grande distribution

C'est la folie du vrac ou pas en ce moment dans les grandes surfaces ? Pas encore à vrai dire mais la tendance s'affiche de plus en plus en cette période de lutte contre les emballages.

La nouvelle initiative du groupe Bel avec son célèbre Babybel en est une illustration. Nous venons de découvrir que la marque propose désormais son célèbre produit en "Vrac" ! Et pourquoi pas après tout ! Ce modèle pourrait se décliner pour d'autres fromages et produits où le consommateur pourrait avoir le loisir de choisir sa quantité "utile". Gare à la baisse des montants des paniers tout de même. Le vrac c'est bien mais la baisse des marges pourrait être un frein très fort à cette mise en place plus générale à travers le pays.

D’ici 2021, on ne trouvera plus de piles alcalines non rechargeables dans les magasins Ikea. Les piles jetables sont effectivement 30 fois plus polluantes que les piles rechargeables. Le groupe avait vendu l’année dernière 300 000 millions de piles alcalines à travers le monde entier. Si tous les clients d’Ikea cessent d’acheter des piles jetables, cela permettra d’éviter un volume global de 5 000 tonnes par an. Par ailleurs, dans un mois Ikea confirmera sa volonté de préserver l’environnement en présentant ses panneaux solaires. Un coup de green de plus dans le monde de la grande distribution mais on se demande si ce n'est pas l'arbre qui cache la forêt !

Aldi lance la campagne la plus mal géolocalisée ... C'est malin et en même temps c'est dangereux pour l'image de marque. En effet, la subtilité des consommateurs peut atteindre sa limite notamment sur les réseaux sociaux où personne ne prend vraiment le temps de s'arrêter pour comprendre un concept créatif très malin. Un bon buzz peut saver les "meubles" mais attention... Le grand public pourrait vite se moquer de l'enseigne de Grande distribution.

Intermarché fait tourner actuellement un nouveau spot publicitaire qui est incontournable. Pas comme les autres, cette publicité pose des questions au travers d'un enfant. Une fois encore, le coup de com' est très bon. Il ne s'agit pas d'aimer cette publicité mais de marquer les esprits. C'est bien vu et c'est pour cela que nous ne pouvions pas passer à côté dans la rubrique "pub de la semaine". Nous devons cette publicité à l'agence Romance.

Attention tout de même à ne pas lasser les cibles ...

C'est une évidence sur les réseaux sociaux mais il faut une nouvelle fois le rappeler dans le cadre d'une stratégie marketing digitale. Il faut avoir une communauté dynamique pour être visible et cela ne sert pas à grand chose que de vouloir pousser de la publicité si personne ne s'engage (commentaires, RT, likes etc.). Nous avons donc un bel exemple avec le compte Twitter de E.Leclerc qui compte plus de 32K followers. Pas mal, non ? Mais il faudrait que les cibles réagissent. Ce n'est pas le cas en regardant le Tweet du 21 septembre 2020. Plus de 18 jours après, on se retrouve avec "30 likes et 12 commentaires". Lol ! Soit personne ne veut un sac recyclable, soit la communauté n'est plus de ce monde, ou pire elle ne veut qu'une seule chose : des promotions.

Retenez que les messages sur Twitter doivent faire percuter et réagir rapidement en quelques minutes les cibles marketing. Le message ne doit pas être le même que sur Intagram ou Facebook par exemple. La mauvaise idée est de mettre des messages qui ressemblent à un spot TV. Les twittos détestent cela.

La Datamarketing offre des nouvelles possibilités aux marketeurs pour empêcher l'abandon des paniers lors d'une consultation d'un site E-commerce. La grande distribution comme l'enseigne E.Leclerc n'hésite pas à utiliser la data pour tracker les clients et rappeler le produit qu'ils ont consulter quelques jours avant ! C'est malin, c'est offensif et c'est un moyen de convaincre le consommateur. Toutefois, les relances de ce type par email doivent être rares. Les clients pourraient trouver que les envois sont intrusifs. Une bonne relance par email ne fait pas de mal mais il faudra savoir l'utiliser correctement dans le temps auprès des clients.

Tu pousses le bouchon un peu trop loin ... Voici l'expression que nous pourrions reprendre pour cette idée créative de la part de l'agence Buzzman pour Burger King !

