Music Club, et Apple Music Chill, stations animées en direct par des artistes.

Ces trois nouvelles stations viennent rejoindre Apple Music 1, Apple Music Hits et Apple Music Country, toutes accessibles gratuitement et sans abonnement sur Apple Music Radio. « Apple Music Radio est au coeur de notre service, représentant la rencontre entre des voix humaines exceptionnelles et des technologies de pointe qui façonnent et influencent la culture », a déclaré Oliver Schusser, Vice president of Music, Sports, and Beats d'Apple. « Nous avons consacré beaucoup de temps et apporté le plus grand soin à l'élaboration de ces nouvelles stations de radio, afin qu'elles soient parfaitement adaptées aux attentes des auditeurs et animées par quelques-uns des meilleurs commentateurs musicaux au monde, avec une programmation unique qui, nous en sommes convaincus, plaira à tous nos auditeurs ».

« La musique est essentielle à notre santé et à notre bonheur. Apple Music Radio vous donne le sentiment que votre musique est toujours là pour vous, disponible en permanence, et qu'elle n'attend qu'une chose : que vous l'écoutiez », a déclaré Zane Lowe, Global creative director d'Apple Music et animateur d'Apple Music 1. « Dans un monde régi par l'IA et les algorithmes, Apple Music Radio opère en direct. Il s'agit de personnes réelles, d'un moment de partage, et je suis ravi de faire profiter les auditeurs du monde entier de cette expérience grâce à ces trois nouvelles stations ». Apple Música Uno sera dédiée à la musique latine ; Apple Music Club à la musique dance et électro ; et Apple Music Chill à des temps de pause et de relaxation pour les auditeurs, tout au long de la journée.

Les annonceurs ne sont pas contents et cela peut se comprendre ! La raison ???

Baptisé "distraction control" (ou "anti-distraction" en français), l'outil pointé du doigt permet aux utilisateurs de masquer manuellement une fenêtre pop-up ou des bannières publicitaires sur le navigateur Safari. Cette fonctionnalité est disponible depuis septembre sur la dernière mise à jour du système d'exploitation d'Apple. "C'est une partie du modèle économique de l'ensemble de la presse mais aussi des médias, des pure players, et des fournisseurs de contenus et service sur Internet de façon plus globale qui serait amputé", explique à l'AFP, Pierre Devoize, directeur général adjoint d'Alliance Digitale, association professionnelle d'acteurs du marketing numérique, à l'initiative de la lettre. Le courrier a aussi été signé par l'Association française de la presse d'information générale, le Geste, organisation des éditeurs de contenus et de service en ligne, le Syndicat des régies d'Internet (SRI), l'Union des Entreprises de conseil et d'Achat Media (Udecam), et l'Union des marques, représentant au total plus de 800 entreprises.

Pour ces professionnels, au-delà de l'impact économique, l'outil d'Apple risque de "mettre en péril la conformité des acteurs avec les réglementations européennes sur la protection des données", en donnant la possibilité de masquer les fenêtres de consentement aux traceurs de publicités. "On ne sait pas comment ça va évoluer", poursuit Pierre Devoize, dont "la crainte massive" est que le masquage de "ces éléments de distraction ne soit plus de l'ordre de l'action positive d'un utilisateur, mais automatisé" à terme. Contacté par l'AFP, Apple n'a pas fait de commentaires. Concernant Distraction control, l'entreprise avait indiqué qu'il ne s'agissait pas d'un bloqueur de publicités, celles-ci n'étant pas définitivement supprimées par cette fonctionnalité. Il s'agit du deuxième courrier de l'Alliance digitale et de ses partenaires à destination du géant à la pomme, le premier envoyé fin mai étant resté sans réponse, d'après M. Devoize. Les signataires de la lettre se réservent "le droit d'envisager des actions juridiques", en l'absence de réponse satisfaisante, ont-ils précisé dans leur communiqué.

La Commission européenne a ouvert la voie lundi à une amende géante contre Apple, estimant à titre préliminaire que sa boutique d’applications App Store ne respectait pas les nouvelles règles de concurrence de l’UE, ce que dément la marque.

