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La plateforme de vidéo en ligne Amazon Prime Video a annoncé un nouvel élargissement de son offre dans quatre pays dont la France, avec le lancement d'un service d'achat ou de location de films, issus notamment des grands studios hollywoodiens.
Dans un communiqué, la plateforme précise que ce service baptisé «Store Prime Video», déjà disponible aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne et au Japon, est désormais accessible en France, ainsi qu'en Italie, en Espagne et en Australie.
«Les films des plus grands studios internationaux comme Disney, Warner Bros., NBCUniversal, Sony, Paramount, Lionsgate pourront être loués ou achetés sur le Store Prime Video comme les titres récents +Jumanji : Next Level+ et +Joker+ disponibles dès maintenant», précise la plateforme de streaming d'Amazon. Des films de studios français comme Gaumont ou Pathé sont également au programme («Lion», «Joyeuse retraite!»...). Cette nouvelle fonction pourrait aider la plateforme à consolider ses positions dans un secteur du streaming lancé dans une compétition qui ne cesse de s'intensifier, avec le lancement récent de plusieurs nouveaux rivaux comme Disney+ et Apple TV+.
Déjà, en complément de son offre principale qui permet de visionner des milliers de séries et films sur abonnement, dont des contenus exclusifs, Amazon Prime Video avait lancé une autre fonctionnalité à l'automne dernier en France, «Prime Video Channels», qui permet de souscrire à des chaînes et services payants additionnels, proposés par des partenaires français et internationaux.
Google shopping c'est une boutique en ligne avec des produits chargés, un compte Google Ads, un Merchant Center et la possibilité de générer des ventes grâce à la vente en ligne.
La mise en place de Google Shopping fonctionne selon les grands points suivants :
Créez un flux de produits et déterminez votre stratégie
Chargez votre flux de produits dans le Google Merchant Center
Créez un compte Google Ads et le relier à votre Merchant Center
Mettez en place une campagne de shopping
Analysez vos chiffres et optimisez vos publicités
1. Créez un flux de produits et déterminez votre stratégie
Il est nécessaire de créer un flux de produits complet mais aussi, savoir déterminer une bonne stratégie en amont ! IL faut observer les emplacements de la concurrence et la capacité à générer du trafic sur les produits. Il n'est pas nécessaire de vouloir mettre un catalogue complet qui ne va pas générer de flux. Il faut que vos produits soient rentables assez vite !
Il est important que vous remplissiez correctement toutes les spécifications nécessaires du produit. Voici les spécifications obligatoires :
ID
Titre
Description
Lien vers le produit
Lien vers l’image
Prix
État du produit
Disponibilité
Catégorie Google Shopping
Marque
Gtin (généralement appelé EAN ou ISBN en Europe)
MPN (numéro de pièce du fabricant)
Plus le flux de votre produit est complet, meilleurs seront les résultats sur vos gammes de produits.
2. Chargez votre flux de produits dans le Google Merchant Center
Rendez-vous sur le Google Merchant Center pour télécharger sur Google les informations relatives à votre e-boutique et à vos produits. Il est conseillé de charger une gamme complète. Il ne faut pas vouloir tester en mettant quelques produits. Les clients risquent d'être déçus rapidement s'il ne trouve pas beaucoup de choix ! Créez votre propre compte et vérifiez les coordonnées de votre entreprise. Vous pouvez ensuite utiliser l’onglet “feed” pour télécharger votre flux de produits. Vous pouvez définir la fréquence à laquelle vous souhaitez télécharger votre flux de produits. Il est conseillé de charger régulièrement des nouveaux produits. En moyenne 2 à 3 fois par mois. Avant que vous puissiez commencer à faire de la publicité, Google vérifiera d’abord vos produits.
3. Créez un compte Google Ads et le relier à votre Merchant Center
Créez un compte Google Ads. Vous pouvez ensuite vous connecter aux détails des produits du Merchant Center et commencer votre campagne. Attention, il est conseillé de réaliser une campagne en bloquant le montant de votre investissement.
4. Mettez en place une campagne de shopping
Une fois tous vos produitsdans le Merchant Center, vous pouvez commencer votre campagne dans Google Ads. Cliquez sur “+campagne” > “Nouvelle campagne” > “Ventes” > “Achats”. Google vous demandera ensuite des informations, telles que le nom de la campagne, votre budget, ainsi que le lieu et la manière dont vous souhaitez faire de la publicité pour vos produits.
