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Publié le 8 Septembre 2024


Meta développe Puffin, un casque de réalité mixte de la taille d'une grosse paire de lunettes !
Meta cherche à créer un casque de réalité mixte ultra compact et léger. Baptisé Puffin, ce projet s'appuierait sur un "compute pack" externe contenant le processeur et la batterie et pourrait sortir en 2027.


Cette innovation ressemblerait à "une grosse paire de lunettes". L'appareil, dont le nom de code est "Puffin" d'après The Information, ne pèserait que 110 grammes, soit presque 5 fois moins qu'un Meta Quest 3. Pour obtenir ce résultat, il utiliserait bien sûr des lentilles pancakes (et possiblement des écrans Micro-Oled), mais s'appuierait surtout sur un boîtier externe contenant le processeur et la batterie.

Le casque serait vendu sans contrôleurs, reposant à la place sur le suivi des yeux et des mains, comme c'est le cas pour l'Apple Vision Pro. S'il arrive à maturité (ce qui n'est pas garanti), sa mise sur le marché se ferait courant 2027. Meta a récemment abandonné un autre prototype, qui était également prévu pour 2027, baptisé "La Jolla". Il était conçu comme un casque très haut de gamme afin de rivaliser avec le Vision Pro, mais Meta l'a jugé trop coûteux pour le marché. En comparaison, Puffin se recentre sur les fondamentaux de Meta : plaire au plus grand nombre.

La question du prix sera déterminante pour ce type d'appareil dont l'usage reste aujourd'hui limité. Notons que Puffin représenterait une ligne de produits parallèle du Quest 3 et de son successeur (apparemment prévu pour 2026), a priori tourné vers une utilisation autre que les jeux vidéo. Un Quest Pro 2 réimaginé ? Difficile à dire à ce stage. A plus court terme, Meta présentera un casque d'entrée de gamme lors de sa conférence Connect le 25 septembre qui remplacera le Quest 2. On attend également des nouvelles de ses partenariats avec Asus et Lenovo.

 

 

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Publié dans #Innovation high Tech, #META, #AR

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Publié le 5 Septembre 2024

Meta Spark, la plateforme de réalité augmentée pour applications mobiles, disparaîtra en début d'année prochaine. C'est une page qui se tourne dans la stratégie de Meta en matière d'AR.

Meta fait le ménage et annonce la fermeture de Meta Spark, sa plateforme de réalité augmentée pour smartphones, dès le 14 janvier 2025. Les effets de réalité augmentée créés par Meta resteront utilisables dans ses applications (Facebook, Instagram), mais la plateforme ne sera plus accessible pour les développeurs tiers. Meta Spark Studio, le hub et les lecteurs associés vont donc tous disparaître.

A l'origine, la plateforme était née au sein de MSQRD, une petite start-up à l'origine d'une application de selfies avec filtres sur les visages. Facebook en avait fait l'acquisition en 2016 et avait rapidement juguler l'application, faisant basculer les équipes et la technologie vers ses propres produits (filtres Instagram notamment). Il l'avait ensuite ouverte aux développeurs tiers en 2017, d'abord sous le nom de "Camera Effect Platform", puis de "Spark AR".

La plateforme aura su séduire plusieurs grands clients, dont le plus emblématique restera sans doute L'Oréal, pour des applications de maquillage virtuel. Elle se démarquait par un moteur 3D multi-support (iOS, Android, Windows, MacOS), une intégration directement dans les réseaux sociaux de Meta, et une batterie d'options (shaders, blendshapes, layers, particle effects, animations, face tracking, hand tracking, texture compression, etc.) qui la rapprochait d'un moteur commercial, tout en restant simple d'usage. Elle fut ainsi une porte d'entrée vers la réalité augmentée pour beaucoup de développeurs.

L'objectif pour Meta était de pouvoir tenir tête à Snapchat sur le plan des filtres et il s'agissait aussi de paver la voie aux lunettes de réalité augmentée sur lesquelles elle misait à terme. Ces dernières sont enfin sur le point d'arriver, avec la présentation du démonstrateur Orion, mais Spark ne sera pas de la partie.

