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Jasper AI constitue une solution idéale pour les entreprises qui recherchent un contenu original et de haute qualité à un rythme accéléré. Il a la capacité de gérer le contenu cinq fois plus rapidement qu'un rédacteur humain moyen, ce qui en fait un atout précieux pour les entreprises qui ont besoin d'une génération rapide de contenu.

Les points forts de Jasper AI résident dans sa gamme de modèles pré-écrits, permettant la génération rapide et facile de copies intelligentes et bien conçues à diverses fins, notamment les e-mails, les publicités, les sites Web, les listes et les blogs. Cette fonctionnalité est essentielle pour engager les lecteurs et maintenir leur intérêt.

Caractéristiques Clés :

• Génération rapide de contenu: produit du contenu à un rythme nettement plus rapide que l’écriture manuelle.
• Modèles pré-écrits: Offre une variété de modèles pour différents besoins de contenu.
• Générateur d'e-mails IA: Crée des e-mails réalistes à des fins diverses, améliorant ainsi les campagnes de marketing par e-mail.
• Automatisation du marketing par courriel: Utile pour automatiser la communication commerciale, le support client et la génération de leads.
• Polyvalence dans la création de contenu: Convient à un large éventail d'applications au-delà du marketing par courrier électronique.

Le générateur d'e-mails AI de Jasper AI est conçu pour aider les entreprises à automatiser leurs campagnes de marketing par e-mail. Il est également très utile dans le support client ou la génération de leads, démontrant la polyvalence de Jasper AI pour répondre à divers besoins de création de contenu.

La pépite française du quantique Alice & Bob, spécialisée dans les qubits de chat, démarre l'année sur les chapeaux de roue en bouclant une série B de 100 millions d'euros. Un financement qui devrait servir à créer un nouveau laboratoire et recruter davantage de salariés.Après avoir récolté 27 millions d'euros en mars 2022, la start-up française annonce ce 28 janvier 2025 une levée de fonds en série B de 100 millions d'euros. Le tour de table a été mené par Future French Champions, joint-venture de Bpifrance et du fonds d'investissement souverain du Qatar, avec le soutien d'Axa Venture Partners et des investisseurs de la série A.

La start-up précise dans un communiqué que ce nouveau financement vise à construire d'ici à 2030 le premier ordinateur quantique “véritablement utile”. “Les qubits de chat rendent possible la mise à l'échelle, explique Théau Peronnin, CEO d'Alice & Bob. Là où les approches traditionnelles nécessiteraient des millions de qubits, nous n'en aurions besoin que de quelques milliers.”

Pinterest s'envole de 22% avant bourse à Wall Street, alors que le groupe a affiché des revenus supérieurs aux attentes de marché. Sur le trimestre clos fin décembre, le bénéfice ajusté par action est pourtant ressorti un peu court à 56 cents (65 cents de consensus), mais les revenus ont atteint quant à eux 1,15 milliard de dollars (+18%) contre 1,14 milliard pour la prévision moyenne des analystes. Sur le premier trimestre fiscal 2025, le groupe envisage des revenus allant de 837 à 852 millions de dollars, contre 833 millions de consensus. Sur ce T1, le bénéfice ajusté est anticipé entre 155 et 170 millions de dollars, également au-dessus des attentes. Le nombre d'utilisateurs actifs mensuels a atteint un sommet de 553 millions, en croissance de 11% sur un an, tandis que le revenu moyen par utilisateur a augmenté de 6% à 2,12$ dans le monde et de 12% en Amérique du Nord, bien plus élevé, à 9$. Les opérateurs apprécient, estimant que la plateforme de partage d'images devrait bénéficier par ailleurs de ses outils alimentés par l'IA.

