startup

Publié le 24 Janvier 2020

Buzz : La marque de vêtements Asphalte propose des fringues qui durent

La marque Asphalte fait le buzz avec son spot publicitaire éco-responsable et on adore le ton et le sens ! Ca vaut le détour de jeter un oeil à cette excellente publicité qui a son petit "effet" sur les conscience ! proposer des fringues qui durent, c'est une belle promesse, non ?

 

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #Buzz, #startup, #Web

Repost0

Publié le 22 Janvier 2020

 
Les Alchimistes annonce une levée de fonds de 2,4 millions d’euros, réalisée auprès d’Investir &+, Phitrust, France Active Investissement et plusieurs business angels afin de rendre compostables, à terme, 10% des déchets alimentaires français. Un beau projet pour cette start-up française qui se trouve être une "greentech" !

Après une phase de test à Paris, la startup a déployé sa solution dans cinq autres villes (Toulouse, Lyon, Toulon, Marseille et Lille) mais aussi à la Réunion. Un développement qui a déjà exigé la création de pas moins d’une centaine de points de collecte afin de respecter d’une part les exigences des clients, d’autre part la promesse d’une revalorisation en circuit court, synonyme d’impact minimal sur l’environnement. On adore le concept.

>> En savoir plus sur http://alchimistes.co/

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #Web

Repost0

Publié le 18 Janvier 2020

L’application LYDIA qui permet à chacun de s’échanger facilement de l’argent a conquis 3 millions d’utilisateurs en France et veut s’étendre en Europe. Pour cela, elle vient de lever 40 millions d’euros et le soutien du géant chinois Tencent, créateur de WeChat. L'écosystème de la Fintech tricolore commence l'année 2020 sur les chapeaux de roue. Lydia, fait fort même si le montant reste inférieur à certaines opérations majeures comme les levées de fonds de Wynd (72 millions d'euros), Payfit (70 millions), Younited Credit, (65 millions) ou encore Shift Technology (60 millions).

Cette opération se distingue par l'identité de son investisseur principal : le géant chinois Tencent, derrière l'application de paiement Wechat Pay, utilisée par plus d'un milliard de personnes dans le monde.
"C'est la première fois que Tencent investit dans une Fintech française", souligne Mikaël Ptachek, président de l'Observatoire de la Fintech. Très peu présent au capital des startups européennes de la finance, le mastodonte chinois a néanmoins déjà parié sur une autre pépite du secteur : la néobanque allemande N26, qui compte 3,5 millions d'utilisateurs sur le Vieux Continent et dont la valorisation atteint 3,5 milliards de dollars. De quoi alimenter les aspirations de Lydia, qui entend passer la barre des 10 millions d'utilisateurs en France d'ici la fin 2021, contre un peu plus de 3 millions aujourd'hui.

Pourquoi Tencent s'est donc intéressé à Lydia ? La pépite française présente plusieurs atouts. D'abord, elle a su imposer de nouveaux usages. Aujourd'hui, "25% des Français âgés de 18 à 30 ans ont un compte Lydia", fait valoir la Fintech. Encore plus révélateur, la phrase "Je te fais un Lydia" a fait son entrée dans les échanges du quotidien.

L'arrivée d'un investisseur chinois peut soulever quelques craintes. D'abord chez les utilisateurs. Certains s'inquiétant de la protection de leurs données personnelles mais le risque de voir une pépite tricolore passer, à terme, sous pavillon étranger est bien là ! Et ça c'est le plus gros problème de demain !!!

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #fintech

Repost0

Publié le 14 Janvier 2020

NoMadPlay lève 4, 2 millions d'euros auprès du Crédit Mutuel Innovation, Banque des territoires, et de business angels ! Il s'agit d'une application, développée par la start-up Digital Music Solutions (Clothilde Chalot et Hannelore Guittet, du label NomadMusic).

Notons que la start-up vient de trouver un soutien de premier plan avec le violoniste Renaud Capuçon. Ce dernier vient en effet de décider d’investir dans cette plateforme musicale reposant sur un algorithme de séparation de sources sonores qui permet donc d’isoler n’importe quel instrument d’une partition et de jouer à sa place, sur smartphone ou tablette. L’application NomadPlay, qui compte déjà 5 000 abonnés, a été lancée au printemps 2019

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #Web

Repost0

Publié le 10 Janvier 2020

EcoVadis, qui développe depuis 2007 la première plateforme collaborative de notation de la responsabilité sociétale (RSE) des entreprises, a annoncé avoir levé 200 millions de dollars. L'entreprise française souhaite accélérer son internationalisation, notamment aux États-Unis et en Asie, en recrutant 200 employés au cours de l'année.

