grande distribution

Pour la troisième année consécutive, les pots de verre Nutella s’habillent d’un sleeve imitant un pull de Noël à l'approche des fêtes. Les formats 350 g et 750 g partagent un modèle commun, qui reprend la fameuse tartine façon broderie dans un décor de Noël, tandis que le format promo de 1 kg se décline en quatre décors différents dotés d’un message. Il sera aussi possible de personnaliser le message et choisir parmi huit créations sur le site nutella.fr. En parallèle, la marque réédite un vrai pull à ses couleurs. Comme l’an dernier, l’achat d’un pot permettra de participer à un tirage au sort pour le gagner et briller notamment le 16 décembre, journée dédiée au pull de Noël.

L'enseigne de courses en ligne houra.fr lance une nouvelle vague d’affichage conçue par Les Présidents. Elle prend la parole pour réaffirmer haut et fort, toute l’importance qu’a pour elle la satisfaction de ses clients. Ce dispositif média élaboré par l’agence Repeat, diffusé depuis le 26 octobre jusqu’au 8 novembre, se déploiera via plus de 3000 faces des réseaux JCDecaux, Clear Channel, et Médiatransports sur des abribus et des flancs de bus, dans toute l’Ile-de-France, mais aussi en digital, et sur les réseaux sociaux de la marque. Voilà une campagne de communication simple sur le message et potentiellement efficace pour séduire les clients !

C'est absolument grotesque ! Voilà notre première réaction dès que nous avons pu voir ce spot de l'enseigne LIDL avec comme égérie Djibril Cissé. Sous le signe de la "simplicité" l’ex-footballeur fait des courses chez LIDL et soudain un "jeune" le reconnaît ! Euh, il est un peu jeune d'ailleurs pour le reconnaître car Cissé n'est quand plus une "première main" du football. MBappé ne devait pas être disponible ce jour là 😂. Bref, une histoire à dormir debout à la caisse d'un supermarché où l'on note que cette création publicitaire n'apporte aucun crédit positif à cette enseigne. Dommage, les publicités LIDL des derniers mois tenaient la route mais ici c'est le gros dérapage qui manque de crédibilité !

... Bref, à oublier au plus vite !

Le numéro 1 mondial de la vente au détail, WALMART, entre dans le monde virtuel en proposant deux expériences immersives sur la plateforme de jeu Roblox. Faut-il vraiment croire à ce "bullshit" lié au Metaverse. Qui va vraiment croire à cette pseudo révolution qui ne marchera pas ! Le metaverse entretient la bêtise marketing et cela nous désole profondément.  Bref ... "Walmart's Universe of Play" immerge le joueur au milieu des jouets vendus par le distributeur, tandis que "Walmart Land" propose un parcours du combattant au milieu de produits surdimensionnés de différentes marques de cosmétiques. Par ces expériences de jeu, Walmart vise la génération Z (les moins de 25 ans), de nouveaux acheteurs. Roblox sert de terrain d'essai pour Walmart qui projette de s'immerger dans le métavers et in fine, proposer de vendre des biens virtuels en NFT. La plateforme de jeu Roblox attire de nombreux utilisateurs : 32,6 millions en 2020 à plus de 52 milions aujourd'hui, autant d'utilisateurs pouvant devenir les prochains consommateurs de Walmart. Pour promouvoir cette initiative, le détaillant organise des live TikTok, Twitter et Youtube.

Parallèlement à cela, il déploie un canal de réalité augmentée sur Pinterest, lequel permet aux acheteurs de percevoir ce à quoi ressemblerait leur intérieur avec les produits proposés par Walmart.

Ralph Lauren a retiré sa présence dans les grands magasins et se concentre sur une stratégie qui s'appuie fortement sur le direct-to-consumer. La vente directe représente désormais 63 % de son chiffre d'affaires total et 26 % à l'e-commerce. La marque a supprimé les deux tiers de sa présence dans les grands magasins aux États-Unis, mais elle a également ouvert 450 nouveaux magasins et concessions autonomes dans le monde. La marque a identifié 30 nouvelles villes mondiales.

Cela comprend 14 marchés en Amérique du Nord, huit en Europe et huit en Asie-Pacifique. Au total, 25 magasins vont ouvrir dans les trois prochaines années !