 

 

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Publié dans #META, #Web, #Mobile

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Publié le 15 Août 2024

Social Media : Bientôt du partage des chansons directement sur WhatsApp

C'est une révolution dans le monde de la musique et des réseaux sociaux : Meta et Universal Music Group (UMG) vont permettre aux utilisateurs de partager des chansons directement sur WhatsApp. Cette collaboration inédite promet de transformer la manière dont nous consommons et partageons la musique, en intégrant des fonctionnalités innovantes au sein de l'une des applications de messagerie les plus populaires au monde.En plus de partager des fichiers et autres images, les utilisateurs de WhatsApp vont bientôt pouvoir diffuser de la musique sur l'application. Universal Music Group (UMG) vient en effet de signer sa première collaboration avec le réseau social du groupe Meta. Cet accord arrive alors qu'UMG avait déjà autorisé le partage des musiques de leurs artistes sur les autres plateformes de Meta à savoir Facebook, Instagram, Messenger, Horizon et Threads en 2017. La finalisation de ce contrat sur WhatsApp s'est concrétisée dans le cadre d'un accord de licence global.

C'est notamment la rémunération des contenus qui avait retardé l'arrivée de cette fonctionnalité sur WhatsApp. Cette extension permettra aux utilisateurs de WhatsApp de partager des morceaux de musique sans enfreindre les droits d'auteur, tout en offrant aux artistes et auteurs-compositeurs une part des revenus publicitaires générés par l'utilisation de leurs œuvres.

 

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Publié dans #WhatsApp, #SocialMedia, #META, #Mobile

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Publié le 22 Juillet 2024

Le géant technologique Meta retarde le lancement de sa nouvelle IA générative Llama 3 en Europe, citant un cadre réglementaire «incertain». C'est un report de taille qui mérite sa place comme "chiffre de la semaine" !

 

Meta a reporté sine die la mise en ligne de sa nouvelle interface d’intelligence artificielle (IA) générative pour les utilisateurs européens, évoquant un cadre réglementaire « incertain » dans l’Union européenne.

Le programme est une nouvelle version de son Llama 3, dite multimodale, c’est-à-dire un modèle de langage permettant d’utiliser et de créer texte, mais aussi images ou cartes. Il doit offrir de nouvelles fonctionnalités aux utilisateurs de toutes les plateformes du groupe, Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp.

 

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Publié dans #Le chiffre de la semaine, #META, #facebook, #Instagram, #WhatsApp

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Publié le 7 Juin 2024

Meta, la maison mère de Facebook, WhatsApp et Instagram, a mis à jour sa politique de confidentialité et cela concerne une technologie qui nous bassine les oreilles depuis quelques années : l’intelligence artificielle (IA). Dorénavant, sur Facebook et Instagram, vos données vont pouvoir être utilisées par des robots pour entraîner des modèles d’IA.

Le message de la part de META est flou bien entendu pour ne pas dire opaque : “Nous nous appuierons désormais sur la base légale de nos intérêts légitimes afin d’utiliser vos informations pour développer et améliorer l’IA de Meta.”

En gros, Meta va donc pouvoir prendre vos informations publiques et semi-publiques sur vos comptes Facebook et Instagram afin d’entraîner leurs modèles d’intelligence artificielle. Cela inclut donc vos publications, vos photos, vos vidéos et bien sûr les légendes sous ces dernières. En revanche, aucun regard sur vos conversations privées qui sont, par définition, privées. Une exception : les messages envoyés à Meta AI (logique).

Comment refuser l’utilisation de vos données par l’IA Facebook ?

Si vous êtes résident de l’Union européenne, vos données sont protégées par le règlement général sur la protection des données (RGPD). Vous pouvez ainsi l’invoquer pour vous opposer à l’utilisation de vos données par Meta. Nous avons nous-mêmes essayé cette méthode : ça marche.

Pour cela, il faut vous rendre sur ce formulaire (en étant connecté à Instagram). Le formulaire via Facebook n’est, lui, toujours pas accessible. Ensuite, il faut juste rentrer votre adresse e-mail (préférez celle que vous utilisez sur Meta), votre pays de résidence et… une justification.

Rappelons que Meta n’a pas le droit de vous demander de justification, comme le rappelle la Commission nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL).