Méga-levée de fonds pour EcoVadis ! Le tour de table a été mené par CVC Growth Partners, la branche growth Equity de CVC Capital Partners. Signée début janvier, la transaction devrait être conclue au premier trimestre 2020. Pour sa première levée de fonds en 2016, EcoVadis avait déjà frappé fort avec 30 millions d'euros obtenus auprès du fonds Partech Ventures - quand d'ordinaire, les séries A en France se situent entre 1,5 et 3 millions d'euros.
La start-up a pour objectif de réduire les risques en matière de RSE et encourager une démarche responsable pour l'intégralité de leur chaîne d'approvisionnement.
La plateforme de notation, délivrée en SaaS (logiciel en tant que service, reposant sur une logique d'abonnement et non de licence), est aujourd'hui utilisée par "plus de 60.000 entreprises dans 155 pays et connait une croissance annuelle de 40% par an sur les cinq dernières années", selon le communiqué de presse. Parmi les clients, figurent L'Oréal, Axa, Alstom, Nestlé et Heineken ou encore LVMH.
Avec cette levée de fonds, EcoVadis souhaite recruter 200 personnes au cours de l'année. L'objectif : accélérer son internationalisation, notamment aux États-Unis - où elle est déjà implantée à New York et à San Francisco - et en Asie. L'entreprise dispose déjà de bureaux en France, au Japon, en Allemagne, au Canada, au Royaume-Uni, en Chine, en Australie, en Tunisie ou encore en Pologne.

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #Web

Repost0

Publié le 29 Décembre 2019

Atmosic, Créée en 2016 et dirigée par d’anciens ingénieurs d’Atheros, un spécialiste des circuits Wi-Fi acquis par Qualcomm en 2011, la jeune société californienne Atmosic Technologies, qui affirme avoir développé les puces-systèmes Bluetooth 5, vient de boucler un tour de table de 28,5 millions de dollars.
Cet investissement, dirigé par Sutter Hill Ventures avec le concours de Clear Ventures, Walden International, Dolby Family Ventures et Arden Road Investments, porte le montant total des sommes levées par la start-up à 49,5 millions de dollars depuis sa création. Cette manne financière sera mise à profit pour amener début 2020 ses familles M2 et M3 de SoC Bluetooth 5 au stade commercial. La levée de fonds doit aussi soutenir les efforts de R&D de la société pour développer sa prochaine génération de puces.


Les puces-systèmes d’Atmosic sont censées ouvrir la voie à des objets connectés sans piles et sans batteries, alimentés via des techniques de récupération d’énergie ambiante (energy harvesting). La start-up affirme avoir suivi une approche agnostique pour établir les fondations les plus éco-efficaces au cœur de ses premières solutions de connectivité IoT. Elle a en pratique développé trois technologies innovantes baptisées Lowest Power Radio, On-demand Wake-up et  et les a appliquées à une plate-forme Bluetooth 5 pour relever les défis associés à l’installation et à la maintenance de milliards de produits IoT tels que balises, contrôleurs, télécommandes, souris, claviers, dispositifs de suivi d’actifs et traceurs d’activité physique et sportive. La famille M2 implémente les deux premières technologies, la famille M3 y intègre en sus les mécanismes Controlled Energy Harvesting.

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #Innovation high Tech

Repost0

Publié le 27 Décembre 2019

Start-up / IoT : HaptX lève 12 millions de dollars

HaptX lève 12 millions de dollars pour développer la prochaine génération de ses gants haptiques
La start-up HaptX va mettre au point la prochaine génération de ses gants haptiques pour la réalité virtuelle et la télérobotique. Ce nouveau modèle sera conçu avec l'aide d'Advanced Input Systems, un intégrateur spécialisé, et aura vocation à être commercialisé à grande échelle !

Cette levée de "série A" porte le total des fonds levés par la jeune pousse à 19 millions de dollars depuis sa création en 2012. Le précédent tour de table avait eu lieu en 2016 et lui avait rapporté 5,8 millions de dollars. HaptX compte parmi ses clients le constructeur automobile Nissan, qui l'a testé pour valider des designs de cockpits automobiles en réalité virtuelle, ainsi que la start-up FundamentalVR, qui s'en sert pour la formation des chirurgiens. Pour le coup buzz, notons que Jeff Bezos, le fondateur d'Amazon, en a fait l'essai en juin 2019 lors de la conférence Amazon re:MARS.

 

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #iot, #startup

Repost0

Publié le 24 Décembre 2019

La start-up Kipli, spécialiste du matelas en latex vendus en ligne a levé 2 millions d'euros auprès du fonds d'investissements durables Alter Equity. On la trouve géniale cette start-up ! Pas mal de valeurs et des bonnes idées. Fiates un tour sur le site officiel.

