marketing

Encore eux ??? Oui Amazon est partout et compte bien le rester en innovant. Bonne ou mauvaise idée, il n'en reste pas moins qu'il faut compter sur eux pour imposer des idées comme la dernière en date :

Le concept est aussi simple qu'innovant : lorsqu'un utilisateur mettra en pause son contenu sur Prime Video, une publicité générée par l'IA pourra apparaître, mais pas n'importe laquelle : le système analysera en temps réel la scène interrompue à l'écran pour créer un message publicitaire censé être parfaitement adapté au contexte.

Cette technologie, qui sera déployée d'ici la fin de l'année 2025 aux Etats-Unis, vise ainsi à créer des publicités contextuelles plus pertinentes. L'intérêt ? Proposer "une expérience de publicité contextuelle qui aligne dynamiquement le message publicitaire sur le contenu que les téléspectateurs sont en train de regarder - créant ainsi une connexion naturelle et pertinente", à en croire Alan Moss, le VP of global ad sales d'Amazon, cité par le magazine Variety.

"Par exemple, si un spectateur met en pause une scène romantique avec un baiser, il pourrait voir apparaître une publicité pour les chocolats Hershey's Kisses", précise quant à lui le site spécialisé Mediapost. Le même principe peut s'appliquer à tout type de scènes : une course-poursuite en voiture pourrait générer une publicité pour le même modèle de véhicule, un moment en cuisine dans une série pourrait déclencher une promotion pour des ustensiles ou des ingrédients spécifiques montrés à l'écran, etc.

45 % des fans de football* admettent qu’ils ont arrêté de regarder un match pour éviter de gâcher le résultat. En réponse, pour la finale de l’UEFA Champions League de cette année le 31 mai à Munich, Heineken, en collaboration avec l’agence créative LePub, revient avec une autre histoire de dévotion au football dans le cadre de sa plateforme « Cheers to the Superstitious Fans ». 

Voilà une belle "pub de la semaine" qui surfe sur l'actualité et qui au passage permet d'aborder la marque de bière autrement ! 

Nouveau record pour Honda qui vient de franchir la barre des 500 millions de 2 roues motorisés produits depuis sa création. Plus impressionnant encore est la croissance de cette production, qui avait atteint 100 millions en 1997 ; et qui a donc quintuplé en moins de 30 ans.

Honda vient de franchir le cap des 500 millions de deux-roues motorisés produits. Un nombre impressionnant, qui ne représente pourtant qu’une partie des activités de l’entreprise. En effet, Honda reste l’un des plus grands producteurs mondiaux de moteurs, dans des univers très divers. Le nombre de 500 millions a été atteint en 76 années de production mais l’accélération a été forte à partir de la fin des années 1990. En effet, le constructeur a atteint 100 millions d’unités en 1997, pour passer à 200 millions en 2008 et 300 millions en 2014. La firme a franchi le cap des 400 millions en 2019, tandis qu’elle venait d’atteindre pour la première fois une production annuelle de 20 millions d’engins en 2018. Le Covid n’a pas trop impacté la fabrication, puisque le palier des 500 millions vient d’être franchi.

Les capacités de production du constructeur en matière de deux-roues motorisés dépassent ainsi les 20 millions de machines par an, réparties dans 37 usines implantées dans 23 pays. Pour distribuer ces engins de tous types et de toutes cylindrées, le constructeur dispose d’un réseau de 30 000 concessionnaires. Si Honda a lancé de nombreuses innovations depuis sa fondation, plusieurs modèles restent des références. En matière de volumes de vente, la star incontestable de la marque est le Super Cub. Cet engin a largement contribué et contribue toujours aux chiffres de productions atteints. En effet, la marque a fêté 87 millions d’unités écoulées en 2014 et 100 millions en 2017. Ce dernier a même fait son retour en Europe en 2019. Il a donc pesé lourdement dans le record de production atteint cette année par le constructeur japonais.

On avait déjà parlé de ce podcast et il tient bien sa promesse avec un épisode de TOUT EST MARQUE très intéressant sur l'enseigne POINT S. Son Directeur marketing parle de l'enseigne et de sa stratégie de développement. Le ton de l'interview est super convivial et on apprends pas de choses. Voilà donc un clin d'oeil, et il faut l'écouter.

