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Le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky n'entre pas au capital du quotidien l'Opinion, les négociations avec Nicolas Beytout, patron du groupe Bey Médias (l'Opinion, l'Agefi), n'ayant «pas abouti», a-t-on appris mercredi dans l'entourage de Daniel Kretinsky, confirmant une information du média La Lettre. «Les négociations n'ont pas abouti», a indiqué cette source à l'AFP, sans donner davantage de précisions.

En juin dernier, Nicolas Beytout avait annoncé «être entré en négociation exclusive» pour ouvrir le capital de son groupe Bey Médias au milliardaire tchèque et sa filiale médias CMI France. Un accord de «négociation exclusive», signé entre l'homme d'affaires tchèque et le patron-journaliste français, prévoyait que CMI France prenne 49% de la holding qui est le premier actionnaire de son groupe.

 L'Opinion, lancé en mai 2013 par Nicolas Beytout pour défendre une ligne résolument libérale et pro-européenne, est en déficit chronique. Des négociations pour une refinanciarisation avaient aussi été lancées avec le concurrent de Kretinsky, Rodolphe Saadé (CMA CGM) en 2023 mais n'ont pas abouti, l'offre de ce dernier ayant été jugée trop basse, selon La Lettre.

La nouvelle passe mal et on le comprends parfaitement ! Comment cela puisse d'ailleurs passer comme cela sans que l'Etat n'intervienne sur le sujet ??? Ah, ce n'est peut-être pas le moment mais en même temps, ce n'est jamais le bon moment en France ...

Unique distributeur de la collectivité, Hachette Pacifique a annoncé par une simple note aux buralistes qu'il arrêterait de livrer la presse nationale et internationale au-delà du 31 décembre. L'entreprise n'a pas souhaité répondre à l'AFP mais en mars 2024, la société avait sollicité une aide financière auprès du Haut-commissariat de France en Polynésie, arguant d'un service "largement déficitaire". La crise de la distribution n'est pas neuve dans l'immense territoire du Pacifique qui s'étend sur une surface comparable à celle de l'Union européenne. Dès 2020, en pleine pandémie de Covid-19, les quotidiens avaient cessé d'être livrés. En octobre 2024, la distribution par avion des hebdomadaires et des mensuels avait également cessé mais ils continuaient d'être livrés par bateau, avec plus d'un mois de retard sur l'Hexagone. Le gouvernement local, de son côté, ne s'émeut pas de cette raréfaction de l'offre. Interrogé par l'AFP, il a simplement affirmé que la collectivité "n'a pas à se substituer aux acteurs privés".

Dans les tabacs-presse tahitiens, les quelque 600 titres encore en vente disparaîtront donc dès le 1er janvier. Ne subsisteront que quelques magazines locaux et l'unique quotidien de Polynésie, Tahiti Info. Directeur du géant de la distribution de presse France Messagerie, qui expédie chaque jour 700.000 journaux et magazines en France et en Outre-mer, Eric Matton a indiqué à l'AFP étudier avec son concurrent les Messageries lyonnaises de presse (MLP) "la possibilité d'organiser une distribution alternative via la Nouvelle-Calédonie". Mais la distribution en Nouvelle-Calédonie a elle-même été très affectée par les émeutes qui ont éclaté en mai, laissant planer le doute sur ce projet.

Les 3 et 4 décembre 2024 à Paris : Ce rendez-vous incontournable de la Profession sera l’occasion
– de rencontrer les 85 sociétés, qui partageront leur expertise et leur savoir-faire pour mieux produire, mieux vendre et mieux diffuser.
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• Le déjeuner Diffusion : le traditionnel déjeuner-débat rassemblera les principaux acteurs de la distribution autour des problématiques de la diffusion : Les solutions pour maintenir la vente au numéro et la croissance de la diffusion numérique
• La Cérémonie des Trophées : une soirée VIP qui récompensera les meilleures innovations Presse & Médias de l’année

Voilà encore une bonne idée du goouvernement ! Ce dernier veut vendre le magazine "60 millions de consommateurs". Une idée absurde puisque ce titre a pour objectif la défense des consommateurs et de garantir une certaine neutralité. Ce titre pourrait passer entre les mains de gens bien peu regardant à l'avenir

L'Etat veut trouver un repreneur pour le magazine 60 millions de consommateurs, édité par un établissement public depuis 1970, en mettant en avant ses difficultés tandis que salariés et même l'ancienne ministre délégué Olivia Grégoire déplorent cette décision. Le magazine est édité depuis 1970 par l'Institut national de la consommation (INC), un établissement public basé à Malakoff, dans les Hauts-de-Seine, et qui emploie une cinquantaine de personnes.

