grande distribution

L'enseigne Intermarché (les Mousquetaires) propose de télécharger une application mobile sous le nom de C-wallet qui de vous faire économiser jusqu'à 80 euros grâce à des réductions sur les produits. Cette appli est disponible sur iPhone et mobile OS Android.

Il s'agit en définitive d'une technique de couponning remis au goût du jour sou sla forme d'appli mobile. Une très bonne initiative pour fidéliser les clients mais aussi pour capter l'attention des consommateurs qui souhaitent faire des économies.

Cliquez sur l'image pour agrandir :

+ d'infos sur : https://www.cwallet.couponnetwork.fr/

Selon le site boursier.com, Casino va créer une entité regroupant non seulement Cdiscount, mais aussi les actifs de Nova au Brésil, également leader du "e-commerce" dans ce pays. Le périmètre comprendra évidemment aussi les récentes déclinaisons de Cdiscount lancées en Colombie, en Thaïlande et au Vietnam. Il fera référence à l'échelle mondiale, selon son promoteur, avec un chiffre d'affaires combiné qui représente 4,1 milliards de dollars de sur la base des chiffres 2013. Compte tenu de son orientation, le pôle commerce en ligne serait introduit non pas à Paris, mais à New York, indique Casino, vraisemblablement sur le Nasdaq.

Rappelons que cdiscount et Nova, se sont donc 2,9 milliards d'euros de revenus 2013, soit 6% des ventes mondiales du distributeur Casino, ce qui donne encore plus l'envie de faire monter l'acteur online rapidement en bourse.

La chaine de hard-discount Lidl vient de mettre en ligne et diffusera dans les prochains jours en TV, un nouveau spot sur le thème de "l'exclusivité". Absent en TV depuis un moment, cette marque décide de positionner l'enseigne comme un acteur qui propose des produits différents. Cette communication construit autour d'un seul message offre aux consommateurs une image de grande marque alors qu'il s'agit bien de low-cost. Un sacré coup tactique qui ne manque pas d'audace.

La proximité reste le magasin de dépannage puisque 2 fois moins d’articles sont achetés qu’en Hard Discount et les paniers sont 2 fois plus petits en valeur qu’en supermarchés. Mais ce marché attire toutes les grandes chaînes de la grande dstribution. En effet, Paris est "ze place to be" pour le développement.

Les Parisiens fréquentent plus régulièrement ces magasins (33,5%) que les  Français en général (15,9%). Ils dépensent aussi plus (428,7€/ménage) que les habitants du reste de la France (218,5€/ménage)... Une raison de plus pour s'implanter quitte à frôler la saturation.

Leclerc a inauguré un drive sur sa station d'autoroute de l'Esterel (A8). L'emplacement permet de cibler aussi bien les flux de vacances que des trajets quotidiens.

L'assortiment disponible compte 8000 références. La piste de retrait a été aménagée à côté des pompes de la station Leclerc de l'aire d'autoroute. Le drive est fermé les dimanches et jours fériés.

Source : lineaires.com

S'il y a un événement à retenir dans le secteur de la grande distribution depuis quelques jours, c'est bien celui-ci. Selon le dernier rapport Nielsen TradeDimensions, on dénombre à ce jour 2031 "drive" contre 2022 hypermarchés.
Meilleur moyen de gagner du temps ou possibilité de n'être qu'un point de passage pour les courses, le dénominateur commun des nombreux arguments est bien la praticité. Les consommateurs ont perçu rapidement les avantages du système "Drive" et les grands distributeurs ont mis les moyens nécessaires pour implanter au plus vite des points "Drive" un peu partout sur le territoire français.

En date du 25 mars 2014, le podium du nombre d'implantations des Drive en France est le suivant :

1er : Leclerc Drive, 2ème Inter Drive, 3ème Carrefour Drive

La famille Moulin, qui possède les Galeries Lafayette, a acquis 6,1% du capital du géant français de la distribution Carrefour, via Motier, la société de portefeuille qui gère ses participations (Source : lefigaro.fr/).

Une bonne nouvelle qui démontre que les sociétés françaises peuvent aussi assurer du dynamisme économique sans compter sur les pétro-dollars du désert ou d'autres pays exotiques. Cocorico !

Selon Bloomberg, Dia aurait mandaté BNP Paribas pour la vente de Dia France.

A fin décembre 2013, Dia comptait 865 magasins en France, dont 230 franchisés.

