ia

Selon l’analyse de l’agence Influence Metrics, 61% des publications des utilisateurs Français de LinkedIn présentent des signes d’utilisation d’outils d’Intelligence Artificielle dans leur rédaction. Pas de quoi en être fier ! On se demande bien pourquoi d'ailleurs car l'IA n'apporte pas grand chose à aprt trouver des contenus "faciles" et se faire mousser auprès de sa communauté !

L’intelligence artificielle s’impose de plus en plus comme un levier dans la création de contenu professionnel. Les outils basés sur l’IA permettent d’accélérer la production, d’uniformiser les processus et de répondre à une demande croissante de contenus en ligne. Cependant, cette tendance soulève des préoccupations majeures, tant sur la qualité des contenus que sur leur impact à long terme.

Pour encourager ses fans à soutenir ses joueurs malgré le contexte difficile (l'équipe a remporté une seule rencontre lors de ses 9 derniers matchs), le club Manchester City a décidé de leur offrir la possibilité de participer à la création de son prochain maillot Third. Pour cela, le club a lancé un concours - conçu avec Puma et les spécialistes de l'IA DeepObjects - invitant les supporters mancuniens à designer la future tenue à l'aide de... l'intelligence artificielle ! Le design gagnant sera porté par les joueurs lors de la saison 2026-2027 en tant que troisième maillot officiel. Le concours était ouvert jusqu'au 20 décembre 2024.

La startup italienne iGenius et Nvidia ont annoncé qu'ils prévoyaient de mettre en ligne l'un des plus grands déploiements au monde de serveurs Nvidia les plus récents d'ici le milieu de l'année prochaine dans un centre de données situé dans le sud de l'Italie.
iGenius construit un centre de données qui abritera environ 80 des serveurs les plus puissants de Nvidia, appelés GB200 NVL72, chacun équipé de 72 puces "Blackwell" de l'entreprise technologique.

La startup n'a pas donné de prix pour ce projet. Mais le directeur général Uljan Sharka a déclaré à Reuters qu'iGenius, l'une des rares entreprises d'IA en Europe évaluées à plus d'un milliard de dollars, avait levé 650 millions d'euros depuis le début de l'année et qu'elle prenait des capitaux supplémentaires pour le système informatique d'IA, qui s'appellera "Colosseum".

iGenius se distingue de ses rivaux tels qu'OpenAI en ce sens qu'elle développe des modèles de logiciels d'IA open source pour les chatbots qu'elle vend aux banques, aux entreprises de soins de santé et à d'autres secteurs soumis à des règles strictes en matière de sécurité des données, qui exécutent les modèles sur leur propre infrastructure.

Pour Colosseum, iGenius a également fait appel à la gamme complète d'outils logiciels de Nvidia, y compris un outil lancé cette année appelé Nvidia NIMS qui fonctionne presque comme un magasin d'applications pour les modèles d'IA. Cela signifie que les modèles d'IA qu'iGenius espère développer avec Colosseum - dont certains pourraient atteindre 1 000 milliards de paramètres selon une mesure de la sophistication de l'IA - peuvent facilement être distribués à toute entreprise utilisant des puces Nvidia.

"D'un simple clic, elles peuvent maintenant les extraire du catalogue Nvidia et les intégrer dans leur application", a déclaré M. Sharka.

Colosseum sera l'un des plus grands déploiements de serveurs phares de Nvidia dans le monde, a déclaré à Reuters Charlie Boyle, vice-président et directeur général des systèmes DGX chez Nvidia.

Plusieurs équipes de Nvidia spécialisées dans les logiciels et le matériel travaillent directement avec iGenius pour mettre le système en ligne, a-t-il ajouté.

"Ils sont en train de construire quelque chose d'unique.

Cette fin d'année est propice aux nouvelles "pires publicités"... La preuve avec ce spot pour promouvoir l'intelligence artificielle... Sauf que le spot publicitaire ZEVIA est terriblement mal réalisé et cette intelligence n'apporte pas grand chose de nouveau mis à part quelques effets digne d'un morphing qui date de 30 ans en arrière. Si la volonté reste de démontrer la puissance de l'intelligence artificielle avec une réalisation en seulement 3 jours, nous sommes loin du compte ! On pourrait même dire que nous sommes face à une grosse nullité !

.... Bref, à oublier au plus vite !

Alors que la monétisation via la publicité devient un enjeu majeur pour les plateformes de SVOD, Warner Bros. Discovery (WBD) innove en lançant deux nouveaux formats publicitaires sur Max !

