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Comme une majorité des réseaux sociaux, Facebook permet à ses utilisateurs de diffuser des vidéos en direct, pour partager des événements au moment où ils sont en train de les vivre. À l'origine, à l'issue de la diffusion en direct, les utilisateurs pouvaient enregistrer et archiver les vidéos diffusées sur leur compte Facebook, de manière indéfinie. Mais c'est désormais de l'histoire ancienne...
Depuis le 19 février 2025, les nouvelles diffusions en direct pourront être diffusées, téléchargées ou partagées pendant seulement 30 jours, délai après lequel celles-ci seront automatiquement supprimées. Avant qu'elles ne le soient, les utilisateurs seront informés de la future suppression par mail, et auront 90 jours pour les télécharger ou les transférer.
L'objectif de ce changement pour le groupe Meta ? S'assurer de proposer des contenus récents et d'actualité, à l'ensemble de ses utilisateurs.
Le processus de suppression des vidéos existantes se fera par vagues au cours des prochains mois. Toutefois, pour celles et ceux qui souhaitent bénéficier de plus de 90 jours avant de perdre définitivement leurs vidéos, il sera possible de demander un report de suppression pendant 6 mois supplémentaires.
Les règles de l'Union européenne (UE) exigent des entreprises technologiques qu'elles contrôlent les contenus en ligne et surtout les discours haineux. En effet, les discours de haine ont dernièrement augmenté sur les plateformes de médias sociaux. Pour le cas de X, anciennement Twitter, une étude de juillet 2023 avait révélé que les discours haineux ont connu une augmentation notable, en particulier à la suite de l'engagement accru d'Elon Musk sur la plateforme.
Pourtant, ces règles ont été mises sous pression depuis la réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis en novembre 2024, un fervent utilisateur des médias sociaux qui s'insurge depuis longtemps contre la prétendue partialité de la gauche dans la modération des contenus. Les alliés de Donald Trump, notamment Elon Musk, propriétaire de X, ont dénoncé l'ensemble des règles connues sous le nom de Digital Services Act (DSA) comme étant un outil de censure. Mark Zuckerberg, PDG d'Instagram et de Meta, propriétaire de Facebook, a également accusé l'UE de restreindre la liberté d'expression au début du mois, s'alignant ainsi sur la position de la future administration américaine.
Malgré cela, les géants des médias sociaux, dont X et Facebook, ont accepté d'intensifier leurs efforts pour lutter contre les discours de haine dans l'UE, a annoncé la Commission européenne. Instagram, TikTok et YouTube font également partie des 12 plateformes qui ont signé un code de conduite renforcé, bien que toujours volontaire, pour lutter contre ce que le bloc des 27 considère comme des discours de haine illégaux.
"En Europe, il n'y a pas de place pour la haine illégale, que ce soit hors ligne ou en ligne", a déclaré Henna Virkkunen, vice-présidente de la Commission chargée de la souveraineté technologique. "La coopération entre toutes les parties concernées est la voie à suivre pour garantir un espace numérique sûr pour tous." L'annonce de l'UE, faite le jour de l'investiture du président américain Donald Trump, indique que les douze plateformes ont accepté de renforcer un code signé pour la première fois en 2016, qui détaille les efforts déployés pour lutter contre les discours haineux en ligne. Ce code est désormais intégré à la DSA, ce qui permet à la Commission, l'organe de surveillance numérique de l'UE, de contrôler plus facilement les engagements pris. Le code a également été signé par Dailymotion, Jeuxvideo.com, les services aux consommateurs hébergés par Microsoft, Snapchat, Rakuten Viber, Twitch et LinkedIn.
Ceux-ci ont été améliorés pour inclure une promesse de "faire le maximum pour examiner au moins deux tiers" des contenus problématiques signalés aux plateformes dans les 24 heures, a expliqué la Commission. Les signataires se sont également engagés à "prendre des engagements de transparence bien définis et spécifiques en ce qui concerne les mesures visant à réduire la prévalence des discours haineux sur leurs services, y compris au moyen d'outils de détection automatique". Le respect des nouveaux engagements ne suffira pas à garantir la conformité avec la DSA, qui oblige les entreprises numériques, grandes et petites, à mettre en place un système efficace de signalement et de retrait des contenus considérés comme illégaux au regard du droit national ou européen. Mais la Commission tiendra compte de ces engagements, a déclaré un porte-parole de l'exécutif européen. En vertu des règles de l'UE, l'incitation publique à la violence ou à la haine à l'encontre d'une personne ou d'un groupe pour des motifs tels que la race ou la religion est illégale. Les États membres peuvent étendre la définition du discours de haine à d'autres motifs, tels que l'orientation sexuelle ou le handicap. Le code sur le discours de haine est distinct du code de conduite de l'UE contre la désinformation, qui est également volontaire, et doit être intégré à la DSA dans les mois à venir.