La bonne dynamique du marché publicitaire se confirme au premier trimestre 2025, avec une hausse de 3,4 % des recettes. C’est ce que révèle la dernière édition du Baromètre Unifié du Marché Publicitaire, dit BUMP, publiée ce jeudi 15 mai 2025. Élaboré à partir des données de Kantar Media, de l’IREP et de France Pub, ce rapport dresse un état des lieux des investissements des annonceurs et propose aussi des projections pour l’année en cours.

4,144 milliards d’euros : c’est le montant total des recettes publicitaires enregistrées tous médias confondus au premier trimestre 2025, soit une hausse de 3,4 % par rapport à la même période en 2024. Comment expliquer cette dynamique positive, qui se maintient d’une année sur l’autre ? Essentiellement par la « bonne santé du marché digital », analysent Kantar Media, l’IREP et France Pub. Avec des recettes nettes estimées à 2 580 milliards d’euros, le marché de la publicité digitale progresse de 8 % sur un an. Il faut dire que les leviers numériques attirent : au total, 38 764 annonceurs, soit 85 % des acteurs du marché publicitaire, y consacrent une part de leurs investissements :

• Display : 21 446 annonceurs (55,3 %),
• Paid social : 19 335 annonceurs (49,8 %),
• Paid Search : 12 171 annonceurs (31,4 %),
• DOOH : 1 665 annonceurs (4,30 %),
• Replay IPTV : 872 annonceurs (2,2 %),
• Audio Digital : 640 annonceurs (1,65 %).

Sans grande surprise, l’immense majorité des 19 935 annonceurs qui investissent en social ads se tournent vers les plateformes de Meta, à savoir Facebook et Instagram. Toutefois, la domination du groupe californien sur ce marché s’érode : si en 2024, 97 % des annonceurs investissaient sur ces plateformes, ils ne sont plus que 79 % à le faire sur Facebook et 71 % sur Instagram au premier trimestre 2025. TikTok, qui occupe la troisième position, capte désormais 10 % des annonceurs, tandis que Snapchat en attire 3 %.

Voici les secteurs qui ont le plus dépensé en publicités sur les réseaux sociaux au premier trimestre 2025, d’après les données collectées par Kantar Media :

• Mode : 15 %
• Distribution : 13 %
• Services : 10 %

Airbnb change de braquet. Après avoir tout misé sur Paris l’été dernier lors des Jeux olympiques, la plate-forme de location de logements entre particuliers vise désormais les campagnes. Airbnb a annoncé rejoindre la Grande boucle en tant que sponsor. Objectif : cibler les 10 millions de spectateurs installés le long des routes du Tour de France qui, parfois, peinent à se loger aux alentours des villes d’arrivée des étapes. Et, pourquoi pas, les futurs touristes qui envisageront de visiter tel ou tel village après avoir vu, à la télévision, y passer le maillot jaune. Le Tour de France pourrait donc permettre à l’entreprise d’accélérer sa visibilité dans ces territoires. « Nous avons constaté une énorme augmentation des réservations dans ces petites et moyennes villes qui sont situées le long du parcours », poursuit le PDG.

#sponsoring

Stellantis passe la deuxième. Pour regagner la confiance de ses clients, qui s'effrite de jour en jour depuis le scandale des moteurs PureTech.
e groupe propose désormais une garantie dix ans ou 180 000 kilomètres pour les moteurs PureTech. Stellantis développe aussi "un plan d'indemnisation européen qui couvrira les réparations effectuées entre janvier 2022 et décembre 2024, à condition qu'elles aient été réalisées dans le réseau officiel et conformément au plan de maintenance du constructeur". Désormais, l’intégralité des frais de réparation et des pièces mais aussi la main d'oeuvre sont sous garantie. Le certificat Check+, attestant de la qualité et de la régularité de l'entretien, a été lancé pour les véhicules d'occasions. Voilà une bonne nouvelle pour les automobilistes et les clients du groupe Peugeot !