Le fonds canadien Brookfield va investir 20 milliards d’euros en France d’ici 2030 ! Au lendemain de l’annonce par les Émirats arabes unis d’un investissement en France de 30 à 50 milliards d’euros, un fonds d’investissement canadien a signé un accord d’un montant de 20 milliards pour l’implantation d’un centre de données et d’infrastructures associées. Le fonds canadien Brookfield va investir 20 milliards d’euros en France d’ici 2030 pour permettre notamment le développement de data centers, a appris samedi 8 février 2025 l’AFP d’une source proche du dossier, en marge du Sommet pour l’intelligence artificielle (IA) de Paris.Ces centres de données, souvent de gigantesques bâtiments conçus pour permettre l’entraînement des IA, font l’objet d’une compétition entre pays pour les accueillir. Jeudi, la présidence française avait ainsi révélé que les Émirats arabes unis allaient construire en France un data center géant pour un investissement total compris entre 30 et 50 milliards d’euros.

Selon La Tribune Dimanche, 15 milliards d’euros sont ainsi prévus par Brookfield pour de nouveaux data centers,  avec en tête de pont un méga projet à Cambrai (dans le nord de la France, N.D.L.R.), d’une puissance maximale de un gigawatt . Le journal précise que cet accord a été conclu le 31 janvier entre le président français Emmanuel Macron et Bruce Flatt, le patron du fonds.

Les 5 autres milliards d’euros évoqués doivent être consacrés à des  infrastructures associées , comme de la production d’énergie, alors que les centres de données sont réputés pour être particulièrement énergivores.La France compte actuellement plus de 300 centres de données, la situant au 6e rang mondial des pays en accueillant le plus, après les États-Unis, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Chine et le Canada, selon un rapport du Conseil économique social et environnemental.

ET pendant ce temps là la planète brûle ! Oui, car n'oublions pas que les datacenters et la modernité sont les parfaits leviers energivores pour cramer la planète !

Avec trois métros de retard comme d'habitude, on apprends la Création en France d’un institut de surveillance de l’IA. Vont-ils surveiller avec de l'IA ou leur bonne intelligence naturelle ????

Il a été baptisé Institut national pour l'évaluation et la sécurité de l'intelligence artificielle (Inesia). "Piloté par le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) au nom du Premier ministre et par la Direction générale des entreprises (DGE) du ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, cet institut permettra de fédérer un écosystème d'acteurs nationaux", a précisé le gouvernement dans un communiqué. "Sans création de nouvelle structure juridique", il ne sera pas doté des pouvoirs d'un régulateur mais doit "étudier scientifiquement l'ensemble des effets de cette technologie, y compris en termes de sécurité", a expliqué le gouvernement. "Le soutien à l'innovation dans le champ de l'intelligence artificielle doit ainsi aller de pair avec l'anticipation des possibles risques inhérents à cette nouvelle technologie ou qui pourraient l'affecter", a-t-il poursuivi.

L'Inesia "fédère" quatre administrations déjà existantes : l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi), l'Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), le Laboratoire national de métrologie et d'essais (LNE) et le Pôle d'expertise de la régulation numérique (PEReN). Le gouvernement français a affirmé créer cet institut "conformément aux priorités établies en mai 2024 par la Déclaration de Séoul pour une IA sûre, novatrice et inclusive". Celle-ci a été adoptée par l'Union européenne, trois de ses membres dont la France, et sept autres pays en pointe dans les nouvelles technologies (Australie, Canada, Corée du Sud, États-Unis, Japon, Royaume-Uni et Singapour). La France doit accueillir un sommet mondial "pour l'action sur l'intelligence artificielle" les 10 et 11 février à Paris.

En décembre 2024, Google.com a dominé les recherches liées à l’intelligence artificielle générative (genAI) avec 16,5 milliards de visiteurs, tandis que ChatGPT, en deuxième position, n’en a enregistré que 517 millions, selon Similarweb et eMarketer. Google a ajouté des synthèses basées sur l’IA à de nombreux résultats de recherche de base au printemps dernier, renforçant ainsi sa position dominante parmi les nouveaux acteurs de l’intelligence artificielle générative, grâce à son avance historique dans la recherche en ligne.