Cora poursuit sa stratégie de développement de points relais pour les achats drive avec un partenariat avec La Poste. Une première pour le distributeur. Des points de retrait Cora drive ont été installés dans onze établissements de La Poste dans la région caennaise.

Les commandes seront préparées au Cora de Rots, situé en périphérie de Caen. Les clients peuvent choisir parmi les 30.000 références de l’hyper, alimentaires et non-al. Les achats sont livrés au point relais La Poste quotidiennement, du lundi au vendredi. Ils sont mis à disposition des clients le lendemain pour une commande passée avant minuit. Les agences postales ont été équipées pour garantir la chaîne du froid pour les produits frais et surgelés. Ces onze points de retrait La Poste sont situés dans des quartiers de Caen (Gambetta, Grâce-de-dieu, Guérinière), dans des communes à proximité (Mondeville, Colombelles, Bretteville-L’Orgueilleuse, Verson, Evrecy) mais aussi dans des villes moyennes un peu plus éloignées comme Ouistreham, Douvres-la Délivrande et Bayeux. Cette dernière est la plus distante, à 22 km de Cora Rots. Ce faisant, l’enseigne espère élargir la zone de chalandise de son hyper en mordant sur celles de ses concurrents.

Deux supermarchés parisiens Auchan bénéficient d'une livraison 100 % électrique. ... C'est bon on va sauver la planète ! Cela nous rassure de savoir qu'il y a désormais des camions électriques qui livrent les supermarchés... Pff Belle mascarade de la communication "bullshit" qui tente de faire du RSE !

En partenariat avec Bert, l'expérimentation d'une semaine est déterminante pour l'enseigne, qui décidera du déploiement d'une flotte électrique. Le test permet d'ajuster les aspects techniques et les caractéristiques opérationnelles de ce type de véhicule, l'objectif étant de proposer une qualité de service équivalente à la livraison traditionnelle, via les véhicules thermiques. La démarche d'Auchan vise ainsi à réduire l'empreinte carbone et intègre les engagements RSE du groupe.

Après le lancement, au printemps 2022, de son "miniverse", un magasin virtuel, Printemps avait dévoilé travailler sur une deuxième "brique" d'expérience virtuelle. Le 5 octobre, l'enseigne de luxe a annoncé le lancement sur son site e-commerce d'une première collection de vêtements pour humains et animaux de compagnie 100 % virtuelle. Voilà une nouvelle qui ne manque pas d'intérêt ! Euh, non en définitive si les journaux de marketing se mettent à genoux face à ce genre d'information, nous trouvons que ce genre de chose est absolument débile ! Le baratin marketing qui va avec l'est encore plus : "Cette initiative de "virtual fashion" consiste en l'achat d'un vêtement pour soi ou son animal qui ne sera pas portable dans la "vraie vie" mais transposable sur une photo. Une première phase, inspirée du gaming et de la vogue des achats de skin – avant de transformer le résultat en NFT. L'achat de ces vêtements virtuels se veut abordable. "Les prix s'échelonnent de 7 euros pour un produit pour chiens à 20 euros (pour un body bionique, N.D.L.R.), explique Morgane Lopes, directrice e-commerce et marketing de Printemps.com, à l'occasion du One to One Biarritz. C'est cohérent, même pour une marque de luxe, car nous ne nous sommes pas associés à un designer pour cette collection".

Après deux ans de croissance et un démarrage en hausse (plus 9 % à fin avril), le marché du jouet affiche un chiffre d'affaires en hausse de 5 % par rapport à 2019. Les ventes en ligne reculent de 14 % par rapport à 2021. Elles pèsent désormais 27 % du chiffre d'affaires total des jeux et jouets.

The NPD Group dévoile son bilan et ses pronostics pour la période de ventes la plus importante pour le secteur du jouet : Noël. Si globalement le marché repart à la hausse, il essuie un léger recul 0,2 % en valeur à la fin août 2022 et de 11 % ces 3 derniers mois.

