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Le milliardaire patron de Tesla et SpaceX, Elon Musk, a promis d’offrir un prix de 100 millions de dollars pour le développement de la meilleure technologie pour capturer les émissions de dioxyde de carbone, afin de contrôler le changement climatique. (Source : compte Twitter).
En plus d'être devenu l'homme le plus riche du monde, Elon Musk est aussi un visionnaire qui n'hésite pas à mettre sur la table des dizaines de millions de dollars. Chapeau !!!
La start-up Getfluence boucle un tour de table de 5 millions d’euros pour accélérer le déploiement de sa place de marché dédié au brand content, ou contenus sponsorisés.
Une levée de fonds qui est faite auprès de Reflexion Capital, Irdi Soridec Gestion, Celeste Management et plusieurs business angels via WeSprint et Angelsquare Capital. L’opération a été menée par KPMG Corporate Finance.
Ce tour de table doit permettre à la start-up d’accélérer son internationalisation comme pas mal de start-ups qui lèvent des fonds mais ce n'est pas une grande promesse pour séduire les nouveaux investisseurs. Les start-ups manquent d'imagination quand elles doivent justifier la levée de fonds quand même.. bref ! Getfluence a ouvert un bureau en Espagne et en Italie, et souhaite poursuivre son expansion pan-européenne en Allemagne et au Royaume-Uni. Pour accompagner son déploiement, elle annonce recruter plus de 40 profils (commerciaux, achats et marketing) au cours des deux prochaines années qui seront répartis dans les 5 pays où elle va opérer.
C'est bien connu, les images spectaculaires et les accidents de voitures attirent les spectateurs... Difficile de comprendre le phénomène mais il n'en reste pas moins que la vidéo suivante fait le buzz depuis la fin du mois de décembre 2020 avec plus de 3 millions de vues sur YouTube.
Il s'agit du "Best of des crashs 2020 en rallye". Enjoy ! En même temps, il faut observer que les passages rapides des voitures sont très impressionnants.
Voilà une bonne nouvelle en matière de média en France. Google a signé un accord pour rémunérer la presse française !
Google et l'Alliance de la presse d'information générale (Apig), qui représente les quotidiens nationaux et régionaux français, ont annoncé la signature d'un accord ouvrant la voie à la rémunération de la presse hexagonale par le géant du Net au titre du «droit voisin», après des négociations mouvementées.
«L'Alliance de la presse d'information générale et Google annoncent aujourd'hui un accord portant sur la rémunération des droits voisins au titre de la loi française», ont annoncé les deux parties dans un communiqué commun, soulignant qu'il s'agissait de «l'aboutissement de nombreux mois de négociations dans le cadre fixé par l'Autorité de la concurrence».
Cet accord «fixe le cadre dans lequel Google négociera des accords individuels de licence avec les membres» de l'Apig, expliquent les signataires. Il s'agira d'accords de licence qui «couvriront les droits voisins, et ouvriront en outre aux journaux l'accès à News Showcase», ce
programme récemment lancé par Google dans lequel il rémunère des médias pour une sélection de contenus enrichis.
Netflix a fini 2020 avec 203,7 millions d'abonnés payants dans le monde, après une année favorable marquée par la pandémie et les confinements, et malgré une compétition accrue et une récente hausse de ses tarifs. Le leader du streaming vidéo payant a annoncé avoir engrangé 37 millions d'abonnements supplémentaires sur toute l'année 2020, dont 8,5 millions au quatrième trimestre, signe que la plateforme continue de gagner des parts de marché même si ce n'est plus au même rythme qu'au printemps dernier.
«Nous sommes très proches de parvenir à une trésorerie positive», a en outre annoncé le groupe dans son communiqué de résultats. «Nous pensons que nous n'avons désormais plus besoin d'investissements extérieurs pour financer nos opérations au quotidien».
L'entreprise veut aussi prouver qu'elle ne dépend pas de ses marchés historiques: plus de 80% des abonnements supplémentaires souscrits en 2020 l'ont été en dehors de l'Amérique du Nord.
Pour le premier trimestre 2021, elle prévoit de gagner 6 millions de nouveaux abonnés.
Après la santé, l’environnement ou encore la Deeptech, Bpifrance renforce sa capacité d’investissement dans les startups de la Fintech, en leur dédiant une enveloppe de 100 millions d’euros. En 2020, les Fintech françaises ont prouvé leur résilience en levant près de 830 millions d’euros, selon le baromètre annuel France Fintech. Pour cause, les évolutions technologiques et réglementaires récentes ont généré de profonds bouleversements dans l’écosystème des services financiers.
Ces nouveaux acteurs semblent avoir réussi à transformer la relation client, automatiser les infrastructures de gestion, ou enrichi les modèles prédictifs des banques, des assureurs et des asset managers. Symboles de ce dynamisme, quelques levées de fonds records, comme celle de la solution de paiement mobile Lydia, qui a bouclé deux tours de table, pour un montant global de 112 millions d’euros. Au global, le secteur connait une forte croissance en France, où depuis 2012, les montants investis enregistrent une hausse annuelle de 74 % en moyenne.