Alors que les représentants du personnel ont alerté à plusieurs reprises ces derniers mois au sujet d'une dégradation de sa santé financière, le cabinet de la secrétaire d'Etat à la consommation Laurence Garnier a annoncé lundi à l'AFP que l'Etat "souhaite engager" des "démarches en vue de trouver un repreneur pour le magazine".

Le magazine Marianne ne sera pas racheté par l'entrepreneur Jean-Martial Lefranc après les réticences de la rédaction. En cause : une intervention assumée de l'homme d'affaires dans la ligne éditoriale du journal. près l'arrêt des discussions sur le rachat avec le milliardaire conservateur Pierre-Edouard Stérin, rejeté par la rédaction après la révélation par le Monde d'accointances avec l'extrême droite, le magazine a annoncé aujourd'hui l'arrêt des négociations avec l'entrepreneur Jean-Martial Lefranc. En cause : un manque de garanties sur l'indépendance éditoriale, selon une partie de la rédaction.

Son propriétaire, CMI France, « prend acte de ce que les discussions avec M. Lefranc sont terminées »" et déplore « une situation inédite (qui) place le magazine dans une conjoncture incertaine », écrit le groupe du magnat tchèque Daniel Kretinsky (Elle, Télé 7 jours...) dans un communiqué transmis à l'AFP, se disant toutefois « déterminé à trouver un avenir pour le titre », mis en vente depuis fin avril 2024. Le groupe, propriétaire de Marianne depuis 2018, « indiquera prochainement les grandes orientations qui pourraient alors être retenues », selon le communiqué. L'hebdomadaire a perdu 3 millions d'euros en 2023, pour 12 millions d'euros de chiffre d'affaires. Il défend une ligne éditoriale souverainiste, pro-laïcité, antilibérale en économie et critique des élites. Pas de bol quand on critique ceux qui ont de l'argent pour investir de ne pas trouver preneur. La revente n'est pas impossible mais elle n'est pas forcement gagnée dans les prochains mois !

Cuisine AZ (Prisma Media) se décline en version papier ... Et pourquoi pas après tout ? Dans sa volonté de renforcer son leadership sur le marché de la food, Prisma Media a annoncé le lancement du magazine Cuisine AZ le 23 octobre dernier. Alors que Cuisine AZ n'existait qu'en version numérique avec ses près de 9 millions de visiteurs uniques, il a appartenu un an au groupe M6, avant d'être intégré au groupe Prisma Media. Par sa déclinaison en version papier, Prisma Media souhaite répondre à l'envie de bien manger et de plaisir en cuisine de millions de Français. Dans chaque numéro, les fervents de cuisine retrouveront 120 recettes inédites, des conseils du chef Liguori, ainsi qu'un guidage pour cuisiner les bons produits de saison.

Tout comme dans sa version digitale, Cuisine AZ poursuit la conversation avec sa communauté avec une touche d'humour, sur un ton léger et joyeux, assaisonner de photos inédites, modernes et élégantes.

« Avec ce magazine, Cuisine AZ va encore plus loin dans sa mission d'accompagner les Français vers une cuisine accessible, saine et gourmande. Il est le fruit d'une équipe talentueuse, passionnée par la cuisine et l'excellence », déclare Yoan Cartignies, Directeur de Cuisine AZ.

« Le lancement du magazine de Cuisine AZ était une évidence pour cette marque déjà puissante sur le numérique et sera une carte maîtresse pour renforcer le leadership en ventes au numéro de Prisma Media sur la cuisine », ajoute Pascale Socquet, Directrice Générale de Prisma Media.