Selon des données de septembre 2023 de l’American Economic Liberties Project et de Fight Corporate Monopolies, 87% des répondants américains ont déclaré utiliser Google pour leurs recherches au moins de manière modérée.

Partenaires depuis quelques années, Havas et la plateforme d’intelligence marketing Funnel, née à Stockholm, ont signé un nouvel accord de collaboration pour une durée de cinq ans, désormais étendu à 100 pays et pour les 23 000 salariés du groupe, inscrit dans la stratégie Havas Converged. L’accord s’appuie sur un partenariat existant entre Havas Media Network et Funnel, l’extension du mandat intervenant au moment où Havas fait évoluer l’outil de planification d’audience sur mesure de Media Network vers un système d’exploitation unificateur pour l’ensemble du groupe de communication.

La stratégie mondiale Converged récemment annoncée par Havas s’appuie sur un engagement de 400 millions d’euros dans les data, la technologie et l’IA pour créer des ponts entre la création, les médias et la production, offrant ainsi une expérience transparente aux clients à travers le monde.

Alors que Havas cherche à accélérer la qualité des données à l’échelle du groupe, le partenariat élargi s’appuiera sur le Data Hub de Funnel pour gérer, surveiller et dépanner ses données.

Ce partenariat renouvelé intervient également dans un contexte de croissance de la demande pour les services d’intelligence marketing de Funnel, l’entreprise générant plus de 50 millions de dollars de revenus récurrents annuels (ARR) en 2023. La taille du marché mondial des technologies marketing, dont Funnel fait partie, était estimée à 407 milliards de dollars en 2024 et devrait atteindre, 823 milliards de dollars d’ici 2033, soit un taux de croissance annuel moyen de 8,15 %.

Selon l’analyse de l’agence Influence Metrics, 61% des publications des utilisateurs Français de LinkedIn présentent des signes d’utilisation d’outils d’Intelligence Artificielle dans leur rédaction. Pas de quoi en être fier ! On se demande bien pourquoi d'ailleurs car l'IA n'apporte pas grand chose à aprt trouver des contenus "faciles" et se faire mousser auprès de sa communauté !

L’intelligence artificielle s’impose de plus en plus comme un levier dans la création de contenu professionnel. Les outils basés sur l’IA permettent d’accélérer la production, d’uniformiser les processus et de répondre à une demande croissante de contenus en ligne. Cependant, cette tendance soulève des préoccupations majeures, tant sur la qualité des contenus que sur leur impact à long terme.

Pour encourager ses fans à soutenir ses joueurs malgré le contexte difficile (l'équipe a remporté une seule rencontre lors de ses 9 derniers matchs), le club Manchester City a décidé de leur offrir la possibilité de participer à la création de son prochain maillot Third. Pour cela, le club a lancé un concours - conçu avec Puma et les spécialistes de l'IA DeepObjects - invitant les supporters mancuniens à designer la future tenue à l'aide de... l'intelligence artificielle ! Le design gagnant sera porté par les joueurs lors de la saison 2026-2027 en tant que troisième maillot officiel. Le concours était ouvert jusqu'au 20 décembre 2024.

La startup italienne iGenius et Nvidia ont annoncé qu'ils prévoyaient de mettre en ligne l'un des plus grands déploiements au monde de serveurs Nvidia les plus récents d'ici le milieu de l'année prochaine dans un centre de données situé dans le sud de l'Italie.
iGenius construit un centre de données qui abritera environ 80 des serveurs les plus puissants de Nvidia, appelés GB200 NVL72, chacun équipé de 72 puces "Blackwell" de l'entreprise technologique.

