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D’ici la fin du mois d’avril 2024, tous les utilisateurs de Twitch pourront accéder au Discovery Feed sur leur application mobile. Selon Twitch, cette fonctionnalité vise à « aider les téléspectateurs à trouver du contenu et les streamers à être plus visibles par les téléspectateurs, même lorsqu’ils ne sont pas en direct ». Par son concept et son interface, le Discovery Feed semble fortement inspiré par TikTok, avec un système de vidéos à faire défiler verticalement. Le fil se divisera en deux sections :

Live : dans ce flux, les utilisateurs pourront accéder aux streams des créateurs qu’ils suivent, ainsi qu’à ceux recommandés par l’algorithme de Twitch.
Clips : ce fil permettra aux utilisateurs de découvrir de courts extraits diffusés par les streamers.
L’introduction du Discovery Feed constitue une aubaine pour les créateurs plus confidentiels. En effet, l’algorithme de Twitch est souvent critiqué pour favoriser les chaînes déjà établies, au détriment des nouveaux venus. À l’inverse, l’algorithme de TikTok est réputé pour sa capacité à permettre aux créateurs d’accroître rapidement leur audience.

 La start-up HysetCo lève 200 millions d'euros ! En effet, la firme française Hysetco, qui fut fondée en 2017 par des acteurs majeurs tels qu’Air Liquide, Toyota France, l’opérateur énergétique Idex, et la compagnie de taxis Hype (anciennement Step). Depuis sa création, cette dernière a évolué de manière considérable, alors qu’elle a notamment construit quatre stations de distribution d’hydrogène en Île-de-France, dont la plus imposante se trouve à la porte de Saint-Cloud. Cette dernière est d’ailleurs considérée comme la plus grande d’Europe. Ainsi, tous les mois, l’entreprise distribue 30 tonnes d’hydrogène sur le territoire français, contribuant ainsi à l’expansion de cette technologie verte. Et sa croissance n’est pas encore terminée, puisqu’elle vient en effet tout juste de lever pas moins de 200 millions d’euros. La firme profite en effet des investissements du fond Raise Impact ainsi que de Eiffel Investmvent Group, entre autres. Loïc Voisin, président d’Hysetco explique que « C’est une très bonne nouvelle, surtout pour poursuivre la croissance de nos activités et nous doter de ressources financières ».

Les ventes e-commerce en Europe ont progressé de 7% en valeur et de 13% en volume sur un an en mars 2024 selon le dernier rapport de Foxintelligence. Des taux de croissance légèrement inférieurs au mois précédent. Si les ventes e-commerce continuent de progresser, ce ne sont plus les mêmes catégories qui tirent les ventes. Pour la première fois depuis la création du baromètre eCommerce Pulse en septembre dernier, le high-tech n'est pas la première catégorie e-commerce en France.

Le déclin des ventes de produits tech en ligne n'est pas nouveau. Mais alors que la catégorie restait en top position en France avec 24% de part de marché en septembre 2023, elle a décliné chaque mois depuis (excepté en novembre, mois du Black Friday) pour finir par être est détrônée en mars 2024 où elle ne pèse plus que 18% des dépenses. L'alimentaire prend la première place du podium avec 20% !

Une grosse levée de fond en France cette semaine puisque la stat-up Greenly lève 50 millions d'euros ! Greenly lève 49 millions d’euros pour devenir la référence mondiale de la comptabilité carbone !

Deux ans après sa dernière levée de fonds, Greenly boucle un nouveau tour de table. La startup veut profiter de vents favorables, notamment au niveau réglementaire, pour amplifier sa dynamique de croissance. Lancée en 2019 par Alexis Normand et Matthieu Vegreville, des anciens de Withings, et Arnaud Delubac, ex-responsable de la communication digitale au cabinet du Premier ministre, la société s’est attelée au départ à proposer une application mobile aux particuliers pour leur permettre de calculer leur empreinte carbone à partir de leurs relevés bancaires, avant de s’ouvrir aux PME en 2021 avec une levée de fonds de 2,5 millions d’euros qui a permis de déployer une plateforme logicielle dédiée. Greenly a déjà séduit 2000 clients à travers le monde et réalise 10 millions d’euros de revenus annuels récurrents.

La Californie tente d’imposer des limites à l’intelligence artificielle (IA), inspirée par les avancées réglementaires européennes. Le Parlement européen a adopté, mi-mars, un texte encadrant les modèles d’IA, qui instaure des contraintes en matière de transparence, droits d’auteur ou de protection de la vie privée. « Nous essayons d’apprendre des Européens et de travailler avec eux pour comprendre comment mettre en place des règles pour l’IA », explique David Harris, conseiller à la California Initative for Technology and Democracy.