Les volumes connaissent eux aussi un recul : moins 12 % depuis le début de l'année et moins 20 % sur le dernier trimestre. Un recul tout de même compensé par une augmentation du prix moyen, passé de 13,03 euros à 14,69 euros en un an, soit une augmentation de 13 %. Face à cette tendance, 26 % des Français interrogés reconnaissent avoir moins dépensé en jeux et jouets ces six derniers mois par rapport à l'année précédente. Ils sont seulement 19 % à avoir dépensé plus. La moitié des personnes interrogées déclarent avoir fait des coupes dans leurs achats à cause de la situation économique. De leur côté, les jeunes parents âgés de 25 à 40 ans, restent les consommateurs les plus fidèles et ont même augmenté leurs dépenses. Le retour des acheteurs en magasin ... En effet de janvier à juillet 2022, les ventes en ligne reculent de 14 % par rapport à 2021. Elles pèsent désormais 27 % du chiffre d'affaires total des jeux et jouets. Les ventes en magasin, pour leur part, progressent de 6 % (Source Toys Consumer 360). Un chiffre difficilement comparable à celui enregistré l'an passé puisque les fermetures imposées au printemps 2021 avaient fait dégringoler les ventes.

4 Français sur 10 achètent du vrac au moins une fois par mois ! Rien que ça... Interrogés en août par l’institut Yougov, les Français sont 41% à déclarer acheter du vrac au moins une fois par mois. Deux tiers d’entre eux ont franchi le pas il y a moins moins de cinq ans et 19% depuis moins d’un an. Les GMS sont le circuit de prédilection du vrac (59% des réponses), devant les magasins bio (40%), les marchés (24%) ou encore les épiceries spécialisées (21%). La première motivation d’achat concerne la réduction des déchets (57% des réponses), bien avant la juste dose pour ne pas gaspiller (48%), un prix plus compétitif (35%) ou le souhait de manger sainement (24%). À l’inverse, ceux qui ne sont pas encore passés au vrac reprochent à cette forme de vente un manque de praticité (35% des réponses), des risques sur l’hygiène (28%), un coût trop élevé (25%). Par ailleurs, 29% des sondés n’ont jamais testé le vrac faute d’offre disponible dans leurs magasins.

Si 63% des Français aimeraient pouvoir acheter leurs produits de grandes marques habituels sans packaging, seulement 37% accepteraient d’aller dans un magasin plus éloigné pour trouver les produits qu’ils consomment habituellement emballés.

Evian, Volvic, Badoit… Autant de marques qui ne sont pas prêtes de faire leur retour dans les rayons des magasins Intermarché. Ah ah ah... Belle mise en scène de la part d'Intermarché pour faire parler d'elle et de tenter de convaincre qu'elle est au cœur de la défense du pouvoir d'achat. Est-ce que cette mascarade va vraiment séduire les clients ? Est-ce un bon coup de communication ? Le marketing est-il au centre de cette nouvelle stratégie de retrait ? Autant de questions qui vont trouver des réponses dans quelques semaines quand les clients feront eux aussi le choix de se rendre ou pas chez un distributeur qui ne veut plus des grandes marques. Rappelons que l'enseigne Intermarché est l'une des enseignes qui proposent le plus de produits MDD... Facile dans ce cas de rabattre les consommateurs sur les marques d'Intermarché !!!

Dans le Parisien, le Directeur de Danone a expliqué « Nous, ce qu’on souhaite, c’est qu’Intermarché propose nos produits. De toute façon, le consommateur va dans plusieurs enseignes. Si les consommateurs ne trouvent pas dans une enseigne nos produits, ils auront toujours l’opportunité de les trouver dans une autre », a souligné François Eyraud.

L'enseigne de prêt-à-porter Camaïeu a été placée en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Lille, entraînant la suppression des 2 600 emplois de l'entreprise nordiste, deux ans après sa reprise par la Financière immobilière bordelaise. 514 magasins qui ferment, c'est complètement dingue, non ? Le bilan de cette enseigne est triste car la marque est très belle ! « Le tribunal convertit le redressement en liquidation judiciaire », a affirmé son président, suscitant les larmes des salariés venus écouter le délibéré. « C'est une grande déception », a également déploré le ministre délégué à l'Industrie Roland Lescure. « Le plan de reprise était très peu instruit avec un plan d'affaires qui tient sur une page, je ne suis pas capable d'engager plus de 70 millions d'efforts de l'État, je le regrette qu'on en soit arrivé là », a-t-il déclaré. Il fallait 90 millions d'euros à l'enseigne nordiste pour rester à flots jusqu'en janvier mais seulement 14 millions ont été mis sur la table, détaille le journal régional La Voix Du Nord. L'ultime appel à l'aide de l'actionnaire, à savoir un soutien financier de l'État, n'aura donc pas été entendu par les juges du tribunal de commerce de Lille Métropole.