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Kia Motors, le géant automobile sud-coréen, a officiellement acquis les droits de naming de l’arène du Magic d’Orlando, précédemment connue sous le nom de Amway Center. La société prévoit d’améliorer l’expérience des fans en intégrant sa marque à l’intérieur et à l’extérieur du stade, ainsi qu’en installant des stations de recharge pour véhicules électriques, un clin d’œil à son investissement dans les transports durables. « Le Magic d’Orlando et Kia America sont de fiers partenaires depuis plusieurs années et nous partageons l’enthousiasme suscité par le succès et la croissance de Kia », a déclaré Alex Martins, PDG du Magic, dans un communiqué. « Nous nous réjouissons de notre partenariat élargi qui permet à Kia de faire progresser sa marque et de délivrer un message direct et percutant à nos fans et au-delà en utilisant la puissance de la NBA. »

Kia étend son empreinte au sein de la NBA. En effet, le constructeur sud-coréeen est déjà le partenaire automobile officiel de la NBA et sponsor principal du All Star Game.

Le fabricant américain de moteurs Cummins, accusé d'avoir installé des équipements pour tromper les contrôles d'émissions de gaz d'échappement de centaines de milliers de véhicules de la marque Ram (Stellantis), va payer 1,67 milliard de dollars pour éviter un procès, a annoncé le ministère de la Justice. Le ministère précise qu'un accord de principe a été trouvé avec l'entreprise d'un côté, et les autorités fédérales américaines et l'Etat de Californie de l'autre, pour éteindre des poursuites "pour violation de la loi sur la qualité de l'air", le Clean Air Act (CAA).
Cet accord doit encore être validé par un tribunal fédéral de la capitale Washington.
Selon le ministre de la Justice Merrick Garland, cité dans le communiqué, si l'accord franchit cette dernière étape, il s'agira de la plus importante sanction jamais imposée dans le cadre de la CAA, adoptée en 1963, et de la seconde plus importante pour une affaire liée à une pollution de l'environnement.   

La plus importante sanction a été appliquée au groupe pétrolier BP dans le cadre d'un accord prévoyant le versement de 20 milliards de dollars pour éviter un procès lié à la marée noire de Deepwater Horizon en 2010, considérée comme la plus grave de l'histoire.   

La loi CAA requiert que "les fabricants de véhicules et de moteurs s'assurent que leurs produits respectent les limites d'émissions" de gaz d'échappement, rappelle le ministère.
Mais Cummins est accusé d'avoir installé des "équipements" --pièces détachées ou logiciel-- permettant de déjouer les appareils de contrôle de ces émissions, "en les contournant, en les trompant ou en les rendant inopérants". Le ministère affirme que l'entreprise est soupçonnée d'avoir installé de tels équipements sur 630.000 moteurs de pickups Ram 2500 et Ram 3500 entre 2013 et 2019.
Elle est également accusée d'avoir installé un "engin de contrôle auxiliaire des émissions" sur 330.000 exemplaires de ces deux mêmes modèles entre 2019 et 2023.   

Sollicité par l'AFP, le groupe Stellantis - propriétaire de la marque Ram - a renvoyé vers Cummins pour toutes précisions concernant cette affaire, indiquant simplement que Cummins faisait toujours partie de ses fournisseurs. Dans un communiqué, le fabricant de moteurs a précisé avoir réalisé "un examen approfondi en interne et avoir travaillé en collaboration avec les régulateurs depuis plus de quatre ans".
"La société n'a constaté aucune preuve que quiconque a agi de mauvaise foi et ne reconnait pas de malversation", a-t-elle indiqué, précisant que le rappel des véhicules concernés avait débuté. Elle a déjà provisionné 59 millions de dollars pour en couvrir les coûts.

Elle va intégrer à ses comptes du quatrième trimestre 2023 une charge d'environ 2,04 milliards de dollars au titre de plusieurs affaires concernant au total environ un million de pick-up. Cummins, fondé à Columbus (Indiana) en 1919, compte quelque 73.600 employés. En 2022, il a réalisé un chiffre d'affaires de 28,1 milliards de dollars et un bénéfice net de 2,2 milliards.