Il est conseillé de répartir en priorité les produits les plus rentables, par marque ou sans marque, etc. Il faut réaliser dans un premier temps des campagnes ciblées. En lien avec vos budgets, vous pouvez ajuster au fur et à mesure les montants d'investissements.
5.Analysez vos chiffres et optimisez vos publicités
Une fois que vous avez lancé votre e-boutique sur Google Shopping, il est important de vérifier quotidiennement les résultats de vos campagnes sur Google. Google vous donne un aperçu et la possibilité d’ajuster immédiatement la campagne pour en tirer le meilleur parti. Toutefois, il est nécessaire de surveiller votre budget et les indicateurs de performances.
Les posts marketing sur Twitter sont-ils utiles pendant le confinement ? C'est la question que l'on se pose en observant une série de messages qui sont parfois assez étonnant. Il faut quand même souligner que les marques font de nombreux efforts pour garder le contact pendant cette période avec les clients et nous ne pouvons que saluer les différentes actions. Le lien social, la démarche constructive, la volonté d'apporter du bien-être, voilà ce qu'il faut retenir des dernières semaines. Certains posts sont toujours aussi "promotionnels" mais il ne faut pas oublier que les entreprises doivent "vendre" ! Ce confinement ne doit pas être uniquement une excuse pour faire valoir sa bonne volonté. Business is Business mais il semble que le "don" est à la mode aussi !!!
La publication des résultats d’Alphabet (Google) ne fait aucun doute sur sa bonne santé économique. L'entreprise indique une progression de +10,4% de la publicité par rapport à la même période de 2019 avec 33,8Md$ engrangés au 1er trimestre 2020 sur un total de 41,2Md$ de revenus, en progression de +13%.
Le search de Google et les autres produits labellisés Google ont progressé de +8,7% tandis que la publicité sur YouTube a augmenté de +33,5%. Il faut dire que YouTube en cette période de confinement sur la planète est très sollicitée par les internautes. La part de publicité sur YouTube est passée de 9,9% des revenus publicitaires de Google au T1 2019 à 12% au T1 2020 avec 4Md$ de revenus.
Quand les enseignes de bricolage en France ne sont pas au rendez-vous pour les clients durant la période de confinement, cela donne une idée du retard du commerce et de la transformation qu'elles doivent encore mener. Durant cette période très spéciale comme bon nombre de personne, vous avez sûrement eu besoin de bricoler. La conséquence immédiate était donc d'aller sur les sites "E-commerce" des grandes enseignes de bricolage comme Leroy Merlin, Castorama ou Bricorama. Et là, c'est le drame ! Les enseignes vous expliquent que les magasins sont fermés et que les produits ne sont pas disponibles non plus en ligne. On se retrouve même face à des situations complètement délirantes avec des files d'attentes virtuelles dû à l'affluence. C'est le cas du site Bricorama qui est semble -t-il sous dimensionné pour faire face aux demandes en ligne. Nous avons constaté par exemple plus de 1h10 d'attente pour consulter le site. Le résulta fût très simple ... Nous sommes partis sur un autre site "E-commerce". Le site Leroy-Merlin présente bien. Il a une belle ergonomie et on pense pouvoir trouver tous ce qu'il nous faut ! Et là, c'est encore un nouveau drame. Le site est en maintenance une fois sur deux. Le site Leroy-Merlin permet de mettre des produits dans un panier puis au moment de valider la commande, le site plante ! On refait donc le même chemin trois fois et le site nous annonce qu'il ne peut pas enregistrer la commande. Pire, on ne peut pas non plus sélectionner les produits de notre choix puisque les références sont "très" limitées. Nouvelle conséquence immédiate : partir tout de suite sur le site du concurrent Castorama. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Chez Castorama, le client peut commander de la peinture blanche mais pas de peinture de couleur... Pratique, non ? Idem, pour les pinceaux et rouleaux qui sont indisponibles. Les merveilleuses promesses s'envolent et la déception est énorme. La frustration des clients se payent en général très chère ! Ils ne reviennent pas pour un service inexistant. Pour terminer d'ailleurs sur Castorama, notons que son Directeur de la communication de cette enseigne se targue de la réouverture de plusieurs magasins sur les réseaux sociaux... Manque de bol, il semble que les magasins ne sont pas vraiment au courant car pour la plupart, ils sont fermés, ils ne proposent pas le drive, ni la commande en livraison. Les champions du bricolage devraient sérieusement remonter les manches pour offrir des expériences inoubliables aux clients et vite !!! Merci ManoMano, "petit site de E-commerce" en comparaison des géants de la grande distribution, qui sait répondre aux demandes et livrer en 6 jours les bons produits. Une raison de plus pour les grandes enseignes de ne plus sous-estimer la vente des produits de bricolage par l'Internet et de proposer une belle expérience client ! Nous en sommes encore loin, malheureusement pour nous, pauvre clients.