Meta continue son virage politique : le géant des réseaux sociaux a décidé de mettre fin à des programmes majeurs conçus pour favoriser la diversité en termes de recrutement, une mesure supplémentaire qui aligne le groupe californien avec Donald Trump. Meta met fin à ses programmes pour la diversité !
Ces programmes, qui concernent aussi l’embauche, la formation et la sélection des fournisseurs, vont disparaître immédiatement, d’après une note interne rapportée par Axios vendredi et confirmée par Meta à l’AFP.
C'est déjà noël ou presque et les marques s'activent notamment en matière de communication sur les réseaux sociaux. Comment communiquent-elles pour cette fin d'année 2024 ? Que proposent les marques en matières de produits ? Voic quelques exemples du moment en faisant un zoom particulier sur le réseaux social facebook.
5 posts FACEBOOK qui parlent (ou pas) de noël 2024 :
1. IKEA : on parle bien de noël
2. LINDT : A fond sur noël !
3. CABASSE : ce n'est pas encore noël !
4. SAMSUNG : Là on a rien compris !!?
5. GIORGIO ARMANI : on parle de mode mais pas de noël
Meta réduit le prix de son abonnement premium en Europe ... En effet, pour s'assurer de respecter le DMA (Digital Markets Act), le règlement sur les marchés numériques, le groupe Meta n'a pas d'autres choix que de réduire le prix de son abonnement premium en Europe...
En effet, pour répondre aux sollicitations des régulateurs européens, la plateforme de Mark Zuckerberg annonce qu'elle réduit de 40% le prix de son abonnement sans publicité sur Facebook et Instagram. Et les utilisateurs ont toujours le choix : payer l'abonnement pour utiliser les plateformes sans publicité, ou utiliser les services gratuitement, tout en ayant maintenant la possibilité de choisir de voir moins de publicités personnalisées. « Cependant, nous restons attachés à la publicité personnalisée, qui sera toujours la pierre angulaire d'un Internet libre et inclusif », précise le groupe.
De fait, depuis le 13 novembre 2024, l'abonnement mensuel est proposé à 5,99 euros par mois, au lieu de 9,99 euros sur le Web, et à 7,99 euros par mois au lieu de 12,99 euros par mois sur iOS et Android. Chaque compte Facebook ou Instagram supplémentaire sera facturé 4 euros par mois sur le Web et 5 euros par mois sur iOS et Android. Pour les personnes qui sont déjà abonnées, aucune action n'est requise. Le changement de tarif sera appliqué automatiquement. Et le groupe Meta ne semble pas enchanté à cette idée... « Malgré nos efforts concertés pour nous conformer à la réglementation de l'UE, nous avons continué à recevoir des demandes supplémentaires de la part des régulateurs qui vont au-delà de ce qui est écrit dans la loi ». C'est dans ce contexte que Meta se contraint à laisser le choix aux utilisateurs européens d'être moins confrontés à des publicités personnalisées.
Cette possibilité repose sur une récolte plus faible de données, qui comprend principalement l'âge, la localisation, le sexe et la façon dont une personne interagit avec les publicités sur Facebook et Instagram. « Cela signifie que les utilisateurs verront des publicités qu'ils ne trouvent pas aussi intéressantes. Cette baisse de pertinence est inévitable étant donné que des données considérablement réduites sont utilisées pour montrer ces publicités moins personnalisées aux utilisateurs », précisent les équipes de Meta.
Pour pallier cela, Meta utilisera le mécanisme de « pauses publicitaires » : pendant quelques secondes, les utilisateurs ne pourront pas passer une publicité. Cette nouveauté répond, apriori, à une volonté de Meta de permettre aux annonceurs de s'adresser à une audience plus large, malgré les exigences légales.
