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Créée en 2007, par Alain Kaeser, sur la base de travaux de recherche initiés au sein de l'Ecole Nationale Supérieure (ENS) Cachan, Yseop est un acteur clé de l'Intelligence Artificielle (IA) faisant partie des meilleurs spécialistes mondiaux de la NLG intervenant principalement auprès d'entreprises du CAC 40 et du Fortune 500. Après des investissements dans Yseop réalisés en 2017 et 2018 via ses véhicules non cotés, NextStage AM a décidé de continuer à soutenir le développement de la société en réinvestissant, via sa plateforme cotée NextStage, un montant de 8,3 millions EUR.
Yseop s'est également lancé à la conquête du marché de la pharmaceutique et a récemment annoncé à VivaTech un partenariat stratégique mondial avec Sanofi pour déployer l'utilisation de la NLG au sein du groupe avec pour premier but l'automatisation des documents réglementaires nécessaires à la mise sur le marché des nouveaux médicaments.
Criteo annonce un partenariat avec le master IASD (intelligence artificielle et sciences de la donnée) de l’université PSL (Paris Sciences & Lettres). Oganisé conjointement par l'université Paris-Dauphine, l’Ecole Normale Supérieure (Ulm) et Mines ParisTech, ce master est destiné à former des ingénieurs, data scientists et spécialistes du machine learning en alternance L’objectif de cette nouvelle formation est essentiellement de répondre à la forte demande des entreprises françaises et internationales, dans un contexte de pénurie de profils spécialisés.
Dans le cadre de cet accord, Criteo s’est engagé à accueillir une partie de la promotion et à l'encadrer pendant la durée de la formation au sein de son AI Lab.
« Nous voulons contribuer à former une nouvelle génération d’experts à même de pouvoir soutenir les efforts de recherche des entreprises » a indiqué Adrien Geille, responsable des partenariats académiques de Criteo.
Selon Bloomberg, Apple s’offre Drive.ai, start-up spécialiste du véhicule autonome. Une acquisition motivée par les compétences humaines plus que la technologie. Aucune des parties n’a confirmé l’acquisition et le prix de la transaction reste donc inconnu.
La valorisation était il y a peu de 200 millions de dollars -Estimation de Gene Munster, analyste Apple chez Loup Ventures). Une valorisation de Drive.ai basée sur le total de ses levées de fonds d’un montant de 77 millions $. Selon les observateurs, il s’agit d’une « acqui-hire » qui traduit une opération destinée à acquérir les compétences humaines d’une entreprise plutôt que ses actifs.
« L’acquisition de Drive.ai apporterait une nouvelle génération de talents en ingénierie mais nous n’attendons pas un produit ou un service d’Apple dans ce domaine avant 4 ans ou plus. » poursuit Munster.
CJ Carr et Zack Zukowski, deux musiciens passionnés de technologie, ont mis au point un procédé capable de générer des morceaux de death metal grâce à l'intelligence artificielle. Baptisé Dadabots, ce projet surprenant est capable d’identifier les variations de la musique pour choisir les sons à jouer.
L’IA « joue » ainsi en continu, 24h/24, sur une chaîne YouTube dédiée. Elle incorpore tous les éléments musicaux qui font l’ADN de ce genre musical… Mais c'est tout simplement minable ! Le pire est d'appendre que CJ Carr et Zack Zukowski ont commencé par rassembler d’innombrables fragments de musique metal puis l’IA a appris à produire des riffs plus complexes et à générer ses propres transitions… Un beau baratin car le résultat est pathétique et loin des meilleurs titres.
Enfin, on apprends également, que les deux musiciens ne comptent pas s’arrêter là. Ils veulent désormais intégrer des interactions entre l’IA et la foule pour recréer les conditions d’un concert. Une idée débile de plus !
>> Pour vous faire un bleu à l'oreille droite, cliquez ici pour mieux appréhender que cette "IA" est loin d'être de l'intelligence musicale !
Les 5 livres marketing qu'il faut acheter en 2019. La promesse est belle, non ? Ils ne sont pas forcement sortis cette année mais il s'agit bien des incontournables à lire et parcourir dans les domaines de l'IA, du marketing, de la communication et du digital. Pas besoin de se dire qu'il faudra tout lire en une semaine. Il suffit surtout d'aller picorer les thèmes pertinents dans les différents ouvrages pour s'ouvrir à la compréhension et à la réflexion. Voici donc une sélection de notre rubrique "livre" à ne pas manquer dès maintenant :
"Les nouveaux défis du brand content" > Auteur : Thomas Jamet.
Face à des audiences fragmentées et un écosystème média où tout est connecté et simultané, quelles solutions concrètes, ludiques, engageantes et surtout efficaces est-il possible d'apporter aux marques? Ce livre est une nouvelle référence en matière de Brand Content et il est à lire au plus vite.