Un accès privilégié à un réseau d’experts métiers
A tendance historique, solutions historiques. Déjà fort d’un portefeuille de douze Fintech, Bpifrance amplifie son action d’accompagnement en fonds propres des entreprises du secteur en dédiant une enveloppe de 100 millions d’euros, via ses fonds Digital Venture et Large Venture. Ce montant permettra d’accompagner les entrepreneurs français porteurs de projets ambitieux (services bancaires, assurance, projets blockchain, gestion des risques…) qu’ils ciblent les institutions financières, les entreprises ou les particuliers.
« De par son positionnement, en tant que gestionnaire de fonds d’investissement spécialisés dans l’innovation, d’une part, et grâce à un accès privilégié à un réseau d’experts métiers, au sein du Groupe, qui disposent d’une connaissance fine des industries financières et bancaires, d’autre part, Bpifrance a un rôle à jouer dans l’essor des Fintech françaises afin de leur permettre de se positionner parmi les leaders de ce secteur », précise Arnaud Caudoux, Directeur général adjoint de Bpifrance.
En 2020, cinq nouveaux investissements ont ainsi été réalisés dans le secteur par les fonds Digital Venture et Large Venture. Pixpay, Memo Bank, Swan, Ibanfirst et Swile. Le fonds Digital Venture vient par ailleurs d’annoncer ce 20 janvier accompagner la levée de fonds de la Fintech SIS ID, solution collaborative de lutte contre la fraude au virement en France.
Qui a dit un jour... Pfff ! Ça ne marchera jamais !!! En tout cas ce n'est pas nous au sujet de la plateforme E-commerce Deliveroo. La plateforme de livraison de repas Deliveroo boucle une nouvelle levée de fonds de 180 millions de dollars, notamment auprès d'Amazon, et est désormais valorisée à 7 milliards de dollars. Son fondateur, Will Shu, indique que l'entreprise se prépare à une IPO et indique que les sommes récoltées serviront à améliorer le service pour les clients, les livreurs et les restaurateurs.
Interflora et compagnie doivent regarder de près cette start-up anglaise ...
La start-up londonienne Bloom&Wild, spécialisée dans la livraison de fleurs, boucle une levée de fonds en série D de 102 millions de dollars afin de s'étendre en Irlande, en France, en Allemagne ainsi qu'en Autriche. L'opération est menée par General Catalyst, accompagné d'Index Ventures, Novator, Latitude Ventures et D4 Ventures.
La plateforme d'articles en ligne Medium a annoncé le rachat de l'application française spécialisée dans la distribution de livres numériques Glose et l'ouverture à Paris de son premier bureau hors des États-Unis. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé dans le communiqué commun des deux entreprises, mais atteindrait selon une source proche du dossier "plusieurs dizaines de millions d'euros". Créée en 2012 par Ev Williams, également cofondateur du réseau social Twitter, Medium permet à tout un chacun d'écrire un article et d'obtenir, via un design épuré et des algorithmes de recommandation, une visibilité difficile à construire sur un blog traditionnel. La plate-forme, très populaire dans le milieu de la tech, est sans publicité mais propose un abonnement premium. L'application Glose de son côté a été lancé en 2014 et permet à plus d'un million de lecteurs dans le monde, en majorité aux États-Unis, d'accéder à un catalogue de 1,4 million d'ouvrages numériques vendus à l'unité.
Attention les yeux, IKEA sort du très très lourd en matière de publicité !
La campagne IKEA qui se positionne comme l'astéroïde publicitaire 2021.
2021 pour Ikea c’est la décision de faire disparaître le catalogue papier mais aussi de mettre en avant une campagne signée Mother qui fonce tout droit sur la planète avec à la réalisation le grand Tom Kuntz. Le 60 secondes s’ouvre sur un énorme météore qui, à n’en pas douter, va se jeter sur notre planète et l’éparpiller façon puzzle… La boule en question est en fait un monstrueux amoncellement de déchets enchevêtrés, une décharge gigantesque qui fonce sur les gentils habitants d’une ville Lambda… tandis qu’une voix off commente, «Nous manquons de temps pour éviter les catastrophes à moins que nous ne changions sérieusement nos habitudes»… L’angoisse. Une jeune fille cesse d’écouter les infos et se branche sur un Walkman. Elle écoute «Making it better» de The Barons, et aussitôt l’ambiance devient plus légère.
Une publicité engagée qui vaut bien d'être "pub de la semaine" !