La Commission européenne annonce avoir infligé à Meta une amende de 798 millions d’euros pour avoir intrinsèquement lié Facebook et sa Marketplace dédiée aux petites annonces. L’exposition systématique du service aux yeux des utilisateurs d’un réseau social en position dominante constitue selon l’Europe un avantage déloyal, auquel Meta doit mettre un terme. Dans sa communication, la Commission européenne indique en premier lieu avoir constaté que tous les utilisateurs de Facebook ont automatiquement accès aux annonces de la Marketplace, et qu'ils y sont régulièrement exposés, « qu'ils le souhaitent ou non ». Elle estime de ce fait que les concurrents risquent d'être évincés du réseau social, « étant donné que le lien confère à Facebook Marketplace un avantage substantiel en matière de distribution que les concurrents ne peuvent égaler ».
Elle argue par ailleurs que Meta utilise les données relatives aux publicités générées par d'autres annonceurs, sur Facebook ou sur Instagram, au profit de Facebook Marketplace, ce qui constituerait là encore un avantage déloyal.
Quelques chiffres facebook en 2024 ... Est-il toujours le réseau social le plus puissant ? Rien n'est moins certain à ce jour. Pourquoi ? Les chiffres parlent d'eux mêmes au regarde des performances des autres réseaux comme Youtube (si si c'est une réseau social), Tik Tok, Instagram, Snapchat et le chinois Wechat.
Facebook, le leader sur le marché, est le premier réseau social à avoir dépassé le milliard de comptes enregistrés, et comptait plus de trois milliards d'utilisateurs actifs par mois.
Facebook, ce n'est pas uniquement plus de trois milliards d'utilisateurs, c'est aussi :
35 millions d’utilisateurs actifs chaque mois en France,
C’est LE réseau social que les Français utilisent le plus car 72,3% s’y connectent en France, âgés de 16 à 64 ans. Par rapport à l’an dernier, ce taux a baissé, mais cette plateforme de Meta reste le favori des utilisateurs.
En France, Facebook compte 14h09mn de temps d’utilisation par mois par utilisateur ! Une véritable folie, car seul Tik Tok le dépasse avec 17h00 de visionnage.
L’Inde compte le plus grand nombre d’utilisateurs avec 314,6 millions en janvier 2024,
Les utilisateurs de Facebook sont en majorité sur l’application pour “envoyer des messages à la famille ou aux amis” (72,6 %),
Le chiffre d’affaires du groupe Meta s’élevait à 135 milliards de dollars en 2023, toutes applications confondues.
Notons que malgré tous ses efforts, Facebook ne retrouvera jamais son aura d’autant. Le réseau va fêter ses 20 ans cette année, et il ne pourra pas rivaliser avec sa version historique.C’est simple il suffit de voir les chiffres : en 2015, 71% des ados utilisaient Facebook. En 2022 il n’était plus que 32%. Et aujourd’hui, ils sont 24%.
Classement des réseaux sociaux les plus populaires dans le monde en janvier 2024, selon le nombre d'utilisateurs actifs
Le réseau social, un temps accusé d’avoir influencé l’élection présidentielle américaine de 2016, estime que 2,5 millions de personnes se sont inscrites sur les listes électorales cette année grâce à Facebook et ses filiales : Instagram et Messenger.
En haut des fils d’actualité de Facebook, de Messenger et d’Instagram apparaît un encart. En un clic, l’utilisateur peut s’enregistrer dans son État ou vérifier s’il est bien inscrit. Deux millions et demi de citoyens américains seraient donc passés par cette fonctionnalité. “Ce chiffre est issu des taux de conversion [pourcentage de visiteurs du site qui s’inscrivent sur les listes] calculés par Facebook à partir des données fournies par quelques États auxquels il s’est associé pour l’occasion”, précise USA Today.
Le géant technologique Meta retarde le lancement de sa nouvelle IA générative Llama 3 en Europe, citant un cadre réglementaire «incertain». C'est un report de taille qui mérite sa place comme "chiffre de la semaine" !
Meta a reporté sine die la mise en ligne de sa nouvelle interface d’intelligence artificielle (IA) générative pour les utilisateurs européens, évoquant un cadre réglementaire « incertain » dans l’Union européenne.
Le programme est une nouvelle version de son Llama 3, dite multimodale, c’est-à-dire un modèle de langage permettant d’utiliser et de créer texte, mais aussi images ou cartes. Il doit offrir de nouvelles fonctionnalités aux utilisateurs de toutes les plateformes du groupe, Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp.