Ces solutions, baptisées "Shop with Max" et "Moments", ont été développées en partenariat avec l'adtech américaine KERV.ai. Elles visent à transformer l'expérience publicitaire sur la plateforme de streaming, en permettant aux téléspectateurs de Max d'acheter des produits directement inspirés par les contenus qu'ils regardent.

"Shop with Max" se présente comme un ensemble de formats publicitaires utilisant l'intelligence artificielle pour identifier des objets apparaissant dans les séries et films. Le système fonctionne via un code QR qui permet aux téléspectateurs d'accéder à une sélection de 12 à 20 produits similaires sur leur smartphone, sans interrompre leur visionnage. Cette technologie couvre déjà 90% du catalogue de Max, aussi bien dans les séries que dans les films.

Les marques qui utilisent des publicités "shoppables" voient leur notoriété multipliée par quatre et leurs achats augmenter de 70 %. Ces publicités in-app permettent aux utilisateurs d'acheter des produits sans quitter la plateforme qu'ils sont en train d'utiliser. Cet aspect est de plus en plus important dans un paysage numérique où les utilisateurs préfèrent prendre des décisions d'achat rapides. Wayfair, un géant américain du commerce en ligne, est le premier annonceur à utiliser ces nouveaux formats publicitaires. "Ces nouvelles solutions sur Max permettront aux téléspectateurs de découvrir et d'acheter facilement des articles pour leur maison, inspirés par le contenu qu'ils regardent", souligne ainsi Kara O'Brien, responsable du marketing de la marque chez Wayfair.

Traditionnellement, le montage vidéo est perçu comme un domaine réservé aux experts, nécessitant des compétences techniques avancées et de longues heures de travail. Google Vids, grâce à son IA baptisée Gemini, vise à rendre cette activité accessible en permettant de transformer des idées simples en vidéos dynamiques en quelques minutes. L’application inclut une fonctionnalité nommée « Help me Create » (Aidez-moi à créer), qui permet de générer un premier brouillon vidéo en dictant simplement un prompt. Ainsi, que vous soyez un créateur novice ou un professionnel pressé, Google Vids offre un outil adapté à chaque niveau de compétence. Pour simplifier encore davantage le processus, Google Vids propose une large sélection de modèles de vidéos via la section Templates. Les utilisateurs peuvent personnaliser leurs créations en ajoutant des GIFs, des stickers et des effets sonores, permettant à chacun de créer un contenu unique et engageant. L’application permet également d’enregistrer directement du contenu, d’éditer les transitions, d’ajouter du texte et d’incorporer des éléments interactifs pour donner de la fluidité et du dynamisme à la vidéo finale. Et ça c'est vraiment cool !

Regarder la démonstration ci-dessous :

La marque de sportswear allemande Puma exploite l'IA générative de Google cloud pour personnaliser son branding. L'idée est de créer des images personnalisées sur son site web en fonction des localisations des acheteurs en ligne. Par exemple, les clients au Japon pourraient voir une image de chaussures de trail au pied du mont Fuji, a indiqué la société.

Depuis le déploiement de l’outil, Puma a constaté une amélioration de 10 % des taux de clics en Inde, mais a refusé de partager les résultats d’autres marchés.

« Nous devons être plus clairement ancrés dans l’état d’esprit du consommateur en tant que véritable marque de sport innovante et performante », a déclaré Freundt.

C'ets du lourd en matière d'investissment dans le monde de la tech :

Physical Intelligence, une startup basée à San Francisco, spécialisée dans l’intelligence artificielle appliquée à la robotique, a récemment réussi à lever 400 millions de dollars. Cela porte sa valorisation post-money à 2,4 milliards de dollars, selon les informations confirmées lundi par CNBC. Selon Reuters, ce financement inclut des investissements de personnalités et d’organisations influentes telles que Jeff Bezos d’Amazon et OpenAI. Les sociétés de capital-risque Thrive Capital et Lux Capital font également partie des contributeurs majeurs. Cette opération représente environ six fois la valorisation de l’entreprise lors de son tour de table initial en mars dernier, qui s’élevait alors à 70 millions de dollars pour une valorisation à 400 millions de dollars.La mission principale de Physical Intelligence consiste à développer des modèles et algorithmes d’intelligence artificielle destinés à alimenter divers types de robots. Comme mentionné sur leur site internet, ils visent à créer un logiciel universel capable de fonctionner sur n’importe quel robot, évitant ainsi la nécessité de concevoir des programmes spécifiques pour chaque tâche. Cette levée de fonds de 400 millions de dollars est plus qu’un simple indicateur de confiance des investisseurs ; elle symbolise aussi un engagement sérieux envers l’avenir de l’automatisation et de la robotique. Pour l’économie globale, cela signale une transition potentiellement massive vers des solutions basées sur l’IA et la robotique pour diverses industries allant de la logistique et de la production manufacturière à des services plus spécifiques comme la santé.