Cette organisation entend protéger les élections et le processus démocratique des dérives des technologies émergentes. Plus de 30 propositions de lois ont été introduites au Parlement de Californie, selon David Harris, qui dit avoir conseillé des responsables américains et européens sur le sujet. Les textes soumis au corps législatif californien abordent plusieurs aspects de l’IA. L’un propose d’obliger les sociétés technologiques à dévoiler quelles données ont été utilisées pour développer un modèle d’IA. Un autre inclut l’interdiction de publicités de campagne électorale utilisant, d’une façon ou d’une autre, l’IA générative, interface qui permet de créer du contenu (texte, image, son) sur simple demande en langage courant. Des élus veulent aussi faire en sorte que les réseaux sociaux signalent tout contenu, toute image, vidéo ou bande sonore créée grâce à l’IA générative. Un sondage réalisé en octobre par l’université de Berkeley auprès d’électeurs californiens a révélé que 73% d’entre eux étaient favorables à des lois contre la désinformation ou les fausses images (« deepfakes ») et limitant l’utilisation de l’IA lors de campagnes électorales. Il s’agit, en outre, de l’un des rares sujets qui fait consensus côté républicain comme démocrate. Pour David Harris, l’appréhension des « deepfakes » et des faux textes générés par l’IA est l’une des questions les plus importantes. Elue démocrate d’une circonscription qui comprend une partie de la Silicon Valley, Gail Pellerin soutient une proposition de loi qui interdirait les « deepfakes » politiques trompeurs durant les trois mois qui précèdent un scrutin. « Les acteurs mal intentionnés qui utilisent cette technologie essayent vraiment de susciter le chaos durant une élection », fait-elle valoir. L’association professionnelle NetChoice, qui représente les entreprises du numérique, met en garde contre la tentation d’importer les règles de l’UE en Californie. « Ils adoptent l’approche européenne vis-à-vis de l’intelligence artificielle, qui veut bannir cette technologie », clame Carl Szabo, responsable juridique de l’organisation, qui milite pour une régulation moins pénalisante. « Interdire l’IA n’arrêtera rien », assure le juriste. « C’est une mauvaise idée parce que, par définition, les mauvais acteurs ne respectent pas les lois. » Le responsable juridique de l’éditeur de logiciels Adobe, Dana Rao, est plus mesuré. Il salue la séparation qu’a opérée l’UE entre l’IA à l’impact limité, qui comprend « deepfakes » et faux textes, et celle à « haut risque », utilisée notamment dans les infrastructures critiques ou le maintien de l’ordre. « La version finale du texte nous convient », affirme Dana Rao. Adobe indique procéder d’ores et déjà à des études d’impact pour évaluer les risques liés à de nouveaux produits basés sur l’IA. « Il faut se préoccuper de sûreté nucléaire, de cyber-sécurité et de toutes les fois où l’IA prend des décisions importantes qui concernent les droits humains », décrit le juriste.

Starbucks se détourne des NFTs ? On pense le comprendre selon les informations ci-dessous
Souvent citée en exemple pour montrer le potentiel de la blockchain et des NFTs dans le cadre de programmes relationnels, la bêta de Starbucks Odyssey va se conclure fin mars. C'était l'une des plus importantes initiatives d'une enseigne dans le Web3, et Starbucks est jusqu'à présent très discrète sur ses résultats et sur les suites du programme. Lancée en septembre 2022, la bêta a rassemblé une communauté d'early adopters qui ne pourront plus échanger sur le canal Discord, déjà fermé la semaine dernière. Ils auront jusqu'à la fin du mois pour réclamer des NFTs sur la plateforme du projet, avant de pouvoir les échanger s'ils le souhaitent sur Nifty, un marché secondaire tiers.

VivaTech accélère l'innovation en mettant en relation des startups, des leaders de la technologie, des grandes entreprises et des investisseurs qui relèvent les plus grands défis de notre monde.  C'est là que les entreprises rencontrent l'innovation.
VivaTech organise chaque année le plus grand événement européen consacré à la technologie et aux startups, pendant quatre jours passionnants à Paris.  Nous réunissons les sujets les plus perturbateurs dans le domaine de la technologie, les entrepreneurs qui brisent les règles et les plus grandes percées technologiques du monde, créant ainsi un écosystème où les affaires se font.
VivaTech est une communauté mondiale comprenant des milliers de startups visionnaires, d'investisseurs, d'organisations, d'entreprises, de chercheurs, de médias et de talents.

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Un magasin, un café-restaurant ou une galerie d'art ? Les trois sont réunis au sein du concept 360° « LV The Place Bangkok », un nouveau concept lancé par Louis Vuitton en plein coeur de la capitale thaïlandaise. Dès l'entrée du magasin, les visiteurs peuvent découvrir une exposition immersive mise en place par le cabinet d'architectes OMA, à l'origine du design du magasin, avec entre autres un tunnel reproduisant l'intérieur des célèbres malles de la marque au monogramme. Sur deux étages, l'offre de restauration comprend sandwichs, pâtisseries et glaces au rez-de-chaussée, tandis qu'un restaurant gastronomique a été confié au chef indien Gaggan Anand à l'étage. Enfin, les visiteurs pourront bien sûr acheter les produits de la Maison, tout en bénéficiant d'un service de personnalisation ainsi que d'une offre exclusive, en l'occurrence l'Alma Nano Rainbow, le t-shirt Cruise 2024 pour femmes et la sneaker LV Trainer Upcycling pour hommes.