Meta, la maison mère de Facebook, WhatsApp et Instagram, a mis à jour sa politique de confidentialité et cela concerne une technologie qui nous bassine les oreilles depuis quelques années : l’intelligence artificielle (IA). Dorénavant, sur Facebook et Instagram, vos données vont pouvoir être utilisées par des robots pour entraîner des modèles d’IA.
Le message de la part de META est flou bien entendu pour ne pas dire opaque : “Nous nous appuierons désormais sur la base légale de nos intérêts légitimes afin d’utiliser vos informations pour développer et améliorer l’IA de Meta.”
En gros, Meta va donc pouvoir prendre vos informations publiques et semi-publiques sur vos comptes Facebook et Instagram afin d’entraîner leurs modèles d’intelligence artificielle. Cela inclut donc vos publications, vos photos, vos vidéos et bien sûr les légendes sous ces dernières. En revanche, aucun regard sur vos conversations privées qui sont, par définition, privées. Une exception : les messages envoyés à Meta AI (logique).
Comment refuser l’utilisation de vos données par l’IA Facebook ?
Si vous êtes résident de l’Union européenne, vos données sont protégées par le règlement général sur la protection des données (RGPD). Vous pouvez ainsi l’invoquer pour vous opposer à l’utilisation de vos données par Meta. Nous avons nous-mêmes essayé cette méthode : ça marche.
Pour cela, il faut vous rendre sur ce formulaire (en étant connecté à Instagram). Le formulaire via Facebook n’est, lui, toujours pas accessible. Ensuite, il faut juste rentrer votre adresse e-mail (préférez celle que vous utilisez sur Meta), votre pays de résidence et… une justification.
Rappelons que Meta n’a pas le droit de vous demander de justification, comme le rappelle la Commission nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL).
Facebook et Instagram vont utiliser vos données personnelles pour alimenter leur IA... Tout le monde n’a pas encore reçu cette notification à l’ouverture d’Instagram ou Facebook sur son smartphone. Mais il ne fait aucun doute que ce déploiement est conçu pour être progressif et ne tardera pas à s’inviter sur votre terminal. Mais de quoi s’agit-il exactement ?
En clair, cette notification apparaît dans le cadre de l’instauration du Digital Markets Act (DMA) en mars dernier. En vertu de ces nouvelles règlementations européennes, Meta n’a plus la possibilité de mettre toutes les données qu’il récolte sur ses utilisateurs et utilisatrices sur ses différentes applis dans le même panier. Du moins pas sans vous en demander l’autorisation, d’où la présence de ce nouvel écran vous demandant, poliment, d’accepter d’alimenter son IA.
Dans le détail, ce sont trois types de données qui intéressent Meta, et pas les moins signifiantes : vos publications, les photos ainsi que leurs légendes, et l’historique de vos conversations avec les IA de Meta jusqu’alors. Les commentaires aux publications et les messages privés ne sont pas concernés. Par contre, si vous apparaissez sur une photo qui ne vous appartient pas, ou que vous êtes mentionné dans une publication d’un tiers, Meta se réserve le droit d’utiliser ces données pour nourrir son intelligence artificielle... Méfiance donc car on se demande bien pourquoi à moins de vouloir cibler les publics et de les rentrer dans la MATRICE $$$
Meta va étendre à tous les utilisateurs de Facebook une fonctionnalité controversée qu'il teste depuis quelque temps dans certaines régions. Baptisée "Historique des liens", cette fonction crée un répertoire spécial de tous les liens sur lesquels les utilisateurs cliquent dans l'application mobile Facebook. En d'autres termes, elle permet à Facebook de suivre les utilisateurs à travers le Web et semble n'avoir aucun avantage réel pour les utilisateurs. Meta redouble d'efforts et cherche de nouveaux moyens pour préserver son empire en matière de collecte de données. L'option est activée par défaut et Meta indique que les données des utilisateurs sont utilisées pour des publicités ciblées. Rappelons au passage que Meta a réglé à coût de plusieurs milliards de dollars un certain nombre de procès pour violation de la vie privée des utilisateurs et doit faire face à de nouvelles réglementations strictes en matière de collecte et de traitement des données personnelles, notamment dans l'UE. Mais il semble que cela ne soit plus un problème de chéquier dans ce bas monde ...