 

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Publié dans #facebook, #Instagram, #META, #SocialMedia

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Publié le 10 Mai 2024

Meta va étendre à tous les utilisateurs de Facebook une fonctionnalité controversée qu'il teste depuis quelque temps dans certaines régions. Baptisée "Historique des liens", cette fonction crée un répertoire spécial de tous les liens sur lesquels les utilisateurs cliquent dans l'application mobile Facebook. En d'autres termes, elle permet à Facebook de suivre les utilisateurs à travers le Web et semble n'avoir aucun avantage réel pour les utilisateurs. Meta redouble d'efforts et cherche de nouveaux moyens pour préserver son empire en matière de collecte de données. L'option est activée par défaut et Meta indique que les données des utilisateurs sont utilisées pour des publicités ciblées. Rappelons au passage que Meta a réglé à coût de plusieurs milliards de dollars un certain nombre de procès pour violation de la vie privée des utilisateurs et doit faire face à de nouvelles réglementations strictes en matière de collecte et de traitement des données personnelles, notamment dans l'UE. Mais il semble que cela ne soit plus un problème de chéquier dans ce bas monde ...

 

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Publié dans #SocialMedia, #facebook, #Web, #META

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Publié le 6 Mars 2024

Meta dit "stop" ! et va cesser de payer les médias australiens pour leurs informations. C'est déjà le cas comme en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. En effet, Meta a indiqué qu’il supprimerait l’onglet Facebook News en Australie et ne renouvellerait pas ses accords de contenus avec les médias d’une valeur de centaines de millions de dollars. « Les gens ne viennent pas sur Facebook pour des informations et du contenu politique » a expliqué la société pour justifier la suppression de Facebook News, un onglet donnant accès aux articles en ligne de grands médias.

En Australie, la ministre des Communications Michelle Rowland a exprimé sa colère face à l’annonce de Meta et a suggéré des représailles. « La décision de Meta de ne plus payer pour le contenu d’information dans un certain nombre de juridictions représente un manquement à son engagement envers la viabilité des médias d’information australiens », assure-t-elle.

Le gouvernement « étudiera toutes les options disponibles » pour résoudre le problème

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Publié dans #Media, #META, #facebook, #Instagram

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Publié le 3 Mars 2024

Social Media : l’abonnement payant de Meta visé par une plainte par 8 pays européens

Des associations de consommateurs européennes ont officiellement porté plainte ce jeudi 29 février 2024 auprès des instances chargées de la protection des données personnelles. Leur cible ? Meta, le propriétaire des réseaux Instagram, Facebook ou encore WhatsApp, qui propose depuis quelques mois un abonnement entre 9,99 € et 12,99 € (si payé sur smartphone) par mois permettant de réduire le ciblage publicitaire. Alors info ou intox de la part de META ? Dans cette plainte croisée émanant de France, Slovénie, Espagne, Slovaquie, Danemark, Norvège, Grève et République tchèque, on apprend que la formule payante proposée par Meta n’est qu’un écran de fumée destiné à montrer patte blanche face à un RGPD qui n’est pas bon pour ses affaires. Pour l’UFC-Que Choisir, qui représente le France dans cette plainte, l’abonnement Meta est « un écran de fumée destiné à détourner l’attention du consommateur quant au traitement illicite de ses données personnelles ».

Meta, accusé depuis des années de récolter une quantité déraisonnable de données personnelles (ce qui lui a déjà valu plusieurs amendes) arrive en effet avec une illusion de choix : soit les utilisateurs et utilisatrices acceptent de payer pour que le pistage cesse, soit ils et elles acceptent d’être trackés pour pouvoir accéder au service.

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Publié dans #META, #facebook, #Instagram, #SocialMedia

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Publié le 1 Mars 2024

Les géants des technologies comme Apple, Google ou Meta ont jusqu’au 7 mars 2024 pour se conformer aux nouvelles règles draconiennes de l’UE contre leurs pratiques anticoncurrentielles, mais ils ont déjà annoncé des changements qui devraient profiter aux consommateurs.

Après des années de procédures interminables — et souvent vaines — pour tenter de mettre fin aux abus de position dominante des mastodontes du secteur, l’Union européenne s’est dotée d’un arsenal inédit. Le règlement sur les marchés numériques (DMA) doit combler les lacunes des règles traditionnelles de concurrence en imposant une série d’obligations et d’interdictions à des groupes devenus incontournables tant ils dominent leur marché. Appelés « contrôleurs d’accès », ils ont été désignés début septembre par la Commission européenne : cinq géants américains — Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft — ainsi que le chinois ByteDance, propriétaire de TikTok.