Grosse offensive promotionnelle pour Deezer en partenariat avec l'enseigne FNAC. En effet, la Fnac permet de souscrire à sa carte de fidélité Fnac+ ainsi qu’à l’offre Deezer Premium, le tout pendant un an, pour 60 euros au lieu de 138,91 euros. C'est une offre Série Limitée et proposée exclusivement sur son site Web que La Fnac commercialise en ce moment. Pour seulement 60 euros, il est possible de souscrire durant un an à la fois à sa carte Fnac+ et au service musical Deezer Premium. En temps normal, la combinaison des deux abonnements revient à 138,91 euros : la remise est donc de 57%, ce qui s'avère particulièrement intéressant.
Rappelons que la carte Fnac+ offre de nombreux avantages, en particulier si vous êtes client régulier de l'enseigne. La livraison en express des commandes passées en ligne est gratuite et illimitée à votre domicile, et 5% de remise immédiate sont appliqués sur les produits high-tech, les livres, et d'autres produits. Il est également possible de cumuler des chèques cadeaux lors de ventes promotionnelles. En magasin, une caisse est dédiée aux porteurs de la carte pour un passage prioritaire. Enfin, un accès à la presse en ligne en illimité est proposé par le biais de ePresse.
Deezer Premium, de son côté, est un service musical en streaming qui donne accès à plus de 50 millions de titres à volonté et sur tous vos appareils : PC, smartphone et tablette iOS et Android ou encore enceintes connectées vous permettent d'écouter vos titres, albums et playlists préférés, le tout sans aucune coupure publicitaire. Un mode hors ligne permet de télécharger des titres sur votre appareil pour les écouter n'importe où. C'est donc une combinaison intéressante que propose La Fnac avec ce pack, mais l'offre n'est valable que durant quelques jours : elle est donc à saisir sans attendre.
La start-up Certideal lève 8 millions d’euros pour s’étendre sur le marché européen des smartphones reconditionnés.
Selon les prévisions du cabinet IDC, le marché mondial du smartphone reconditionné devrait peser 51 milliards de dollars d’ici 2022. N’échappant pas au phénomène, le marché français pèse désormais plus d’un demi-milliard d’euros, avec plus de 2 millions de smartphones reconditionnés écoulés dans l’Hexagone en 2019.
Certideal, qui développe une plateforme d’achat de smartphones reconditionnés, mais aussi d’autres produits électroniques comme des tablettes ou des montres connectées, vient de boucler un tour de table de 8 millions d’euros mené par MAIF Avenir et BNP Paribas Développement. Les investisseurs historiques, à savoir Inter Invest Capital et Citizen Capital qui avaient injecté 2 millions d’euros dans la start-up tricolore en novembre 2017, ont également remis au pot dans le cadre de cette nouvelle opération.
Selon une nouvelle étude de la part de SEMRUSH, parmi les erreurs les plus courantes concernant le SEO en 2020, on retrouve le fait de "sous-optimiser les balises META". Et pourtant, il faut accorder aux balises META une grande importance pour que le référencement soit optimal !
Vos balises META aident les moteurs de recherche à identifier les contenus de vos pages pour ensuite les associer aux mots-clés et expressions recherchés par les utilisateurs. Vous devez personnaliser ces balises en fonction de votre thématique et de vos différentes pages pour pouvoir ressortir dans les SERP.
Les erreurs de balises META les plus courantes sont :
Dupliquer les balises Title, Meta Description, et H1 : vous ne devez pas avoir de doublons. Les balises doivent être uniques et personnalisées.
Balises H1 manquantes : les balises H1 correspondent au titre principal de votre page. Si vous n’en mettez pas, cela complique la compréhension de votre site Web par Google.
Meta-Descriptions manquantes : des Meta-Descriptions bien rédigées aident Google à comprendre la pertinence et encouragent les utilisateurs à cliquer sur votre site.
Attributs ALT manquants : les attributs ALT fournissent aux moteurs de recherche et aux personnes malvoyantes une description des images de votre contenu.