>> En savoir plus sur https://kipli.com/fr/

 

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #Web

Repost0

Publié le 16 Décembre 2019

Start-up : JOW lève 7 millions de dollars

La start-up française vient d'effectuer un second tour de table depuis sa création en 2018. Elle développe une solution innovante combinant recommandations et commandes d'épicerie en ligne via le click-and-collect. Elle collabore avec Monoprix, Carrefour, Auchan, Chronodrive et E.Leclerc.   
L'application d'e-épicerie française annonce avoir réalisé une levée de fonds de 7 millions de dollars (6,3 millions d'euros) pour développer sa solution de commerce alimentaire en ligne.

La startup basée à Paris et à New York génère des revenus d'affiliation auprès des supermarchés qui souhaitent utiliser le service pour acquérir des clients plus jeunes et plus mobiles. L'application se synchronise avec le service de livraison ou de ramassage de l'enseigne choisie. Le modèle commercial est construit sur l'infrastructure et les capacités existantes des grands supermarchés. De plus, Jow propose une liste personnalisée des achats récurrents du consommateur. De même, son moteur de recommandation prétend aider à choisir les quantités exactes nécessaires de manière à éviter le gaspillage alimentaire.

 

L’application de Jow propose au consommateur des repas adaptés à ses préférences alimentaires et remplit automatiquement son caddie en ligne avec les ingrédients correspondants pour lui faire gagner du temps. Elle travaille désormais avec cinq des plus grands distributeurs alimentaire français (Monoprix, Carrefour, Auchan, Chronodrive et E.Leclerc).  L'application développée par l'entreprise combine recettes, recommandations et commandes d'épicerie en ligne via le click-and-collect.
Concrètement, l'App propose des menus personnalisés, adaptés à chaque utilisateur. Elle remplit automatiquement le panier d'achat en ligne avec les ingrédients requis, et effectue le lien avec les distributeurs au moyen de l'intelligence artificielle. L'ambition nourrie par l'entreprise est d'offrir une alternative plus rentable aux kits de recettes comme HelloFresh, et moins de recours aux plats à emporter tels que Deliveroo ou Uber Eats.

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #Web, #Mobile

Repost0

Publié le 14 Décembre 2019

La fintech Qwil lève 24,4 millions de dollars pour accorder des prêts aux freelances et aux petites entreprises. En effet, face au nombre croissant de freelances et de start-up, Qwil veut passer à la vitesse supérieure. Nécessitant beaucoup de capitaux pour se développer, dans la mesure où elle doit pouvoir continuer des prêts à ses clients, la FinTech américaine vient de boucler un tour de table de 24,4 millions de dollars mené par PeakSpan. Mosaik Partners, Reciprocal Ventures, Silicon Valley Bank, Cantos, Sam Hodges et Ron Suber ont également participé à l’opération. Dans le même temps, la société a également reçu 200 millions de dollars en dette, notamment auprès de la banque d’investissement américaine Jefferies.
Avec ces fonds supplémentaires, Qwil prévoit d’accélérer son développement en renforçant ses effectifs. Le financement doit en effet permettre à la FinTech californienne d’élargir son champ d’action pour fournir des prêts à davantage d’indépendants et de petites entreprises.

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #fintech, #Web

Repost0

Publié le 10 Décembre 2019

Start-up : Opuscope lève 3 millions d’euros pour accélérer le développement de Minsar

Encore une très belle levée de fonds pour une start-up française très prometteuse !

Opuscope, start-up française fondée en 2016 annonce une levée de fonds de 3 millions d’euros auprès de Bièvre Epargne. Elle va lui permettre de lancer la commercialisation de son application Minsar, lancée en bêta il y a un an. Son objectif est de simplifier la création et l’hébergement d’expérience 3D. "Nous nous positionnons comme le Wordpress de la 3D", explique Soraya Jaber, fondatrice et CEO d’Opuscope. Et cela passe foncièrement par les casques de réalité virtuelle et augmentée.

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #Web

Repost0

Publié le 26 Novembre 2019

Créée en 2018, la start-up assurtech Luko assure déjà 20 000 particuliers en France en leur proposant des technologies de prévention des sinistres. Elle vient de lever 20 Millions d'euros auprès d'Accel, avec Founders Fund et Speedinvest.

Les capitaux levés permettront à Luko d’accélérer sa R&D sur ses technologies de prévention brevetées pour empêcher les dégâts des eaux, les incendies et les cambriolages et de poursuivre l’automatisation de la gestion des sinistres qui lui permet de rembourser plus vite. A travers l’application de paiement instantané Lydia, l’assurtech propose même de rembourser en 2 heures. Les fonds lui serviront aussi à s’installer l’an prochain dans deux autres pays européens.

Voir les commentaires

Rédigé par new pub marketing

Publié dans #startup, #fintech, #Web

Repost0