Le palmarès réalisé par 60 Millions de consommateurs n’est pas beau à voir. En tête, Carrefour est le mauvais élève de l’année. Effectivement, l’enseigne de supermarchés aurait profité de l’inflation pour s’adonner à la “shrinkflation”. Au lieu d’augmenter le prix unitaire de certains légumes frais d’entrée de gamme, Carrefour en allège la quantité. De cette manière, l’enseigne peut se permettre d’afficher des prix inférieurs à 1 euro l’unité. Dans le sachet de trois habituel à 99 centimes, une salade sucrine disparaît. Le filet de 1,5 kg de pommes de terre tombe à 1 kg. Toujours pour le même prix… Des pratiques qui ont de quoi énerver les consommateurs. D’autant que Carrefour n’a pas hésité à s’indigner de la shrinkflation de certains de ses fournisseurs comme Lipon, Lay’s ou Findus. Mais Carrefour n’est pas la seule enseigne à avoir joué avec ses clients. Ikea est couronné du “Cactus du greenwashing” par 60 Millions de consommateurs. Si elle affirme que l’économie circulaire est “une solution d’avenir pour un monde plus durable”, la réalité de l’enseigne est légèrement différente. Les livreurs n’acceptent pas toujours de récupérer les meubles les plus encombrants, au grand dam des consommateurs. De son côté, le magazine reproche à Google de ne pas être assez regardant sur ses annonceurs, permettant à des escrocs d’acheter des mots-clés et de publier des publicités véreuses.

La surproduction de Shein est évidemment dénoncée. Alors que nous sommes tous encouragés à mieux consommer et à faire des efforts pour lutter contre le réchauffement climatique, la marque chinoise Shein produit en masse et contribue à la surconsommation de vêtements neufs... Peut-être le plus lamentable dans cette histoire !

Le bonus écologique pourrait en effet baisser de 1 000 euros pour les ménages «des déciles 6 à 10», les plus aisés, mais rester à 7 000 euros (5 000 euros et la majoration déjà en vigueur de 2 000 euros) pour la moitié aux revenus les plus modestes, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale, confirmant une information des Échos. Les plus modestes auront droit en outre en 2024 au leasing de voitures électriques «à 100 euros par mois» lancé la semaine dernière par Emmanuel Macron. La prime à la conversion sera maintenue en 2024. Alors heureux de sauver la planète en payant plus ?

Maisons du Monde Business a dévoilé son nouveau service de location de meubles et décorations pour permettre aux professionnels de renouveler régulièrement l’atmosphère et la décoration de leur business. Ceux-ci peuvent bénéficier de l’accompagnement premium des experts de l’enseigne, afin de les conseiller dans leurs demandes d’évolution de décoration d’intérieur entre les produits du catalogue Business, et ceux du catalogue grand public.

Ce service permet également de pouvoir étaler les dépenses avec une option d’achat, une option de paiement en plusieurs fois, ou à travers un renouvellement. Ce système contribue au cycle de seconde vie des produits et jouit d’une facilité de reprise. « La location permet de répondre à un nouvel usage plus responsable tout en limitant les coûts. Avec la location, nous enrichissons encore nos services à destination de nos clients professionnels », explique Constance Fouquet, directrice exécutive digital, IT & B2B chez Maisons du Monde.

L’équipe basée à Enstone et le groupe Renault communiquent la validation de l’opération annoncée en juin dernier. Elle consiste en la prise de participation de 24 % de son capital par un groupe d’investisseurs pour 200 millions d’euros, portant sa valorisation à environ 820 millions d’euros.  Cette valorisation doit permettre à alpine f1 basée à Enstone de “développer son image en Formule 1 à l’échelle mondiale et dans des domaines tels que les médias, le sponsoring, la billetterie, l'hospitalité, la gestion des droits commerciaux, les licences et le merchandising.”Est-ce vraiment les moyens financiers qui font gagner où le talent de toutes une équipe ? Réponse en 2024 ...