La startup n'a pas donné de prix pour ce projet. Mais le directeur général Uljan Sharka a déclaré à Reuters qu'iGenius, l'une des rares entreprises d'IA en Europe évaluées à plus d'un milliard de dollars, avait levé 650 millions d'euros depuis le début de l'année et qu'elle prenait des capitaux supplémentaires pour le système informatique d'IA, qui s'appellera "Colosseum".

iGenius se distingue de ses rivaux tels qu'OpenAI en ce sens qu'elle développe des modèles de logiciels d'IA open source pour les chatbots qu'elle vend aux banques, aux entreprises de soins de santé et à d'autres secteurs soumis à des règles strictes en matière de sécurité des données, qui exécutent les modèles sur leur propre infrastructure.

Pour Colosseum, iGenius a également fait appel à la gamme complète d'outils logiciels de Nvidia, y compris un outil lancé cette année appelé Nvidia NIMS qui fonctionne presque comme un magasin d'applications pour les modèles d'IA. Cela signifie que les modèles d'IA qu'iGenius espère développer avec Colosseum - dont certains pourraient atteindre 1 000 milliards de paramètres selon une mesure de la sophistication de l'IA - peuvent facilement être distribués à toute entreprise utilisant des puces Nvidia.

"D'un simple clic, elles peuvent maintenant les extraire du catalogue Nvidia et les intégrer dans leur application", a déclaré M. Sharka.

Colosseum sera l'un des plus grands déploiements de serveurs phares de Nvidia dans le monde, a déclaré à Reuters Charlie Boyle, vice-président et directeur général des systèmes DGX chez Nvidia.

Plusieurs équipes de Nvidia spécialisées dans les logiciels et le matériel travaillent directement avec iGenius pour mettre le système en ligne, a-t-il ajouté.

"Ils sont en train de construire quelque chose d'unique.

Cette fin d'année est propice aux nouvelles "pires publicités"... La preuve avec ce spot pour promouvoir l'intelligence artificielle... Sauf que le spot publicitaire ZEVIA est terriblement mal réalisé et cette intelligence n'apporte pas grand chose de nouveau mis à part quelques effets digne d'un morphing qui date de 30 ans en arrière. Si la volonté reste de démontrer la puissance de l'intelligence artificielle avec une réalisation en seulement 3 jours, nous sommes loin du compte ! On pourrait même dire que nous sommes face à une grosse nullité !

.... Bref, à oublier au plus vite !

Alors que la monétisation via la publicité devient un enjeu majeur pour les plateformes de SVOD, Warner Bros. Discovery (WBD) innove en lançant deux nouveaux formats publicitaires sur Max !

Ces solutions, baptisées "Shop with Max" et "Moments", ont été développées en partenariat avec l'adtech américaine KERV.ai. Elles visent à transformer l'expérience publicitaire sur la plateforme de streaming, en permettant aux téléspectateurs de Max d'acheter des produits directement inspirés par les contenus qu'ils regardent.

"Shop with Max" se présente comme un ensemble de formats publicitaires utilisant l'intelligence artificielle pour identifier des objets apparaissant dans les séries et films. Le système fonctionne via un code QR qui permet aux téléspectateurs d'accéder à une sélection de 12 à 20 produits similaires sur leur smartphone, sans interrompre leur visionnage. Cette technologie couvre déjà 90% du catalogue de Max, aussi bien dans les séries que dans les films.

Les marques qui utilisent des publicités "shoppables" voient leur notoriété multipliée par quatre et leurs achats augmenter de 70 %. Ces publicités in-app permettent aux utilisateurs d'acheter des produits sans quitter la plateforme qu'ils sont en train d'utiliser. Cet aspect est de plus en plus important dans un paysage numérique où les utilisateurs préfèrent prendre des décisions d'achat rapides. Wayfair, un géant américain du commerce en ligne, est le premier annonceur à utiliser ces nouveaux formats publicitaires. "Ces nouvelles solutions sur Max permettront aux téléspectateurs de découvrir et d'acheter facilement des articles pour leur maison, inspirés par le contenu qu'ils regardent", souligne ainsi Kara O'Brien, responsable du marketing de la marque chez Wayfair.