En effet, l'enseigne Burger King  lance une pétition pour faire entrer son nouveau sandwich dans le Guide Michelin, un des guides les plus réputés pour la gastronomie. Le CEO de l'enseigne Kevin Derycke va jusqu'à interpeler les jurys du guide dans un communiqué de presse "Vous en avez beaucoup dans votre livre rouge qui proposent des mets d'exception prêts en 5 minutes et tout ça garanti sans réservation 3 mois à l'avance ?". En parallèle de cette initiative un peu décalée mais toujours dans l'axe de communication du célèbre fast-food, Buzzman mènent une campagne 360° (presse, social, display, activation RP) pour promouvoir le nouveau sandwich, le master burger !

L'enseigne de restauration Courtepaille, fragilisée par la crise sanitaire, est acquise par son concurrent Buffalo Grill, dont l'offre a été choisie face à celle du Groupe Bertrand par le tribunal de commerce d'Évry.

Buffalo Grill s'engage à reprendre 2208 salariés sur environ 4000, à un prix de cession de 17 millions d'euros. L'enseigne était en redressement judiciaire depuis le 29 juillet.

Nouvelle bouteille et relooking d'étiquette pour la bière DUVEL, c'est en effet la nouvelle promesse de la marque belge.

Désomrais, les amateurs de la marque belge Duvel (Brasserie Duvel-Moortgat), peuvent découvrir en magasins le nouveau design de la petite bouteille de style Steinie. De nouvelles étiquettes ornent en effet ces flacons à l’avant et à l’arrière. Et ce sur trois références : la Tripel Hop Citra, le Tripel Hop Cashmere et la Duvel classique. Au total, ce sont six étiquettes redesignées qui seront apposées au dos des bouteilles représentant six faits remarquables concernant Duvel.

 Découvrez la répartition des magasins Carrefour dans le monde en 2020. La France est majoritaire loin devant l'Espagne, la Pologne ou l'Italie en Europe. Notons qu'il existe presque 600 magasins en Argentine. Le groupe Carrefour dispose de 12 225 grandes surfaces dans le monde dont :

• 5 274 en France ;
• 789 en Belgique ;
• 906 en Pologne ;
• 1 149 en Espagne ;
• 1 089 en Italie ;
• 371 en Roumanie ;
• 597 en Argentine ;
• 464 au Brésil ;
• 137 à Taïwan ;
• 1 449 dans d’autres pays.

(Source : café bourse)

Rappelons aussi que le groupe Carrefour a réalisé un chiffre d’affaires de 80,7 milliards d’€ en 2019.

Au sein du point de vente Kiabi de la ville d'Haumont, un corner de 50m2 est dédié à la revente de vêtements d'occasion. Les clients se procurent en magasin des sacs pré-affranchis, y mettent les vêtements dont ils souhaitent se défaire puis les expédient, en échange d'un bon d'achat de cinq euros valable auprès de l'enseigne. Les articles reçus sont triés par une entreprise externe puis mis en vente dans le corner, avec un rabais de 40 à 80% sur le tarif neuf.

Ce nouveau concept a déjà trouvé sa clientèle. Dépassant les objectifs fixés par la marque. Ce mode de vente sera dans six de ses 350 magasins en France, d’ici à la fin de l’année 2020. Béziers, Le Mans ou encore Bègles (près de Bordeaux) pourraient faire partie des prochains concernés. Parallèlement, Kiabi a prévu le lancement, dans les mois à venir, d’un onglet dédié aux articles de seconde main sur son site internet.
Le principe est assez simple. Les clients récupèrent des sacs pré-affranchis en magasin qu’ils remplissent de vêtements (propres et en bon état) puis expédient gratuitement. Ils reçoivent en échange un bon d’achat de 5 €, valable sur les articles neufs. Les vêtements sont récupérés, triés et préparés par une société externe avant d’être remis en vente dans le magasin. Les prix sont ronds et varient selon les pièces. Comptez 8 € pour une robe ou 4 € pour un pantalon de bébé. « On est 40 à 80 % moins cher que le prix neuf », affirme Kiabi.

Deux ans après les Galeries Lafayette, le BHV Marais rejoint le mouvement "Go for Good" et se fixe comme objectif d'étiqueter 25% des produits en vente dans son magasin. Vêtements, décoration, bricolage, cosmétiques, ces étiquettes violettes pourront être appliquées sur tout type de produit qui respecte des critères liés à la provenance, aux conditions de fabrication et à la composition. Au total cela représente plus de 400 marques qui se sont engagées à réduire leur impact sur l’environnement, à porter une attention aux conditions de travail et à produire local.