La France représente 19% des ventes de Dia, avec 1,9 milliard d'euros en 2013. Le chiffre d'affaires a reculé de 11,3% en 2013 (source : lineaires.com/) après avoir déjà cédé 9,2% en 2012. C'est même la cinquième année consécutive au cours de laquelle Dia France perd plus de 5% de chiffre d'affaires. Le nombre important de franchise pourrait surement intéresser d'autres enseignes comme Aldi, Netto ou encore SimplyMarket et ce, pour renforcer les implantations en France à moindre frais.

Dans le cadre de la responsabilité élargie du producteur (REP), la création de la filière sur les déchets d’éléments d’ameublement (DEA), prévoit que, désormais, les metteurs sur le marché, c’est-à-dire les concepteurs de mobilier, acquittent une éco-contribution d’environ 111€ la tonne et jusqu’à 126€ la tonne. Un montant qui doit automatiquement se répercuter en  bas de facture aux acquéreurs, c’est-à-dire les enseignes. Selon les calculs effectués par Perifem, l’association technique du commerce, la Fédération des Industries Métalliques (FIM) et l’association Acier (producteurs de rayonnages), cela représenterait un surcoût annuel de près de 25 M€ par an. (source : lsa)

Cette taxe concerne le mobilier professionnel contenant plus de 95% de métal, soit, en clair, les gondoles métalliques, majoritaires en magasin, et achetées à raison de 100 000 tonnes par an en France !

Le délire du "tout doit être taxé" se poursuit donc en France !

Alors que 54 % des Européens déclarent continuer à privilégier les magasins physiques au détriment d’Internet, ils sont 73 % à réclamer l’installation du click&collect dans les magasins physiques.
Ils sont ainsi 71 % à réclamer la possibilité de commander en ligne depuis les magasins, et 58 % à vouloir régler plus rapidement leurs achats sans attente en caisse.

Source : http://fr.fashionmag.com/

Le Journal officiel a publié ce samedi dernier un décret du ministère du travail autorisant les commerces de détail de bricolage à ouvrir le dimanche. Le décret entre en vigueur aujourd'hui, dimanche 9 mars 2014.

Rappelons qu'à la demande d'organisations syndicales, le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative en France, avait suspendu le mois dernier l'exécution du décret du 30 décembre 2013 qui autorisait temporairement l'ouverture de ces magasins...

Sous pression, le pas en arrière est donc effectif avec un décret signé par Jean-Marc Ayrault et Michel Sapin. La démarche cible "les commerces de détail du bricolage à la liste des catégories d'établissements bénéficiant d'une dérogation de droit en matière de repos dominical en application de l'article L. 3132-12 du code du travail". Sont ainsi concernés "les établissements de vente au détail faisant commerce à titre principal de matériaux et matériels de bricolage, de quincaillerie, de peintures-émaux-vernis, de verre plat, et de matériaux de construction".

Nouvelle législation : Pour mémoire, dans l'attente d'une refonte globale des dérogations au repos dominical dans le secteur, le gouvernement avait accordé cette dérogation prévoyant l'ouverture de 178 magasins au maximum et que les salariés ne travaillent que douze dimanches par an. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault avait dit souhaiter une nouvelle législation sur le sujet dès cette année, inspirée du rapport Bailly...

Droit constitutionnel : Le Conseil d'Etat avait estimé le mois dernier que le décret initial était de nature "à porter une atteinte grave et immédiate aux intérêts que défendent les organisations syndicales et qu'il existait donc une situation d'urgence". En outre, la juridiction rappelait que le principe d'un repos hebdomadaire est un droit constitutionnel et que ce droit s'exerce en principe le dimanche...

Source : boursier.com

Dans le métier de la grande distribution, on parle souvent de Mechandising. Découvrez le très bon ouvrage, véritable « bible » du merchandising d’Alain Wellhoff.

Il passe en revue les outils et moyens d’action, les mises en avant, dont les TG et les îlots, le soutien aux promotions, le trade marketing, le category management, les modes d’implantation. Le passage menant à la construction de l’assortiment via la règle des 20/80 (fameuse loi ou principe de Pareto) est indispensable pour comprendre le Merchandising et ce livre l'aborde avec grande justesse !

Gestion des linéaires, rotations, rentabilité, des cas d’entreprise, délimitation de la zone de chalandise etc... C'est la référence du marketer.

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