Les perspectives économiques liées au développement de ces technologies sont vastes. En capitalisant sur des financements solidifiés et une innovation continue, Physical Intelligence se positionne idéalement pour devenir un acteur clé dans la transition vers des systèmes automatisés sophistiqués, intégrant harmonieusement l’IA dans les processus physiques quotidiens.

Le chiffre de la semaine concerne ...Le groupe Alphabet ! "une" nouvelle pas franchement rassurante !

GOOGL.O Google développe une technologie d'intelligence artificielle qui prend en charge un navigateur web pour effectuer des tâches telles que la recherche et le shopping, a rapporté The Information samedi.

Google s'apprête à faire la démonstration de ce produit, connu sous le nom de code "Project Jarvis", dès le mois de décembre, à l'occasion de la sortie de son prochain modèle de langage large Gemini, a ajouté le rapport, citant des personnes ayant une connaissance directe du produit. OpenAI, soutenu par Microsoft MSFT.O , souhaite également que ses modèles mènent des recherches en naviguant sur le web de manière autonome avec l'aide d'un "CUA", ou agent utilisant l'ordinateur, qui peut prendre des mesures en fonction de ses résultats, a rapporté Reuters en juillet.

Anthropic et Google tentent de pousser le concept d'agent un peu plus loin avec un logiciel qui interagit directement avec l'ordinateur ou le navigateur d'une personne, selon le rapport.

Google n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire de Reuters.

Nouvelle innovation dans le domaine de la musique avec celui qui fait beaucoup arler de lui durant les Jeux Olympiques de Paris 2024. Le rappeur US Snoop Dogg dévoile son dernier clip est intégralement réalisé avec l'IA. L’artiste, qui a récemment dévoilé le clip de son nouveau morceau intitulé “Love You More” (en featuring avec Dave East et WHOISTEVENYOUNG) a la particularité d’avoir été exclusivement réalisé à l’aide de l’intelligence artificielle : un clip surréaliste révèle des images impressionnantes et relativement réalistes où l’on observe notamment Snoop Dogg porter la flamme olympique dans les rues de Paris, conduire un bolide décapotable à Miami ou encore être à bord d’un carrosse volant dans le ciel.

... Listen !

La start-up Qantev lève 30 Millions d'euros ! Qantev, une solution d’aide à la décision dédiée aux assureurs, lève 30 millions d’euros en série B. Ce tour de table a été mené par Blossom capital  avec la participation renouvelée d’Elaia, Omnes et RAISE Ventures.  L’entreprise avait déjà levé 11,5 million d’euros  en 2022 et 2020.

Meta dévoile Llama 3.2, capable de gérer des contenus visuels et textuels.

Quelques mois seulement après le lancement de Llama 3, le géant américain a annoncé lors de son événement Meta Connect, le 25 septembre dernier, la nouvelle version de sa famille, Llama 3.2. Cette dernière version comprend deux grandes catégories de modèles : 11B et 90B, capables de traiter des images, ainsi que 1B et 3B, uniquement textuels.

Avec 11 et 90 milliards de paramètres, ces deux modèles sont capables de traiter à la fois du texte et des images, grâce à une nouvelle structure disposant d’un encodeur d’image, en plus du modèle de langage. Ces fonctionnalités permettent notamment d’analyser une image contenant des graphiques et d’en extraire les chiffres clés, ainsi que de générer des légendes sous des images sélectionnées.

Les modèles 1B et 3B
Plus compacts, ces deux modèles sont conçus pour les smartphones et outils périphériques et sont en somme des outils de traitement de texte, destinés à générer des résumés ou à réécrire des contenus. Bien que leurs usages soient disponibles sur smartphones et tablettes, ils n’en perdent pas moins leurs performances élevées.

Llama 3.2 est aussi ouvert à la discussion puisqu’il est désormais possible de converser naturellement avec son IA. Tout comme Gemini de Google, Llama peut adopter différents tons de voix et s’adapter à son interlocuteur. Meta propose également de traduire directement les voix des créateurs de contenu pour faciliter leur compréhension sur les réseaux sociaux.