Le DMA vise 22 plateformes appartenant à ces géants, dont Amazon Marketplace, l’App Store d’Apple, Facebook, Instagram ou encore le navigateur Chrome de Google. « Il s’agit vraiment d’une intervention massive sur des marchés qui affectent la vie quotidienne des gens. L’objectif est d’ouvrir ces plateformes afin de permettre la concurrence », a déclaré à Fiona Scott Morton, experte du groupe de réflexion Bruegel. Depuis le début de l’année, les groupes concernés multiplient les annonces pour se conformer aux règles. « Nous obtiendrons assez rapidement certains des avantages » espérés, prédit Fiona Scott Morton.

 

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Publié dans #Web, #facebook, #Apple, #META, #google

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Publié le 9 Janvier 2024

Instagram permet de visionner son historique de signalements. Pratique pour savoir si des mesures ont été prises par la plateforme.
Avec l’historique des signalements d’Instagram, il est possible, d’une part, de consulter tous les signalements effectués, mais aussi et surtout de voir lorsqu’une action a été prise à l’encontre de l’auteur de l’abus. La conclusion peut évidemment être la même, que vous soyez informé(e) ou non, mais au moins, vous savez que votre plainte n’a pas simplement disparu dans la nature quelque temps après que vous avez cliqué sur le bouton “Envoyer le signalement”.


Voici comment visualiser votre historique de signalements sur Instagram :

Ouvrez Instagram puis ...

  1. Tapotez sur votre icône de profil dans le coin inférieur droit de l’écran pour accéder à votre profil.
  2. Tapotez sur l’icône avec les trois lignes horizontales (“icône hamburger”) dans le coin supérieur droit. Cela va ouvrir un menu flottant.
  3. Tapotez sur Paramètres pour accéder au menu des paramètres.
  4. Tapotez sur “Aide” tout en bas pour faire apparaître le menu d’aide d’Instagram.
  5. Tapotez ensuite sur “Demandes d’assistance”.
  6. Enfin, tapotez sur “Signalements”.

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Publié dans #SocialMedia, #Instagram, #META

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Publié le 21 Novembre 2023

L’interdiction de toute « publicité comportementale » imposée par la Norvège à Meta, maison-mère de Facebook et Instagram, sera étendue à l’ensemble des pays de l’UE et de l’Espace économique européen, a annoncé le régulateur européen de la protection des données (EDPB).

Cette pratique, qui consiste à utiliser les données personnelles des internautes pour leur soumettre des publicités ciblées, est jugée contrevenir au règlement européen sur les données (RGPD).
Cette décision, applicable sous deux semaines, intervient alors que le géant technologique américain a annoncé lundi proposer des formules d’abonnement payantes à ses utilisateurs européens qui ne souhaitent pas voir leurs données utilisées, justement en vue de se conformer aux réglementations de l’UE.

Cette décision « contraignante » a été signifiée à Meta, qui risque de lourdes amendes en cas de non conformité. En mai dernier, le groupe américain avait déjà écopé d’une amende record d’1,2 milliard d’euros du régulateur irlandais, agissant au nom de l’UE, pour avoir enfreint le RGPD avec son réseau Facebook – la quatrième amende infligée à Meta dans l’UE en six mois.

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Publié dans #META, #SocialMedia, #facebook, #Instagram

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Publié le 18 Novembre 2023

Meta et Google devraient des milliards aux éditeurs de presse s’ils évaluaient équitablement les avantages des contenus d’information pour leurs plateformes.

C’est ce qui ressort d’une étude récente de l’Initiative for Policy Dialogue de l’université de Columbia.

L’étude a estimé le montant que Facebook et Google Search devraient aux éditeurs de presse pour l’utilisation des contenus d’information, en supposant qu’un projet de loi soit institué aux États-Unis pour obliger les entreprises telles que Meta et Google à payer pour soutenir l’information.

En utilisant une « hypothèse prudente », les chercheurs ont constaté que Facebook, qui appartient à Meta, doit 1,9 milliard de dollars et que Google doit entre 10 et 12 milliards de dollars par an aux éditeurs de presse américains. Ils sont parvenus à ces chiffres en estimant les revenus que Google Search et Facebook ont tirés des contenus d’actualité et qu’ils n’auraient pas perçus si ces contenus n’avaient pas existé, ce que l’étude appelle la « valeur additionnelle » créée conjointement par les plateformes et les éditeurs d’actualités. Les auteurs de l’étude ont ensuite divisé les recettes totales selon le principe du « partage équitable » (50-50).

Les chercheurs ont estimé que 6,6% et 17,5% des recettes publicitaires totales respectives de Facebook et de Google Search devraient être versés aux éditeurs de presse chaque année.

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Publié dans #google, #META, #facebook, #Web

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