L'ouvrage qui propose une réflexion à la fois originale et exhaustive sur les points clés d’une marque. Plus de 400 pages avec de nombreux exemples et des principes / méthodologies. Une nouvelle bible de la création et de la gestion de la marque. Ce livre parle à tous les publics : étudiants, créateur de start-up, financiers, designer ou marketeurs.
"La publicité à l'heure de la data - Ad tech et programmatique expliqués par des experts" > Auteur : Jean Allary.
Ad tech et programmatique révolutionnent la publicité digitale. Dans cet ouvrage, 15 professionnels et universitaires travaillant au sein d’organismes leaders dans le domaine démystifient cette révolution. Ils en livrent les grands principes et les recettes opérationnelles dans des termes accessibles, afin d’améliorer l’efficacité de vos campagnes publicitaires.
"Marketing sur les Réseaux Sociaux : Doublez vos ventes en utilisant les social medias" > Auteur : Thomas Cambrai.
Les réseaux sociaux et leur utilité professionnelle vous échappent encore ? Votre entreprise ne se positionne pas, à l’ère de la révolution numérique, sur ces leviers de communication du web 2.0 ? Facile à lire, cette ouvrage s'adresse aux marketeurs et aux étudiants en général.
"L'IA va-t-elle aussi tuer la démocratie ?" > Auteurs : Laurent Alexandre et Jean-François Copé.
Dans L’IA va-t-elle dynamiter la politique ?, Laurent Alexandre et Jean-François Copé s’interrogent sur la progression des intelligences artificielles. Quelles initiatives pour éviter les dérives ? Politique et IA sont-elles compatibles ? Autant de questions qui vont avoir besoin de réponses prochainement, avant que notre avenir ne ressemble à un roman de science-fiction… Très bel ouvrage qui mérite le détour au plus vite !
YouTube va déployer une nouvelle fonctionnalité pour ses créateurs, à savoir la possibilité d’enrichir leurs Stories avec des filtres en réalité augmentée. Un outil qui n’est évidemment pas sans rappeler ce que peuvent faire les utilisateurs de Snapchat. Basés sur le machine learning, ces filtres suivent les mouvements des personnes et permettent d’ajouter des accessoires, comme une casquette ou des lunettes, ou encore de réaliser des effets de maquillage. Intéressant, non ? Ils seraient accessibles aux créateurs possédant plus de 10 000 abonnés. Un post publié sur le blog de Google IA détaille le sujet.
53% des directeurs marketing ont l’intention d’augmenter leurs dépenses en intelligence artificielle, selon Quantcast !
67% des directeurs marketing qui investissent dans l’intelligence artificielle (IA) constatent un impact positif sur leurs résultats, selon une nouvelle étude de Quantcast et Forbes Insights intitulée «Enseignement des marques au 21e siècle». 30% d’entre eux considèrent d’ailleurs l’IA comme «importante» ou «essentielle» à leurs efforts marketing.
Dans le détail, 72% pensent que l’IA permettra de créer une mesure plus précise ; 53% qu’elle servira à obtenir une meilleure segmentation comportementale ; 55% qu’elle sera utilisée pour répondre en temps réel aux consommateurs ; 52% qu’elle sera utile à la création de messages qui favorisent l’engagement.
Par ailleurs, ces spécialistes du marketing ont vu leurs ventes augmenter de 15% en 2018 (contre 7% pour ceux qui n’ont pas encore adopté l’IA) et disent mieux réussir à fidéliser leurs clients.
La voix ne représente que 0,5% des ventes en ligne aux États-Unis ! Et Bim, ca calme, non ? On pense régulièrement aux "experts" qui nous font le coup de la révolution notamment avec le haut parleur vocal… Le chiffres parlent vraiment !
74,2 millions d'Américains entendent utiliser un haut-parleur intelligent au moins une fois par mois au cours de l'année qui vient, et 15% l'ont fait en 2018, indique une étude publiée par eMarketer. En revanche, pour le moment les résultats sont faibles et peut-être ridiculement réduits pour penser qu'il y aune grosse tendance à l'horizon. Le commerce vocal a atteint 2,1 milliards de dollars en 2018, soit 0,5% des ventes en lignes totales aux États-Unis. 27% des propriétaires de "smart speakers" devraient acheter grâce à ce device en 2019 mais il faudrait vraiment le vérifier car pour le moment nous sommes loin du compte !
Notons quand même qu'à l'occasion du CES de Las Vegas, Amazon annonce que 100 millions d'appareils intégrant son assistant Alexa ont été écoulés. Au total, 150 produits reposant sur l'assistant vocal sont désormais commercialisés, parmi lesquels 100 ne sont pas directement construits par Amazon.
