L’identité visuelle du club rémois n'avait pas changé depuis 1999. Le Stade de Reims poursuit ainsi son développement en créant un territoire de marque moderne pour mettre en valeur l'image du club.

Le désormais ancien logo rond rouge et blanc avait été dévoilé en 1999. Il avait succédé à celui en forme de bouteille de champagne. Pendant 20 ans, il a accompagné les bons et les moins bons moments du club qui a notamment connu deux accessions en Ligue 1 en 2012 et en 2018, et aussi le titre de champion de France de Ligue 2 en 2018.
L’inscription Stade de Reims devient STADE REIMS avec une subtilité dans l'écriture. "Le nom Stade de Reims assoit de façon corporate et institutionnelle le nom du club" explique Dominique Jubert, le directeur de l'agence Leroy Tremblot qui a imaginé le logo. "On a voulu lui apporter un traitement spécifique et attributif avec l'article DE qui se fond dans STADE avec un jeu de graisse, et on arrive tout à fait à décoder que l'on parle du Stade de Reims, avec une approche assez moderne pour décrire la dénomination du club." Cette nouvelle identité est plus sobre. Elle affirme une identité plus singulière que le logo précédent trop complexe à mémoriser. Toutefois, ce nouveau logo est dit "ouvert". Il sera moins simple à intégrer sur tous les supports de communication.

Oui FM, la radio rock, a cassé les codes avec une belle série de print en 2008 dont cette affiche (ci-dessous)... Très simple et très rock, on adore le style même plus de 12 ans après ! Une pub d'autrefois qui n'a pas pris une ride.

Disney+ ne vous donne plus une chance de tester son offre. C'est à prendre ou à laisser ! En effet Disney+ ne propose plus d'essai gratuit de sept jours, comme c'était le cas depuis son lancement en France le 7 avril 2020. A la place, les potentiels abonnés ont le choix entre deux options : un abonnement mensuel à 6,99 euros - résiliable à tout moment - ou un abonnement annuel pour 69,99 euros. Contactée par le site Numerama, la plateforme n'a pas souhaité commenter cette décision, se contentant d'affirmer : "Nous continuons à tester et évaluer différentes approches promotionnelles pour accompagner la croissance de Disney+". Depuis son arrivée outre-Atlantique au mois de novembre et son lancement en Europe au printemps, la plateforme de SVOD revendique près de 55 millions d'abonnés, selon des chiffres dévoilés au mois de mai.

Nouvelle acquisition de taille pour Mediawan. Matthieu Pigasse, Xavier Niel et Pierre-Antoine Capton, les fondateurs du groupe de production, ont annoncé l'acquisition prochaine de Lagardère Studios, l'un des leaders de la production en France. La filiale du groupe Lagardère produit notamment "C dans l'air" (France 5), "Ca commence aujourd'hui" (France 2) ou les séries "Joséphine, ange gardien" et "Clem" sur TF1. Pour s'offrir Lagardère Studios, dont Arnaud Lagardère cherchait à se débarrasser depuis près d'un an, Mediawan mettrait selon "Le Figaro" près de 100 millions d'euros sur la table. Après avoir déjà procédé à de nombreuses opérations de croissance externe ces derniers mois, avec notamment l'acquisition de Palomar, le groupe de production va racheter à Pierre-Antoine Capton sa propre société de production, Troisième Œil, qui fabrique "C à vous" (France 5), "Le Grand Échiquier" (France 2) ou "Zemmour et Naulleau" (Paris Première). Parallèlement, Mediawan a acquis une participation majoritaire dans Good Mood, un producteur de télévision espagnol.

Selon une étude Allociné, réalisée en mars , 92% des spectateurs de cinéma veulent retourner dans les salles avant la fin de l'année et l'étude Médiamétrie de juin révélait que 18,7 millions de Français avaient l'intention d'aller au cinéma dans les quatre prochaines semaines. Forts de ce constat, Les Cinémas Pathé Gaumont lancent l’opération #LaSéanceDeMinuit avec leur agence Fred & Farid Paris. L’occasion de découvrir les films "Lucky Strike" et "Mon Cousin" en avant-première, en profitant d’une séance exclusive le 22 juin à minuit à Paris, Lyon, Toulouse et Rennes. Cette activation s’accompagne d’un film, visible en salles et sur les réseaux sociaux de la marque.

La Pub de la semaine est pour le moins militante. L'enseigne Biocoop passe le message sur le "majoritairement" des produits qui viennent de France et tape au passage sur la finance. Le rapport entre les deux n'est pas vraiment logique mais on ne peut pas reprocher à cette enseigne d'aller au bout des idées qui sont défendues depuis le départ.

Biocoop revient donc en TV pour proposer son projet d’avenir avec Hungry and Foolish. Un film TV à retrouver à l’antenne du 22 juin au 5 juillet 2020 et d'ores et déjà diffusé sur YouTube. Objectif de la prise de parole ? Mettre en avant les régions de France, mettre l'accent sur l'importance de la relocalisation de filières pour se montrer aux consommateurs, comme une marque plus "engagé pour la Terre et les Hommes".

Le chiffre de la semaine n'est autre que 30 dollars ! Pourquoi ?

Le coût de la publicité sur les réseaux sociaux est variable. Pour preuve sur cette nouvelle infographie de la part de Statista. Tout est une question d'objectif et pas uniquement une question de coût pour mille. Voilà le problème de ce genre d'infographie. Sans prise de recul sur le sujet, nous pourrions penser que Pinterest est extrêmement élevée sur son coût publicitaire par rapport à Twitter, par exemple... Quid de la qualité de l'audience et de sa fréquence et de son usage. L'exposition n'est pas comparable avec Facebook, le numéro 1 !!! Un chiffre de la semaine, ok mais attention à ce genre d'information !