« Les règles de l’App Store enfreignent le règlement sur les marchés numériques (DMA) car elles empêchent les développeurs d’applications d’orienter les consommateurs vers des canaux de distribution alternatifs pour des offres et du contenu », a estimé Bruxelles dans un « avis préliminaire ».
Apple a construit son succès sur un écosystème fermé autour des célèbres iPhone et iPad, dont il contrôle tous les paramètres, une philosophie en opposition frontale avec les règles européennes de concurrence.
Le groupe californien se défend en invoquant des impératifs de sécurité et un confort accru pour ses utilisateurs.
« Au cours des derniers mois, Apple a apporté un certain nombre de modifications pour se conformer aux exigences du DMA (…) Nous sommes convaincus que nos propositions sont conformes au droit » européen, a réagi lundi l’entreprise.
« Tous les développeurs actifs dans l’UE sur l’AppStore ont la possibilité d’utiliser les fonctionnalités que nous avons introduites, notamment la possibilité de diriger les utilisateurs vers (un site) internet pour effectuer leurs achats », a-t-elle argumenté.
L’opinion publiée lundi constitue une première dans le cadre des nouvelles règles de concurrence introduites par le DMA, devenues contraignantes début mars. C’est une étape cruciale, à la suite de l’ouverture d’une enquête le 25 mars.
Apple a désormais la possibilité d’exercer ses droits à la défense en ayant accès au dossier, et pourra répondre par écrit aux conclusions préliminaires.
Si celles-ci étaient confirmées, la Commission adopterait une décision définitive de non conformité d’ici à fin mars 2025.
Apple pourrait alors écoper d’une amende allant jusqu’à 10% de son chiffre d’affaires mondial, soit plus de 30 milliards d’euros sur la base des ventes de l’an dernier, et même ultérieurement jusqu’à 20% en cas d’infraction répétée.

Walmart mise sur l'électronique pour séduire les hauts revenus... Enfin, c'est lobjectif !
L'enseigne américaine va désormais vendre le MacBook Air (puce M1) à 699 dollars, évoquant ce prix comme un moyen d'accomplir sa mission : rendre la qualité accessible aux consommateurs. Néanmoins, les fans d'Apple sont également des clients que Walmart essaye d'attirer en magasin.

L'enseigne élargit pour cela ses gammes en faisant entrer des références plus premium, tout en améliorant l'expérience d'achat en rénovant ou construisant près de 800 magasins selon un nouveau concept plus attractif. Enfin, cette décision est aussi un moyen de lutter contre Apple, qui pèse 41 % du marché électronique américain, quand la part de marché de Walmart est passée entre 2019 et 2023 de 8,2 à 5,5 % sur la catégorie.

Cela faisait de nombreuses années que des abonnés à Deezer réclamaient une app pour l'Apple TV. Ils ont été exaucés. Nous étions passés à côté, car l'annonce date de la mi-février, mais le service de streaming a pris place sur tvOS. Au même titre que certains de ses concurrents, installés sur l'Apple TV depuis un moment déjà. Deezer pour tvOS offre les fonctions de la version mobile, comme le Flow avec ses playlists personnalisées, Lyrics pour l'affichage des paroles ainsi qu'une diffusion en qualité hifi. L'app est réservée aux abonnés Premium, Famille et Étudiants !

Au terme d’une décennie de spéculation et d’efforts, Apple aurait décidé de clore les chapitres mystérieux de son Projet Titan, laissant derrière lui l’ambition de créer sa propre flotte de voitures électriques. Le chiffre de la semaine est donc "1", mais il est de taille !

Bien que la firme de Cupertino n’ait jamais officiellement confirmé l’existence de ce projet, les murmures dans les coulisses suggèrent qu’il a mobilisé près de 2000 employés. Axé sur la conception d’un véhicule entièrement autonome, dépourvu de volant et de pédales, l’équipe du Projet Titan aurait été confrontée à des défis insurmontables, conduisant in fine à cette décision abrupte. Cette annonce survient dans un contexte de volatilité accrue sur le marché des véhicules électriques, où des acteurs majeurs tels que Ford ont récemment gelé des projets d’expansion de la production, face à une demande en berne et une concurrence exacerbée. Apple semble résolument tourner son regard vers l’avenir en mettant l’accent sur l’intelligence artificielle générative, orchestrant ainsi une redistribution des compétences du Projet Titan au sein de sa division IA.

Les géants des technologies comme Apple, Google ou Meta ont jusqu’au 7 mars 2024 pour se conformer aux nouvelles règles draconiennes de l’UE contre leurs pratiques anticoncurrentielles, mais ils ont déjà annoncé des changements qui devraient profiter aux consommateurs.

Après des années de procédures interminables — et souvent vaines — pour tenter de mettre fin aux abus de position dominante des mastodontes du secteur, l’Union européenne s’est dotée d’un arsenal inédit. Le règlement sur les marchés numériques (DMA) doit combler les lacunes des règles traditionnelles de concurrence en imposant une série d’obligations et d’interdictions à des groupes devenus incontournables tant ils dominent leur marché. Appelés « contrôleurs d’accès », ils ont été désignés début septembre par la Commission européenne : cinq géants américains — Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft — ainsi que le chinois ByteDance, propriétaire de TikTok.