Quand la marque Go Pro se met à l'heure du confinement, on se retrouve avec une vidéo qui fait le buzz avec du ski dans son salon ! 1'10 minute de bonheur chez soi pour un travail de rélaisation vraiment exceptionnel. A voir ou à revoir au plus vite. On adore !
Google a annoncé qu'il allait renforcer le contrôle des annonceurs publicitaires sur sa plateforme dans le cadre d'un effort pour éliminer les fraudes et les «mauvais acteurs».
Cette initiative intervient dans un contexte de préoccupations croissantes concernant des publicités faisant la promotion entre autres de faux traitements pour le nouveau coronavirus.
Le géant de l'Internet et leader mondial de la publicité numérique commencera par vérifier les annonceurs par étapes aux Etats-Unis avant d'étendre ce programme à l'échelle mondiale.
Cette décision s'appuie sur les efforts de Google lancés en 2018 pour examiner les annonceurs politiques et les obliger à indiquer où ils se trouvent.
«Dans le cadre de cette initiative, les annonceurs devront suivre un programme de vérification pour acheter des annonces sur notre réseau», a déclaré le responsable de l'authenticité des annonces de Google, John Canfield, dans un article de blog.
«Les annonceurs devront soumettre une identification personnelle, des documents de constitution d'entreprise ou d'autres informations prouvant qui ils sont et le pays dans lequel ils opèrent», a-t-il détaillé. L'objectif, selon lui, est que dans «quelques années», les utilisateurs puissent cliquer sur un lien pour obtenir des informations sur des annonceurs spécifiques.
«Ce changement permettra aux gens de comprendre plus facilement qui est l'annonceur derrière les publicités qu'ils voient sur Google et les aidera à prendre des décisions plus éclairées«, a-t-il commenté.
Cela contribuera «également à soutenir la santé de l'écosystème de la publicité numérique en détectant les mauvais acteurs«, a enfin souligné le responsable de Google.
Les entreprises vont pouvoir utiliser gratuitement le service de Google Shopping. Une offre gratuite sera proposée pour les commerçants aux États-Unis à partir du 27 avril, avant un déploiement dans les autres pays d’ici la fin de l’année 2020. Cette annonce intervient dans un contexte tendu pour les magasins physiques, obligés de fermer en raison de la pandémie du Covid-19. L’activité s’est tournée vers les ventes en ligne depuis l’annonce de mesures de confinement généralisé par les différents pays à travers le monde. Avec cette annonce, Google souhaite ainsi rendre la vente de produits en ligne accessible au plus grand nombre d’entreprises de toutes tailles.
Google Shopping est un service qui compte des centaines de millions de recherches chaque jour. Il était auparavant réservé aux entreprises qui payaient pour faire la promotion de leurs produits à travers des campagnes de publicité via le moteur de recherche de Google. Avec ce changement majeur, les entreprises pourront ainsi bénéficier d’une « exposition gratuite à des millions de personnes qui viennent chaque jour sur Google pour leurs besoins d’achat ». De son côté, le service de Google devrait aussi attirer plus d’acheteurs, en permettant aux commerçants d’exposer un plus grand nombre de produits vendus en ligne.
Snap inc devrait flamber à Wall Street. Ene effet, Snapchat a publié un chiffre d'affaires trimestriel et un nombre d'utilisateurs supérieurs aux attentes. Le groupe, qui bénéficie visiblement du confinement, a réalisé des revenus trimestriels en vive hausse de 44% à 462 millions de dollars, malgré une plus faible croissance en mars, mois durant lequel les annonceurs ont resserré leurs budgets.
Le réseau social Snapchat a accueilli aussi 229 millions d'utilisateurs mensuels actifs lors du premier trimestre 2020, ce qui représente une hausse de 20% par rapport à l'année 2019. Ces utilisateurs ont aussi passé plus de temps sur la plate-forme, 35 % supplémentaires par rapport à il y a un an pour être précis, à visionner des vidéos de la fonction Discover.
Snapchat est surtout populaire auprès d'un public assez jeune et fut l'une des premières plates-formes à introduire une limite de temps sur les images et vidéos, afin qu'elles disparaissent au bout de quelques heures. Elle a également été la première à introduire des fonctions de réalité augmentée permettant aux utilisateurs de se donner par exemple des oreilles de chat animées. Snapchat est toutefois ces derniers temps la proie de la concurrence, surtout de Facebook, qui en reprend pas mal de fonctions sur ses propres plates-formes.