Fondée il y a un peu plus de deux ans par Mehdi Tahri et Alexandre Dardy, la startup Iziwork, une application mobile qui met en relation les entreprises qui embauchent en intérim et des personnes à la recherche de missions, vient de lever 35 millions d’euros auprès de Cathay Innovation et de Bpifrance via son fonds Large Venture. Un tour de table qui porte à 55 millions d’euros les fonds levés par l’entreprise depuis sa création.
La jeune pousse française iziwork a créé une plateforme qui facilite la recherche de missions pour les intérimaires. Elle veut profiter de ses nouvelles ressources pour étoffer son pôle de R&D et se lancer dans plusieurs pays européens.
En raison de sa flexibilité, l'intérim a pour habitude de redémarrer plus vite lors des sorties de crise. Le rôle d' iziwork , une start-up qui digitalise l'accès à l'intérim, risque donc d'être crucial dans les prochains mois si les nuages noirs pesant sur la conjoncture se dissipent avec la montée en puissance de la campagne de vaccination.
Mehdi Tahri, le cofondateur d'iziwork, pourra compter sur de nouvelles ressources pour aider les intérimaires à décrocher une mission.
Comment fonctionne Iziwork? Les candidats téléchargent l’application, prennent leur CV en photo et s’inscrivent ainsi sur la plateforme en quelques minutes. Les données du CV sont reconnues automatiquement et un algorithme développé par la startup permet de « matcher » ses compétences, expériences et souhaits avec les offres d’emploi à proximité. Avant de commencer leur mission, les candidats reçoivent les informations pratiques en ligne. C’est également via leur espace personnel qu’ils retrouvent leurs documents administratifs comme leurs contrats ou encore leurs relevés d’heures.
En 2021, il ne faut pas oublier d'optimiser son SEO notamment en observant les questions de la "Checklist anti-spam Google My Business" qui est révélé par SEMRUSH.
Il existe deux checklists : l’une pour identifier les fiches potentielles qui violent les lignes directrices de Google My Business et l’autre qui est une checklist de rapport.
La première checklist n'a pas besoin d'être réalisée fréquemment, mais ce serait utile de la faire au moins une fois. Si le suivi de votre classement est correctement configuré pour Google Maps, vous devrez probablement juste faire attention à votre classement sur la carte. Si vous perdez une position sur un mot clé important, quelle est la fiche qui vous dépasse maintenant ? S'il s'agit d'une nouvelle liste, passez à la liste de contrôle n°2.
Checklist n°1 :
Dans google.com/maps, assurez-vous que vous êtes bien dans la zone où vous souhaitez trouver les spammeurs
Utilisez l'opérateur de recherche intitulé : « mot clé » pour faire apparaître des fiches avec le mot clé dans le titre de l'entreprise
Toute fiche qui comporte le mot clé principal se voit attribuer un drapeau jaune
Toute fiche ayant UNIQUEMENT dans son nom un mot clé se voit attribuer un drapeau jaune
Toute fiche comportant un modificateur (-) se voit attribuer un drapeau jaune
Toute fiche n’ayant pas de site web se voit attribuer un drapeau jaune
Sur une fiche Google, ajoutez le nom de l'entreprise, son adresse, son numéro de téléphone, son site web et un lien vers la fiche Google My Business pour chaque fiche avec un drapeau jaune
Répétez ce processus pour chaque mot clé important (sujet) abordé par vous ou votre client
Pour faire bonne mesure, effectuez quelques recherches brutes dans Maps comme si vous étiez un client à la recherche d'un service particulier, sans oublier le nom de la ville
Cette checklist vous permet de trouver relativement rapidement des fiches potentielles. Ces fiches peuvent être fausses ou tout à fait légitimes. La deuxième checklist nous aidera à passer en revue chaque fiche, une par une, afin de voir s'il faut la corriger ou la supprimer entièrement.
Checklist n°2 :
Conseil : (Une réponse négative à l'une des questions de la checklist nécessitera de la documentation)
Utilisez la fonction de recherche de noms d'entreprises de l'État. Y a-t-il une entreprise enregistrée à cette adresse ?
À partir de la fiche, cliquez sur les photos et accédez ensuite à Street View et 360º.
Y a-t-il un panneau pour l'entreprise ?
S'agit-il d'une résidence personnelle ?
Dans un nouvel onglet, faites une recherche sur l'adresse exacte. La fiche est-elle la seule à cette adresse ?
Visitez le site Web. La marque ou le logo est-il le même que le nom de l'entreprise ?
Le site comporte-t-il une page À propos présentant de vraies personnes ou l'historique de l'entreprise ?
Le contenu est-il fortement « optimisé » et générique ?
Le contenu est-il axé sur la mise en relation d’utilisateurs avec quelqu'un d'autre (démarchage) ?
Pour les secteurs qui nécessitent une licence, y en a-t-il une qui soit répertoriée ? Si oui, s'agit-il d'une licence valide ?
Cette checklist doit être utilisée sur chaque fiche qui a un drapeau jaune.