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Depuis plus de deux ans, le dossier des droits voisins empoisonne les relations entre la presse française et le géant américain, condamné récemment à 500 millions d’euros d’amende
Google a signé un accord avec la presse quotidienne française pour rémunérer celle-ci au titre des « droits voisins », une avancée majeure dans un dossier qui empoisonne depuis plus de deux ans les relations entre la presse française et le géant américain. Les « droits voisins du droit d’auteur », institués en 2019 par une directive européenne, permettent aux journaux, magazines ou agences de presse de se faire rémunérer lorsque leurs contenus sont réutilisés sur internet par les grandes plateformes. S’agissant de Google, les droits voisins doivent rémunérer les extraits de presse qui apparaissent dans les pages de résultats du moteur de recherche.
Le nouvel accord annoncé jeudi est en tout cas « une étape historique dans la mise en œuvre » des droits voisins, ont souligné Google et l’Apig dans un communiqué commun. Il « fixe les principes » pour une rémunération de la presse « sur la base de critères transparents et non discriminatoires », ont-ils expliqué.Ni Google, ni l’Apig n’ont souhaité donner d’indication sur le montant estimé des droits à répartir. Mais certains quotidiens, qui ont déjà signé des accords individuels avec Google, ont toutefois donné des indications sur les montants qu’ils avaient réussi à négocier.Le Monde, par exemple, a trouvé un accord qui représente environ 1 million d’euros par an, avait déclaré le 1er février son patron, Louis Dreyfus, sur BFM Business.

La plateforme e-commerce Rakuten France et Cdiscount, à travers sa filiale de solutions marketplace Octopia, ont conclu le 22 février 2022 un accord stratégique. Ce dernier marque la naissance de C-Store sur Rakuten France, un espace dédié à une sélection de produits issus de l'assortiment de Cdiscount. Grâce à cette collaboration, Rakuten va connecter sa plateforme au catalogue de 14 000 vendeurs d'Octopia, leur permettant ainsi de bénéficier de l'audience des 11 millions de membres du Club R. Octopia va de son côté proposer à ses 14 000 vendeurs français et internationaux de créer simplement leur boutique sur Rakuten et récompenser les achats des membres en points réutilisables sur la plateforme. Ils pourront également bénéficier de l'accompagnement et des services digitaux proposés par Rakuten pour développer leur activité en ligne comme en magasins, via le click & collect notamment, tout en bénéficiant du modèle unique d'une plateforme inclusive non concurrentielle.

Les chaînes YouTube des médias russes RT et Sputnik ont été bloquées dans toute l'Europe par la plateforme de vidéos «compte tenu de la guerre en cours en Ukraine», a annoncé YouTube. «Nous bloquons les chaînes YouTube de RT et Sputnik dans toute l'Europe, avec effet immédiat. Nos systèmes nécessitent un peu de temps avant d'être complètement opérationnels. Nos équipes continuent de surveiller la situation 24 heures sur 24 pour agir le plus rapidement possible», a indiqué YouTube, filiale du géant américain de l'internet Google. Facebook (groupe Meta) avait déjà décidé de bloquer, dans les pays de l'Union européenne, les contenus publiés par la chaîne RT (ex-Russia Today) et le site Sputnik, tous deux considérés comme des émanations du pouvoir russe.

Cet adieu (ci-dessous) est PITOYABLE ! Allez hop dehors !!!

« Djokovic et Peugeot ne seront plus partenaires à l’avenir », écrit le journaliste serbe Sasa Ozmo sur Twitter, qui précise : « Peugeot a subi un énorme coup financier pendant la pandémie, et Djokovic était un gros client », avant d’ajouter, contre de possibles spéculations : « On me dit que sa position sur la vaccination n’est pas la raison ». Car en effet, le choix de Djokovic de ne pas se faire vacciner, l’a mis dans une position contraire, à la majorité dans ce monde. Attendons de savoir si l'information est validée par toutes les parties... Toutefois, cela semble être un "jeu set et match" qui aurait pu être évité. Personne n'est vraiment gagnant dans cette histoire.