Easyjet Holidays, c'est nouveau et c'est malin de la part de la marque EASYJET. Le 13 décembre, la compagnie aérienne low cost a annoncé l’arrivée dans l’Hexagone de son service de voyage tout compris. A la clé, des packages avion + transfert + hôtel au départ de 16 aéroports français vers 3 000 hébergements, à partir de 399 euros les sept nuits.  Lancé en 2019 au Royaume-Uni mais stoppé par la pandémie, c’est en 2022 que le service est vraiment inauguré... Finalement le service devient plus concret désormais et il faut avouer qu'il s'agit d'un beau coup marketing.

La Fédération internationale de l’automobile a annoncé le nom des dix équipes engagées pour la prochaine saison de F1. Après le retrait d’Alfa Romeo, restait à savoir quel nom allait prendre l’écurie d’Hinwil, en Suisse. Cette dernière devient la Stake F1 Team Kick Sauber pour les deux prochaines saisons, en attendant l’arrivé d’Audi en 2026. S'agissant de ce nouveau nom, nous sommes assez supris qu'il ne soit pas plus court. L'aspect mémorable n'est pas présent ! Dommage, car on risque bien de dire tout simplement "Sauber". Le terme "Syake" va passer à la trappe.

Reste aussi à savoir dans quelles couleurs rouleront Valtteri Bottas et Zhou Guanyu, eux qui évoluaient dans des monoplaces bleus et jaunes. A ce jour, il n'y a pas de nouveau logotype concernant cette nouvelle marque de F1.

Enfin, petite évolution également pour AlphaTauri, qui passe de Scuderia AlphaTauri à Scuderia AlphaTauri RB, pour rappeler l’appartenance de la marque à Red Bull.

Le design de la boutique est brut et épuré, reprenant les codes du quiet luxury... Surprenant pour ce superbe flagship avenue des Champs-Élysées à Paris de la marque de luxe Saint Laurent. Eh bien non !

 De nombreux objets d’art remplissent l’espace, comme cette sculpture monumentale en néon signée Cerith Wyn Evans, qui accueille les visiteurs à l’entrée, mais aussi ce miroir circulaire géant qui habille la suite VIP.

La boutique qui s’étend sur quatre étages a été pensée pour marquer le visiteur, qu’il soit acheteur ou non, explique Francesca Bellettini, présidente et PDG de Saint Lauren : "nous souhaitons que chaque visiteur se sente à l'aise et vive une expérience exceptionnelle. Que vous parcouriez le magasin ou que vous optiez pour un shopping sur rendez-vous au dernier étage. Ce qui nous importe, c'est que l'expérience de chaque client soit unique et laisse une empreinte positive dans sa vie". Saint Laurent n’avait pas encore son nom sur cette artère symbolique. C’est désormais chose faite.

Neuf mois consécutifs que Leclerc creuse un écart historique avec la concurrence, avec une part de marché qui progresse de plus d’un point à chaque fois. Selon les derniers calculs de Kantar, l’enseigne tutoie en novembre le seuil symbolique de 25% des ventes de produits de grande consommation (PGC et frais LS). Cela calme la concurrence puisque sur 100 euros dépensés en novembre 2023 en grande distribution, près de 25 l'ont été chez E.Leclerc. Un niveau de domination jamais vu en France avec un dauphin Intermarché relégué 10 points derrière le leader en termes de parts de marché.
Si l'année n'est pas encore finie il n'y a pas de suspens sur le vainqueur de 2023 dans la distribution. En cette année de forte inflation, c'est E.Leclerc qui a raflé la mise en écrasant la concurrence en termes de parts de marché.

Selon les données compilées par Kantar et relayées par LSA, le poids de l'enseigne a atteint un nouveau record en novembre avec 24,4% de part de marché (+1,6 point). Si certains concurrents ne déméritent pas comme par exemple Intermarché (+0,5 point) et Système U (+0,3 point) qui eux aussi sont en progression, personne n'arrive à suivre le rythme effréné de l'enseigne née en Bretagne en matière de gain de clients.