Start-up grenobloise dédiée à l’analyse et à la prédiction de la qualité de l’air, eLichens a réalisé une nouvelle augmentation de capital d’un montant de 7 millions d’euros souscrite auprès de ses investisseurs historiques et de deux nouveaux entrants. Une première levée de 4 millions d’euros avait été réalisée en juillet 2016. L’opération a pour objectif la commercialisation grand volume de ses capteurs de gaz miniaturisés pour servir le besoin de ses clients industriels ainsi que le déploiement à grande échelle de sa plateforme qui réalise l’analyse intelligente de la qualité de l’air en indoor et en outdoor pour les marchés de la Smart City, du Smart Home et du Smart Building.

A compter de juillet prochain, Google n'acceptera plus sur son réseau les annonces considérées comme des “pièges à clics”. Cela inclut les titres suggérant une information sensationnelle, mais aussi les fausses promesses à base de photos avant/après.

Le moteur Google continue d'assainir pas à pas son tentaculaire réseau de diffusion.
Comme la firme l'explique, il s'agit d'introduire une règle spécifique pour les annonces de type “piège à clics”, c'est-à-dire les publicités “qui incluent du texte ou des images sensationnalistes, ou utilisant des stratégies de pièges à clics, ayant pour but de générer du trafic vers l'annonce en incitant l'utilisateur à agir immédiatement afin de comprendre tout le contexte de l'annonce”. Concrètement, Google ne tolérera plus les annonces “prétendant révéler des secrets, des scandales ou d'autres informations sensationnalistes sur le produit ou le service dont elles font la promotion”, ni les titres incitant au clic sans donner la moindre information avec des formules du type “cliquez ici pour le découvrir” ou encore “vous ne croirez jamais ce qui s'est passé”. Seront également bannies les “annonces montrant des parties du corps clairement modifiées en gros plan”, ainsi que les visuels reposant sur un effet avant/après, ce qui devrait couvrir une masse impressionnante de publicités promettant (entre autres) une perte de poids miraculeuse. Google n'acceptera pas plus les annonces mettant en avant “des photos d'identité ou des accidents de la vie réelle pour promouvoir un produit ou un service”.

La Ligue de Football Professionnel a dévoilé les nouveaux logos de Ligue 1 et Ligue 2 pour les prochaines saisons, cette semaine. Une changement qui intervient avec de nouveaux sponsors des différentes ligues.
Rappelons que pour celui de la Ligue 1, le secret avait été éventé par Amiens il y a dix jours, dans l'émotion de la décision du conseil d'Etat de suspendre les relégations. 

Le nouveau logo, représentant l'hexagoal (trophée remis au champion de France) est jaune sur fond bleu (l'inverse du précédent) dans un style plus minimaliste. Il présente aussi un nouveau sponsor, Uber Eats qui a signé pour deux ans en remplacement de Conforama. Avec un slogan: "Pour devenir champion".
Le logo de la Ligue 2 change vraiment de design. Plus rond, d'un bleu turquoise sur fond bleu foncé, il force la différence avec la Ligue 1. Il est aussi plus neutre dans sa conception très épurée. Lui aussi est adossé à un nouveau sponsor-titre, BKT, fabricants de pneumatiques pour véhicules agricoles et industriels et déjà partenaire de la Coupe de la Ligue. Il remplace Domino's Pizza, associé au deuxième échelon pendant 4 ans. BKT s'est engagé pour la même durée soit jusqu'au terme de la saison 2023-2024. Des changements qui ne passent pas inaperçu et qui redonne à l'identité du football plus de modernité et d'harmonie. Une belle réussite esthétique !

« Ok Google, je veux faire mes courses. » Voici donc le sésame qui permet d'utiliser le nouveau service Carrefour / Google qui vient d'être lancé cette semaine. La promesse ? Commander et payer ses courses alimentaires avec Google Assistant couplé à carrefour.fr. Une première mondiale selon l'acteur de la grande distribution, qui assure au passage que vos données seront bien gardées.

Faut-il vraiment penser que cette nouvelle fonctionnalité à du sens ? Il s'agit d'un coup de communication, à vrai dire, rien de plus ! Carrefour veut tenter de rattraper son retard en laçant des concepts sous la forme de test. On ne comprends pas la stratégie ! A moins de vouloir filer toutes les données des consommateurs à Google et de se faire traçer encore un peu plus. Sous le capot de cette gentille innovation, l'IA de Google Asistant analyse les propos de l'utilisateur, en fait une liste, vous la fait valider et payer. Puis rendez-vous au supermarché pour récupérer vos courses, à moins que vous ne vous les fassiez livrer. Carrefour, qui travaille depuis 2018 avec le géant des données, assure que les 27 000 références produit de l’inventaire e-commerce de Carrefour (les articles disponibles sur carrefour.fr) sont utilisables avec ce service. C'est nouveau, mais ça sent bon le service bidon qui ne va pas être utilisé par grand monde !

Il n'y a pas d'âge pour faire le buzz... Surtout en musique, à l'image du célèbre Pierre Perret, 85 ans qui cartonne sur YouTube avec son titre "Les confinis". Sa vidéo «Les confinis», cartonne avec près d'1,5 million de vues. A l’aube de ses 86 ans, Pierre Perret tacle avec humour le comportement des politiques et des médecins du petit écran pendant le confinement. L'auteur du zizi n'a pas perdu son humour à la française. Cocorico Pierrot !

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