La mythique marque Benco revient en campagne avec Mouton Noir, après six ans d’absence en mass media. Pour marquer ce retour, la marque s’invite jusqu’au 3 octobre 2025 dans le replay d’émissions bien connues de TF1 : « Danse avec les Stars », « Koh-Lanta », « Mask Singer » ou encore « Star Academy », dans des billboards contextualisés et conçus sur-mesure pour chaque programme. Chacun des spots met en scène un pot de Benco personnifié, dont la seule ligne de dialogue est le mot « Benco ». Un gag rendu plus cocasse avec la voix de Damien Laquet, voix officielle des Lapins Crétins.

Dans ce contexte, l’Agence Bio lance avec The Good Company et values.media, une campagne nationale. L’ambition ? « Permettre à la filière de repartir de l'avant en la reliant à ce qui rassemble tous les Français…l’amour du bien manger », explique l’agence créative dans un communiqué. Une identité sonore vient accompagner et rythmer la campagne  avec la chanson « Les Crudités » de Bourvil, remixée. Une très belle campagne qui nourrit le "bon état d'esprit" d'une communication saine".

Avec l’aide de Havas Creative Canada, la marque emblématique de fromage lance une campagne aussi drôle qu’engagée pour revendiquer sa place dans l’univers des emojis.

Baptisée « Le vrai émoji du rire », l’initiative prend la forme d’une pétition nationale ouverte à tous les Canadiens. L’objectif ? Demander officiellement la création d’un emoji à l’image de la célèbre vache rouge, mascotte historique de la marque depuis plus d’un siècle. Et surtout, remettre les pendules à l’heure face au célèbre emoji du chat qui pleure de rire 😹, qu’on utilise par réflexe des milliards de fois… alors que la vraie icône du rire, c’est bien La Vache qui rit. Pour accompagner cette demande, la marque n’a pas lésiné sur la créativité : vidéo manifeste, fausses unes dans les journaux et affichage urbain, le tout dans un ton résolument joyeux et revendicatif. Mais derrière l’humour, la campagne porte un véritable engagement solidaire. Pour chaque signature récoltée avant le 8 juin 2025, 0,50 dollars sera reversé à Banques alimentaires Canada, soit l’équivalent d’un repas pour une personne dans le besoin. Le Groupe Bel, qui porte l’opération, s’est d’ailleurs engagé à verser jusqu’à 50 000 dollars, même si l’objectif des 100 000 signatures n’est pas atteint.

Aucune marque à ce jour n’a réussi à faire entrer son personnage officiel dans le catalogue Unicode. L’emoji La Vache qui rit serait donc une grande première, si elle parvient à franchir les étapes nécessaires pour être validée par le consortium en charge des emojis officiels.

Un coup de marketing, vraiment génial, non ?

Le Groupe Pernod Ricard a lancé Ricard, une boisson alcoolisée en édition limitée qui peut être dégustée directement à partir de la bouteille, sans qu’il soit nécessaire de la mélanger. Il s’agit du premier produit prêt à boire composé de la liqueur aromatisée à l’anis et à la réglisse signature de Pernod Ricard, généralement servie diluée avec de l’eau.

Créé par l’agence de branding et de design Lonsdale, le flacon est enveloppé du jaune ensoleillé qui apparaît normalement comme un point culminant distinctif de la célèbre marque Pernod Ricard. Avec une silhouette épurée, un design compact et minimaliste, et le logo Ricard vertical dans son bleu profond iconique, le flacon vise à affirmer l’identité visuelle de la marque avec assurance et simplicité.

Le marché français des cocktails prêts-à-boire a généré un chiffre d’affaires de près de 100 millions d’euros en 2024 et devrait atteindre près de 220 millions d’euros d’ici 2030. Ricard est disponible en exclusivité dans le supermarché français Franprix, avec un lancement en ligne prévu pour mai. Ce nouveau produit Ricard est lancé en édition limitée par le groupe français, avec seulement 220 000 bouteilles qui seront produites cette année.

Rappelons que la marque avait déjà essayé au début es annaées 2000 avec un concept très proche et cela avait "FLOP"... Peut-être trop tôt  à l'époque ! A suivre ...

Quelques rayons de soleil et les messages s'affolent dans les boites d'emails ! Toutes les marques et les enseignes cherchent à attirer les clients sur les sites de e-commerce ou en magasin. Certains sont plus forts que d'autres en matière de réduction, notamment mais aussi de visuels accrocheurs.

En voici la preuve avec les exemples suivants :