L'écart entre l'enseigne leader et le deuxième frôle même les 10 points avec un E.Leclerc à 24,4% et un Intermarché à 14,5%, du jamais vu. Suivent Système U (10,8%), Carrefour Hyper (9,4% en recul de 0,2 point), Lidl (+8%, -0,3 point) et Carrefour Market (6,9%, -0,2 point).

Si on réunit la part de marché des différentes enseignes au sein des groupements, E.Leclerc culmine cette fois à 24,6% devant Carrefour (18,8%), Les Mousquetaires (16,4%) et Groupement U (11,7%). Autrement dit sur 100 euros dépensés en novembre dans le commerce alimentaire, près de 25 l'ont été chez E.Leclerc... C'est énorme !

Un niveau vertigineux et inédit en France qui se rapproche petit à petit des modèles anglo-saxons avec un acteur archi-dominateur. Au Royaume-Uni par exemple, Tesco pèse environ 28% de la distribution et aux Etats-Unis Walmart laisse des miettes à la concurrence du haut de ses 45% de parts de marché. Si le poids de E.Leclerc a tendance à croître depuis quelques années, la prime au leader a été flagrante en cette année de forte inflation. En un an, l'écart entre le numéro 1 et son dauphin Intermarché est passé de 7,2 points à près de 10 points.

Vivendi a annoncé ce mercredi étudier « un projet de scission de ses activités en plusieurs entités » cotées, structurées notamment autour de Canal+, Havas et d’une société d’investissement incluant sa participation majoritaire dans le groupe Lagardère. Canal+ et Havas seraient cotés en Bourse.

Une annonce surprise qui intervient moins d’un mois après la prise de contrôle définitive sur Lagardère. « Afin de libérer pleinement le potentiel de développement de l’ensemble de ses activités, le directoire de Vivendi a proposé au conseil de surveillance – ce que ce dernier a autorisé aujourd’hui – la possibilité d’étudier un projet de scission de la société en plusieurs entités, qui seraient chacune cotées en Bourse (…) », explique le groupe dans un communiqué, sans plus de détails sur le calendrier.

Fin novembre, la prise de contrôle de la maison Lagardère par la famille Bolloré a connu son dénouement, après plus de trois ans et demi de péripéties. Vivendi passe ainsi de 38.000 à environ 66.000 salariés.

En 2023, plus de 9 Français sur 10 ont été satisfaits de leurs achats en ligne, selon une étude conjointe Toluna Harris Interactive et la Fevad. 36 % d'entre eux sont même très satisfaits de leur expérience en ligne. Malgré une consommation plus sobre, la fréquence d'achat des Français reste stable. C'est une grosse surprise au moment où les consommateurs français sont de plus en plus exigeants et expriment régulièrement sur les réseaux des mécontentements.

Dans un contexte économique et écologique dégradé, les cyberacheteurs sont majoritairement à la recherche de promotions (78 %), et des prix moins élevés (72 %). Tout en maintenant leur fréquence d'achat, ils se tournent plutôt vers des enseignes à bas prix (58 %). De plus, les personnes de moins de 35 ans sont également attirées par les promotions et les petits prix, et montrent un intérêt pour le système de revente sur internet (57 %). 49 % des cyberacheteurs ont effectué au moins un achat au cours du dernier mois. En revanche, dans un contexte économique marqué par l'inflation et une baisse de consommation générale, quel que soit le canal, les achats se répartissent sur un nombre moins important de catégories de produits, en moyenne 4,3 catégories contre 4,4 en 2022.

En 2023, les sites de voyage et de tourisme ont rassemblé le plus grand nombre d'acheteurs en ligne (59 %) devant les sites de mode et d'habillement (54 %). Enfin, sur l'année 2023, les acheteurs en ligne de seconde main représentent 44,6 % des cyberacheteurs.