Description
En quête d'efficacité opérationnelle, de productivité et d'une prise de décision éclairée, les entreprises s'orientent vers l'adoption de solutions basées sur l'IA.

Ces solutions, dotées de capacités d'analyse et d'interprétation des données inégalées, agissent comme un catalyseur de la transformation digitale au sein de l'écosystème IT.

Lors de cette conférence, nous examinerons les défis récurrents rencontrés par les organisation. Cette session d’échanges exposera une vision approfondie, dévoilant comment l'IA générative redéfinit la gestion des données et transforme en profondeur la structure organisationnelle.  

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1. Les défis communs en matière de données :

Retard dans les projets informatiques en raison de l'augmentation des demandes d'intégration.
Le Citizen development / le shadow IT et les applications SaaS pèsent sur les ressources informatiques.
Les systèmes obsolètes entravent l'innovation et frustrent les utilisateurs.
Les données fragmentées entravent la productivité et la prise de décision.
Difficulté pour récupérer de la donnée, notamment lorsque celle-ci n'est pas structurée
2. La place de l'intégration générative comme réponse aux défis data contemporains :

Rapidité :

• Créez des pipelines de données et activez des workflows en quelques minutes.
• Utilisez des prompts en langage naturel pour une mise en œuvre rapide.
• Accélérez votre business et l'agilité globale de votre organisation.

Innovation :

• Établissez une source de vérité fiable et accessible.
• Connectez les données à travers les applications et le stockage de l'entreprise.
• Favorisez la synchronisation en interne et avec vos clients.

Efficacité :

• Réduisez les coûts et la complexité.
• Capitalisez sur l'automatisation en libre-service pour réduire les coûts d'exploitation.
• Bénéficiez d'une seule plateforme pour l'intégration, l'automatisation et la gestion des API.
• En complément, quelques annonceurs partageront leurs retours d'expérience.

Au terme d’une décennie de spéculation et d’efforts, Apple aurait décidé de clore les chapitres mystérieux de son Projet Titan, laissant derrière lui l’ambition de créer sa propre flotte de voitures électriques. Le chiffre de la semaine est donc "1", mais il est de taille !

Bien que la firme de Cupertino n’ait jamais officiellement confirmé l’existence de ce projet, les murmures dans les coulisses suggèrent qu’il a mobilisé près de 2000 employés. Axé sur la conception d’un véhicule entièrement autonome, dépourvu de volant et de pédales, l’équipe du Projet Titan aurait été confrontée à des défis insurmontables, conduisant in fine à cette décision abrupte. Cette annonce survient dans un contexte de volatilité accrue sur le marché des véhicules électriques, où des acteurs majeurs tels que Ford ont récemment gelé des projets d’expansion de la production, face à une demande en berne et une concurrence exacerbée. Apple semble résolument tourner son regard vers l’avenir en mettant l’accent sur l’intelligence artificielle générative, orchestrant ainsi une redistribution des compétences du Projet Titan au sein de sa division IA.

Nombre de smartphones vendus aux utilisateurs finaux dans le monde entre 2007 et 2023 (en milliards d’unités) - Source Statista

La maison de couture italienne s’implante dans le monde virtuel de Roblox : elle vient de lancer "Max Mara Coats Adventure", une expérience ludo-éducative immersive.

La marque italienne de prêt-à-porter vient d’annoncer le lancement de son univers sur la plateforme immersive Roblox. Max Mara Coats Adventure propose aux utilisateurs de découvrir trois mondes récréatifs autour de la marque. Pattern Lab d’abord, est un atelier de couture virtuel où les joueurs peuvent fabriquer des vêtements à condition de résoudre des énigmes. Le Color Parkour plonge l’utilisateur dans une série d’épreuves dont le but est de collecter toutes les sphères de couleur qui composent les palettes de la marque. Enfin, le WunderKammer est un "labyrinthe de merveilles" créé en collaboration avec l'Atelier dell'Errore - un collectif artistique hébergé par la Collezione Maramotti à Reggio Emilia.

Réalisé avec le studio de conception de jeux We Are Muesli, basé à Milan, et la société anglo-américaine Poptropica LTD, spécialisée dans le développement d'expériences Roblox, le jeu Max Mara Coats Adventure met particulièrement l’accent sur l’aspect éducatif. Les utilisateurs peuvent en effet découvrir des anecdotes historiques et culturelles sur l’industrie du textile, à travers des dialogues avec des Teddy Bears - petits personnages duveteux qui font référence au célèbre manteau éponyme de la marque.