Le DMA vise 22 plateformes appartenant à ces géants, dont Amazon Marketplace, l’App Store d’Apple, Facebook, Instagram ou encore le navigateur Chrome de Google. « Il s’agit vraiment d’une intervention massive sur des marchés qui affectent la vie quotidienne des gens. L’objectif est d’ouvrir ces plateformes afin de permettre la concurrence », a déclaré à Fiona Scott Morton, experte du groupe de réflexion Bruegel. Depuis le début de l’année, les groupes concernés multiplient les annonces pour se conformer aux règles. « Nous obtiendrons assez rapidement certains des avantages » espérés, prédit Fiona Scott Morton.

Sony a profité d'une conférence de presse pour présenter le développement d'un casque de réalité mixte axé sur la « création de contenu spatial ». Le dispositif, doté de la puce Snapdragon XR2+ Gen 2 de Qualcomm, d'écrans micro-OLED 4K, de six caméras et capteurs, propose une expérience réaliste pour afficher des objets virtuels dans le monde réel.

Il se distingue par deux manettes atypiques, un contrôleur de pointage et un contrôleur annulaire (une bague), pour interagir intuitivement avec les objets 3D. Le design permet au casque de se relever sur le front, offrant aux utilisateurs la possibilité de revenir dans leur espace de travail physique sans le retirer. Sony vise le marché de la création 3D, et bénéficie déjà d'un partenariat avec Siemens.

Aucun prix ni date de sortie précise n'ont été divulgués, mais le lancement est prévu courant 2024. Cette annonce intervient peu de temps après celle d'Apple concernant son casque de réalité mixte, l'Apple Vision Pro, dont la sortie est prévue pour février.

Merci les taxes !!! En effet, la France va mettre en place dès le début de l’année 2024 une taxe sur le chiffre d’affaires des plateformes de streaming musical. Elle devrait entrer une hausse des prix des abonnements. Autant taxer ceux qui en ont les moyens, non ? Eh bien, non, car c'est bien le consommateur qui va payer la facture de cette nouvelle mascarade législative. Les incompétents ont donc voté pour subventionner l'exception cultuelle française. Tu parles Charles !

Pour l’heure, cette taxe sur le streaming est assez floue. Aucune date ni aucune modalité n’a été communiquée par l’Élysée ou le Ministère de la Culture. Lors d’un vote en novembre au Sénat, les élus du Palais du Luxembourg avaient voté pour l’arrivée d’une “contribution des plateformes de streaming” sans que davantage de détails soient donnés.

En novembre dernier, le Syndicat des éditeurs de service de musique en ligne (ESML), qui regroupe Spotify, Deezer et Qobuz entre autres, avait regretté l’arrivée prochaine de ce nouvel “impôt sur la production”. Nous aussi, on le regrette !

Passer de l'antipathie à la compassion, c'est possible et Apple nous le démontre avec son nouveau spot de 4 minutes ! Dans son dernier film de Noël, "Fuzzy Feelings", Apple mixe animation et séquences réelles pour raconter l'histoire d'une femme qui ne porte pas son patron dans son cœur. Au point de lui faire payer sa méchanceté au travers de courts-métrages qu'elle réalise à l'iPhone. Le film de 4 minutes, orchestré par TBWA\Media Arts Lab, a été réalisé par Lucia Aniello (Hungry Man production). C'est superbe et il faut le regarder dès maintenant !!! Une très belle "pub de la semaine" pour terminer l'année 2023.

The Lost Voice, Apple dégaine un super spot publicitaire ! Regardez ça et vous allez comprendre ...

Alors, il est vrai qu'il dure plus de deux minutes mais il vaut le détour.

Agence: TBWA\Media Arts Lab

La série à ne pas louper actuellement ... A savoir « Lessons in Chemistry » sur Apple TV +.

Composé de huit épisodes, Lessons in Chemistry permet aux spectateurs de retrouver Brie Larson, la star de Captain Marvel , dans le premier rôle d’une nouvelle pépite qui met à mal le patriarcat. L’actrice américaine donne notamment la réplique à Lewis Pullman (Top Gun : Maverick), Kevin Sussman (Big Bang Theory) ou encore Aja Naomi King (Murder). Brie Larson incarne dans la mini-série le rôle d’Elizabeth Zott, une jeune technicienne de laboratoire qui tente de se faire une place dans un monde dirigé par les hommes. L’histoire se déroulant au début des années 1960, la jeune femme voit son rêve de faire carrière en tant que scientifique s’éteindre à cause de la société qui cantonne les femmes à la sphère domestique. Lorsqu’elle tombe enceinte, Elizabeth est renvoyée du laboratoire où elle travaillait et devient animatrice dans une émission culinaire télévisée. Peu à peu, ce ne sont pas de simples recettes de cuisine qu’elle dévoile aux femmes au foyer qui la regardent, mais des messages féministes et engagés dans l’espoir de changer leur société.

La série Apple TV + est adaptée du roman éponyme de Bonnie Garmus, paru en 2022. Pour écrire cette histoire, la romancière s’est basée sur ses propres expériences professionnelles et celles de sa mère.