Une nouvelle marque européenne propose la location automobile sans engagement sous forme d'abonnement. Le véhicule peut même être partagé par les membres des clubs selon leurs besoins. Voilà une idée géniale, non ?
Depuis le lancement européen en octobre 2020, Lynk & Co séduit de nombreux adeptes. Ainsi, plus de 90% des adhérents ont choisi de devenir des membres mensuels de la communauté, en optant pour un accès flexible à une voiture plutôt que d'en posséder une. Lynk & Co a également largement dépassé son objectif accueille aujourd'hui plus de 30 000 membres en Europe.

Le concept est une réponse disruptive pour tous ceux qui aspirent à une mobilité simplifiée, flexible, durable et partageable. La promesse de Lynk & Co lorsqu'elle a été lancée à Berlin en 2016, était de repenser la manière dont les voitures sont achetées, possédées et utilisées en proposant un accès simple et facile à la mobilité à un prix compétitif. " La première boutique en ligne a permis l'ouverture des préventes en 2017 et a reçu immédiatement 6 000 commandes en seulement 2 minutes 17 secondes. La marque s'est très vite établie sur le marché avec des chiffres records de livraisons aux clients au cours de sa première année, devenant ainsi la nouvelle marque vendant le plus vite au monde ", indique la marque. L'adhésion mensuelle rejette les contrats de location à long terme proposés par l'industrie automobile et propose aux clients l'accès à une Lynk & Co 01 (modèle spécifique) pour un mois renouvelable. Les membres peuvent poursuivre ou annuler leur adhésion avec un préavis d'un mois seulement, à l'image de Spotify ou Netflix, pour coller aux besoins de leur style de vie. La marque propose également une relation directe des clients, en supprimant les intermédiaires coûteux de la concession. L'adhésion mensuelle allant jusqu'à 500 euros par mois peut être réduite via le partage de la voiture à un prix fixé par le client. Aussi, si un utilisateur a besoin d'une voiture, il peut souscrire à une adhésion pour emprunter celle d'autres membres et payer selon l'utilisation, tout en accédant aux avantages qui appartiennent à la communauté de Lynk & Co.

Lancée il y a un an, la fintech française finary permet de suivre et d'analyser tout son patrimoine au sein d'une seule plateforme. Elle lève 8 millions d'euros auprès de plusieurs fonds et business angels et s'apprête à ouvrir son capital à ses utilisateurs grâce à une opération de crowdfunding.
Après les néobanques pour particuliers, les néobanques pour entreprises et les néobanques pour adolescents , place aux néobanques privées. Dans cette nouvelle famille, le français Finary commence à se faire une place. Fondée en mars 2021 par Mounir Laggoune (ex-Captain Train, revendu au britannique Trainline) et Julien Blancher (cofondateur de RecastAI, plateforme d'IA revendue à SAP), cette fintech agrège tous les comptes épargne, d'investissement (actions, ETF, crypto, métaux…) et les emprunts immobiliers au sein d'une même plateforme.

Dans sa version payante (10 euros par mois), elle permet aussi de calculer ses performances, réduire ses frais et optimiser son allocation. En revanche, aucun conseiller n'est à disposition, contrairement à une banque privée.

Après avoir une idée géniale, il faut pousser un peu plus pour faire décoller le modèle économique et ce n'est pas toujours gagné. Ici, l'exemple de la très bonne idée de la start-up "Adopte un Brasseur" est à suivre... Et il est aussi inspirant !

Créée il y a un an, la start up Adopte un Brasseur souhaite prendre de l’ampleur. Cette structure qui accompagne les brasseries artisanales dans leur développement et la commercialisation de leurs produits lance en effet sa première levée de fonds participative sur la plateforme Tudigo. Son objectif : réunir 330 000 euros, avec un ticket d’entrée minimum de 1 078 euros. Ce financement est ouvert à tous, entreprises comme particuliers. Derrière cette action, une ambition de taille : « devenir la marketplace de référence pour la bière ».