Golem ai a développé une technologie d’intelligence artificielle de compréhension du langage naturel. Cette jeune entreprise vient de lever 1 million d'euros auprès de business angles. Cette entreprise est notamment fondée par Thomas Solignac, que l'on voit régulièrement dans les conférences pour des prises de paroles sur l'intelligence artificielle. Ce denier avait notamment expliqué dans un article de La Tribune que le métier de l'entreprise était de simplifier la vie aux autres en indiquant « Nous intervenons sur la partie sémantique. Si quelqu'un commande une pizza via un assistant vocal comme Alexa d'Amazon ou Google Home, nous traduisons cette requête en action logicielle ».
Tous les experts le disent : l’Internet des objets (Internet of Things, IoT) est un levier de transformation numérique puissant pour fluidifier et sécuriser les processus de production dans tous les secteurs. En revanche, l'IoT se pose comme un accélérateur business qui ne se fait pas sans confiance et utilité. Permettre d'innover rapidement grâce à l'IoT reste un point majeur pour bon nombre d'entreprises mais il faut tenir compte de l'utilité pour les consommateurs et de la confiance qu'elle apporte au quotidien.
Pour exemples, les usages professionnels des objets connectés « intelligents » et des informations captées se multiplient dans les domaines comme la Supply Chain, la logistique, les transports. Ce monde de plus en plus connecté, et soumis au temps réel, fait de l’IoT un endroit qui doit avoir de l'utilité aux yeux de tous car il transporte et traite des données sensibles. La prise en compte de la responsabilité et de la confiance dans une chaîne de traitement complexe composée en majorité d’acteurs techniques n'est plus à prendre à la légère. Rappelons qu'avec l'IoT, le client peut remonter des informations relatives à l’usage d’un produit et l’entreprise dispose d’un canal pour lui transmettre des réponses et des informations. Il faut donc que le rapport de confiance soit présent en permanence pour que les parties prenantes acceptent les conditions d'échanges permanentes.
Quand un géant comme Microsoft a annoncé qu'il investirait 5 milliards de dollars sur 4 ans dans l'IoT, il y a quelques semaines, il fallait comprendre encore un peu plus que le sujet devenait prioritaire pour développer à la fois des nouvelles solutions et que l'échange avec les utilisateurs était incontournable.
Selon le cabinet A.T. Kearney "l’IoT entrainera une augmentation de productivité de près de 2 milliards de dollars de l'économie mondiale et une réduction de 177 milliards de dollars des coûts des entreprises d'ici la fin de la décennie". Tous les génats de l'industrie, du food, des transports, de la santé et de la Tech sont sur le pont. Pour tous, il faut développer l'IoT car c'est l'avenir... C'est surement l'avenir d'un monde piloté et espérons que l'utilité sera au rendez-vous. Tous les individus vont devoir accepter de se laisser embarquer dans cette machine du futur qui va assister encore un peu plus l'humain tout en déshumanisant la confiance. La confiance aura-t-elle encore de l'avenir quand les machines penseront à la place de l'homme. IoT & IA, même combat ?
Le géant Oracle rachète DataFox, entreprise qui utilise l'Intelligence Artificielle pour extraire et compulser, en temps réel, ces informations qui proviennent de sources diverses, plus ou moins structurées, comme des articles de presse ou des documents officiels (bilans, organigrammes, etc.).
« Le moteur de données à base d'AI de DataFox extrait en permanence des données détaillées sur plus de 2,8 millions d'entreprises publiques et privées et en ajoute 1,2 million par an », commente Oracle. « Un contexte supplémentaire est apporté par plus de 5 millions de caractéristiques numériques, 70 000 articles d'actualité par jour et 756 000 signaux uniques, ce qui permet aux clients de savoir en temps réel quand une entreprise mérite son attention ».
DataFox continuera à être commercialisé en produit indépendant. Oracle explique en revanche que ces flux de données - et la technologie qui permet de les synthétiser - enrichiront plusieurs de ses offres.
L'Intelligence Artificielle génèrera près de 90 milliards de dollars de chiffre d'affaires d'ici 2025.
Faut-il vraiment y croire ? Au regard de l'infographie Statista ci-dessous, la réponse est OUI !
Une étude publiée par le Boston Consulting Group révèle que les salariés de sept pays, dont la France, sont enthousiasmés par l’intelligence artificielle ! Les bénéfices et immenses possibilités offertes par l’intelligence artificielle en font toutefois un marché d’avenir par excellence. Les données de Tractica sur l’évolution du marché sont sans appel : l’IA devrait générer près de 90 milliards de dollars de bénéfices dès 2025, contre seulement un peu plus de 7 milliards cette année. Si l’Amérique du Nord se positionne en leader sur ce marché, l’Europe, et notamment la France, entend bien profiter de ce tournant majeur et devrait représenter environ un quart du chiffre d’affaires mondial d’ici 2015.