Étienne Gernelle, directeur de Le Point, a annoncé une refonte majeure de la stratégie du magazine pour renforcer son positionnement premium. À la fin de l’année, Le Point cessera de publier des dépêches AFP sur son site, misant exclusivement sur du contenu original, 100% « fait maison ». En 2025, un « paywall dynamique » sera mis en place, permettant aux lecteurs de consulter plusieurs articles avant de devoir s’abonner ou créer un compte gratuit. L’objectif est de doubler les abonnements numériques, actuellement à 43 000. Le média mise également sur des partenariats avec des écrivains renommés comme Sylvain Tesson et Kamel Daoud, ainsi que sur la relance de son palmarès des hôpitaux, tout en diversifiant ses revenus à travers des événements. Une stratégie inspirée de titres internationaux comme The Atlantic, avec un retour à l’équilibre financier prévu pour 2025.

Un nouvel accord de taille dans le petit monde de la presse, des médias et du contenus... En effet, la société californienne derrière ChatGPT a conclu un accord avec l'éditeur de « Vogue » et « Vanity Fair » pour l'utilisation de ses contenus, notamment pour sa nouvelle fonctionnalité de recherche. Elle avait déjà signé des contrats du même type avec plusieurs grands éditeurs internationaux.

Le partenariat entre OpenAI et Condé Nast permettra à l’entreprise d’intelligence artificielle d’afficher des contenus issus des célèbres magazines du groupe dans ses produits phares, ChatGPT et SearchGPT. Cette collaboration s’inscrit dans une série d’accords similaires conclus par OpenAI avec d’autres grands noms de la presse, comme Time Magazine et Le Monde. L’objectif est d’améliorer l’expérience utilisateur en intégrant des informations de haute qualité provenant de sources réputées.

Les contenus de Condé Nast seront également utilisés pour entraîner les modèles d’OpenAI, contribuant ainsi à leur précision et leur pertinence. Les termes financiers de cet accord, qualifié de « pluriannuel » par le CEO de Condé Nast, Roger Lynch, n’ont pas été dévoilés. Cependant, il est évident que cette collaboration revêt une importance stratégique pour les deux parties.

Le New York Times a fait part de sa grande déception, confiant : "Après l'ampleur et l'ambition du spectacle parisien, un big bang, la passation de pouvoir s'est faite en un gémissement d'autosatisfaction. Billie Eilish a fait preuve d'émotion et Snoop Dogg a fait venir l'invité le moins inattendu, Dr. Dre". Aux yeux du quotidien new yorkais, Los Angeles a réduit la séquence "à un divertissement de fête sur la plage" et parle d'une "sérieuse déception". Le New York Times a poursuivi en se confiant sur "un changement d'ambiance entre l'événement artistique et conceptuel français et le bruit ambiant de Los Angeles" et les journalistes ont vécu cela comme "un véritable choc". "Je ne suis pas sûr que ces clichés soient ce que les États-Unis ou Los Angeles ont de mieux à offrir", a même écrit le média, alors que le Los Angeles Times a comparé la séquence filmée "à une émission spéciale 'Spring Break' de MTV". Autant dire que LA 2028 va devoir faire bien mieux par la suite pour certains médias américains, subjugués par la qualité des JO à Paris.

Mouais... Une petite polémique de plus pour vendre du papier et faire de l'audience alors qu'il n'y a rien à dire véritablement sur cette passation très sympathique !

« Au total, 60 millions de Français ont assisté aux JO sur France Télévisions, ce qui est inédit », a déclaré lundi à l’AFP le numéro 2 du groupe public, Stéphane Sitbon-Gomez. France Télévision assure que chaque Français, en moyenne, a regardé 24 heures de Jeux olympiques. Selon le groupe, qui cite des chiffres de Médiamétrie, les deux plus hauts pics ont été atteints par le nageur Léon Marchand : 14,5 millions de téléspectateurs pour sa quatrième médaille d’or le 2 août et 13,5 millions pour son doublé le 31 juillet. Le troisième pic est la victoire de la France au judo par équipes avec Teddy Riner le 3 août (13 millions). Outre les audiences télé classiques, plus d’un milliard de vidéos des JO ont été vues sur l’ensemble des réseaux sociaux de France Télévisions. L'autre diffuseur officiel, la chaîne payante Eurosport, indique avoir touché un total de 27,4 millions de téléspectateurs, avec une audience moyenne en hausse de 37% par rapport aux précédents Jeux, à Tokyo en 2021. Ce chiffre « dépasse amplement nos objectifs », a commenté Clément Schwebig, président de Warner Bros. Discovery Europe de l'Ouest & Afrique, la maison-mère d'Eurosport. Selon lui, les JO ont permis à la chaîne de réaliser 6 de ses 10 meilleures journées historiques.