À ce jour Adopte un Brasseur travaille déjà avec 60 brasseries artisanales françaises de 13 régions différentes, à l’image de La Débauche, Papyllon, L’Antidote ou encore BAPBAP. Le site internet de la start up propose de la vente directe aux professionnels ainsi que des abonnements à des coffrets bières pour les particuliers . « 75% des brasseries artisanales ont un périmètre de vente restreint, confie Olivier Rouault, fondateur de la société. En tant que consommateur, j’étais frustré de ne pas pouvoir trouver et commander en ligne des bières artisanales de nos régions. De là est née cette belle aventure entrepreneuriale. » D’ici 2026, Adopte un Brasseur espère collaborer avec 250 brasseries artisanales et expédier 2 400 boxs par mois. Cette levée de fond devrait en effet permettre à la société de recruter trois salariés supplémentaires (dont deux commerciaux), de renforcer ses actions marketing et d’optimiser ses différentes plateformes digitales. On ne peut dire qu'une chose : si vous avez une envie d'investir, foncez les les amis !

5 mois après le lancement des Reels sur Facebook aux États-Unis, Meta annonce leur déploiement dans 150 pays. Le format devient clairement la priorité de Meta. Avis aux influenceurs et influenceuses, il va falloir s'y mettre et au plus vite !!! 😂 Que ce monde est pauvre ... Toutes les plateformes se pompent les idées.

Les Reels vont bénéficier d’une forte visibilité sur Facebook. Dans les prochaines semaines, vous pourrez les découvrir sur votre feed ou dans les stories.

• Stories : vous pourrez partager les Reels publics dans vos stories et créer des Reels à partir des stories publiques.
• Watch : l’onglet Watch va intégrer des Reels et Meta prépare des outils pour vous aider à créer des Reels directement depuis cet espace.
• Feed : les Reels seront identifiés clairement, tout en haut du feed, pour vous permettre d’en découvrir et d’en créer très facilement. Vous pourrez également voir des Reels de personnes que vous ne suivez pas (encore) dans votre feed.

Meta évoque aussi le développement d’une fonction pour permettre aux créateurs de crossposter un Reels sur Facebook et Instagram.

De nouveaux outils sont également présentés pour convaincre les créateurs de partager ce type de vidéos sur les réseaux du groupe Meta.

• Remix : pour créer un Reel basé sur un autre, comme sur TikTok et Instagram.
• Reels de 60 secondes : les Reels peuvent désormais durer jusqu’à une minute.
• Brouillon : vous pouvez sauver un brouillon pour finaliser votre Reel plus tard.
• Montage vidéo : Meta va développer des outils pour faciliter le montage vidéo, notamment pour les Reels en live et les Reels « long format ».

Pour simplifier la logistique des commerçants, Uber Eats lance Uber Direct, une nouvelle solution de livraison rapide en marque blanche uniquement disponible sur les sites marchands des commerçants et dans près de 300 agglomérations françaises où nous sommes présents. À destination des acteurs de l'e-commerce disposant de leur propre canal de distribution mais en recherche d'un partenaire fiable pour effectuer la livraison, Uber Direct permet ainsi d'avoir accès à une livraison rapide et suivie en moyenne en 30 minutes et de contribuer au développement du commerce local. Malin un fois de plus, non ?

82% des Français ont entendu parler des cryptomonnaies alors qu’ils n’étaient que 52% en février 2021, selon une étude de l’Ifop pour le média spécialisé Cointribune.com. Seuls 25% des interrogés connaissent les NFT (non-fungible token) et 8% savent précisément de quoi il s’agit. C'est peu, non ?
La connaissance de ces actifs numériques est plus forte chez les hommes jeunes, diplômés de l’enseignement supérieur, appartenant aux classes aisées et résidant dans l’agglomération parisienne, précise l’étude. 40% des 18-34 ans qui connaissent les cryptomonnaies ont investi dans ces actifs numériques ou seraient prêts à le faire contre 18% des plus de 35 ans. La proportion est assez similaire chez les connaisseurs des NFT : 45% des 18-34 ans ont ou souhaiteraient investir contre 23% de leurs aînés.
L’étude souligne que 79% des Français considèrent les cryptomonnaies comme un phénomène de mode purement spéculatif. 79% de ceux qui ont déjà investi dans les monnaies numériques jugent que c’est toutefois un investissement rentable, les non-initiés sont plus sceptiques (42%).
Méthodologie : Étude Ifop pour Cointribune réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 19 au 24 janvier 2022 auprès d’un échantillon de 2 003 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine.

Le réseau LinkedIn est devenu en quelques années, "le" réseau des pros et il y a fort à parier pour qu'il le reste encore un moment. Évitez les grosses erreurs sur ce réseau car vous n'êtes pas sur facebook, Instagram ou Snapchat. Il faut valoriser vos compétences mais surtout suivre trois conseils en 2022 :

1. Faites preuve d’humilité... Eh oui, pas la peine de flamber avec votre nouvelle voiture pour impressionner votre réseau. LinkedIn n’aime pas les fanfarons et encore moins le "bling bling" version "t'as vu ma montre ou ma villa !". Le réseau social est un immense océan, dans lequel on tombe toujours sur des poissons plus gros que soi, alors soyez modestes et prudents. Ne soyez jamais ni arrogant, ni condescendant. Par contre, cela ne vous empêche pas d'assumer vos avis dans vos posts.

2. Postez avec régularité avec une ligne éditoriale. Fixez-vous un rythme d’écriture et une fréquence de diffusion que vous parviendrez à tenir. Il peut s’agir d’un post par jour mais c'est trop... Optez pour un post par semaine. Évitez de poster une seule fois par mois, en "mode touriste" en reprenant l'article du moment. Cela n'apporte aucune crédibilité. Votre ligne éditoriale doit avoir aussi un objectif pour valoriser votre expertise. Il faut éviter de parler le lundi de la "crise dans les assurances russes" et le mercredi de la "nouvelle campagne d'une marque de luxe sur Instagram". Intégrez des "#" sur certains thèmes comme par exemple "#DigitalMarketing". Cela renforce votre visibilité auprès des cibles qui recherchent des "thèmes précis".

3. Postez au bon moment... Eh oui, vous devez vous adresser à une "audience". LinkedIn étant un réseau professionnel, ses utilisateurs l’utilisent essentiellement pendant les heures de travail. Poster la nuit et le week-end est donc à proscrire. Gardez à l’esprit que les jours d’affluence sur la plate-forme sont le mardi, le mercredi et le jeudi... Et le jeudi matin en particulier (au passage).

"Il est temps de libérer les artistes de ce système" : Kanye West se pose en leader de la fronde contre les géants du streaming... Mdr ! En effet, le rappeur et producteur américain sort son nouvel album "Donda 2" ce mardi 22 février. Vous ne le trouverez sur aucune plateforme de streaming Ni sur Apple, ni sur Amazon, ni sur Spotify ou YouTube mais uniquement sur un lecteur mis en vente par ses soins. Kanye West veut ainsi prendre la tête de la mobilisation contre les géants du streaming. "Les entreprises technologiques ont rendu la musique quasiment gratuite, donc, si on ne vend pas des baskets et des tournées, on ne mange pas", a-t-il ajouté, assurant avoir "refusé une offre de cent millions de dollars d'Apple" pour l'exclusivité de son album, visiblement vexé de ne pas avoir été reçu en personne par Tim Cook, le patron de la firme à la pomme. "Personne ne peut me payer pour me manquer de respect. Nous fixons notre propre prix pour notre art".... Pauvre chouchou !

A vrai dire, on s'en fout car cela nous évite d'écouter son auto tune de m**** et ses paroles à la gomme ! Il reviendra forcement en arrière quand il aura compris que le monde du streaming se décide avec le public ! Eh oui, le public a adhéré au streaming payant et ne considère pas que les artistes sont volés. Dommage mon gars mais le seul mérite qu'il nous donne est bien d'être libéré de sa musique !