De son côté, le quotidien Le Parisien/Aujourd’hui en France, qui s’écoule d’ordinaire à quelque 250 000 exemplaires par jour, a connu « une hausse des ventes de 20 % à 50 % » selon les numéros. Son site a accueilli « 4,4 millions de visites par jour », soit « + 33 % d’audience numérique depuis le début des JO ».

Il y a tout juste un an, Prsima Media et Mr Tan & Co lançaient le magazine Mortelle Adèle, un titre qui s'est imposé dans la presse Jeunesse, en vente au numéro, avec 53 000 exemplaires vendus en moyenne par numéro en 2023.

Face à ce succès, et pour fêter son premier anniversaire, Mortelle Adèle le Mag' propose à ses plus fidèles lecteurs deux numéros d'été inédits. L'un, le bimestriel habituel, est paru le 19 juin ; l'autre paraîtra le 11 juillet prochain, et prendra la forme d'un hors-série spécial vacances, avec plus de 80 pages de jeux, d'histoires et de quiz, mais également des cadeaux : des tatouages et des cartes postales.

« Nous sommes ravis que Prisma Média ait pu se lancer sur le marché de la presse jeunesse avec une héroïne aussi emblématique que Mortelle Adèle. Un succès bien mérité qui récompense le formidable travail de création des équipes Prisma et des auteurs, Antoine Dole et Diane Le Feyer ! », déclare Pascale Socquet, Directrice générale du groupe Prisma Media.

« Le succès du magazine témoigne de la force de notre licence et de la qualité du travail créatif qui est fait sur l'ensemble des développements. Nous nous réjouissons que le magazine se soit installé aussi rapidement comme un rendez-vous régulier avec tous nos lecteurs ! », ajoutent Antoine Dole et Diane Le Feyeur, auteurs de la série Mortelle Adèle.

Le groupe Reworld Media annonce le lancement, en juin prochain, de « New Romance Magazine », en partenariat avec la maison d'édition Hugo Publishing. Cette nouvelle marque média a pour cible l'univers féminin des 20 - 30 ans, et sera proposée en 100 000 exemplaires.

Ce nouveau média fera la part belle à un phénomène littéraire particulièrement apprécié, celui de la new romance avec des titres tels que Cinquante nuances de Grey, Beautiful Bastard, ou encore After. C'est dans ce contexte que le groupe Reworld Media souhaite ouvrir ce genre au monde de la presse. « New Romance Magazine » proposera à ses lecteurs et ses lectrices plus de 90 pages de romances contemporaines, sous forme de nouvelles, explorant les divers aspects de la vie quotidienne tels que l'émancipation, la quête de soi, la santé mentale, et la complexité des relations amoureuses. Une partie du magazine viendra toutefois enrichir ce concept en abordant des sujets psycho, culture, astrologie ou encore mode. L'objectif de ce nouveau magazine est de fusionner l'univers du livre avec l'univers du magazine, dans un écrin graphique immersif. Pour accompagner son lancement, le plan média prévu alliera médias traditionnels (print, affichage...) et plateformes sociales, notamment TikTok et Instagram.

« Une fois de plus, le groupe Reworld Media innove avec le lancement de ce magazine totalement original et dans l'air du temps. Ce projet, qui fait la part belle à la lecture et aux auteurs, s'adresse à une audience plus jeune que la presse féminine historique, ce qui le rend là aussi unique en son genre », déclare Stéphane Haitaian, Directeur exécutif de Reworld Media.

« La New Romance dépasse le simple phénomène d'édition et est devenue aujourd'hui un vrai phénomène de société. C'est ainsi qu'il nous semblait évident de pouvoir diffuser ce genre littéraire en kiosques, pour combler un public encore plus large ! », ajoute Arthur de Saint Vincent, Directeur général d'Hugo Publishing.